Voyageons Ludique
Gummibärchenampelmännchen -Voyageons Ludique
Gummibärchenampelmännchen ? Je vous entends déjà me dire : “Mais c’est quoi ce titre ?! Tu es sûr que c’est un seul mot ?” ou pour les plus subtils : “À tes souhaits !”. Eh bien c’est de l’allemand car aujourd’hui nous voyageons ludique et dans le texte !
Ma copine Souris… Maman nous propose de découvrir le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne. Les premières destinations vous auraient peut-être plus fait rêver, mais ayant fait une partie de mes études en Allemagne, c’est tout naturellement que j’ai choisi cette destination ! Et pourquoi voyagerons-nous “dans le texte” ? Je vous rassure, je ne vais pas me mettre à rédiger dans la langue de Goethe, mais pour trouver l’inspiration, j’ai sorti quelques livres de ma bibliothèque.
Tout d’abord l’équivalent exacte de nos imagiers Fleurus, “Dein Buntes Wörterbuch Deutschland” (ou l’imagier de l’Allemagne) :
Et le livre présentant la cuisine la plus saine de la terre “Das Grosse Haribo Buch” (le gros livre Haribo, avec de supers recettes, des jeux palpitants et plein d’idées de décoration ! je ne vous ment pas, c’est marqué dessus !)
J’ai vite eu l’idée d’une petite activité très simple faire avec des Ampelmännchen et des bonbons.
Les Ampelmännchen sont les petits bonshommes emblématiques de l’ex-Allemagne de l’Ouest où ils indiquaient lorsque les piétons pouvaient traverser la rue. Quant aux bonbons, j’ai bien évidemment utilisé des Ours Or, ou Goldbären : l’ours étant l’emblème de Berlin, ces bonbons sont incontournables en Allemagne.
Colombe et moi avons alors feuilleté l’imagier afin qu’elle y repère les Ampelmännchen, nous les avons comparés avec les bonhommes que nous voyons à nos passages piétons et avons remarqué qu’ils étaient assez différents. Nous avons également constaté sur l’imagier que l’or était l’emblème de la ville de Berlin et avons feuilleté le livre de recettes dont il fait la couverture (et dont d’ailleurs je vous partagerai peut être quelques recettes !).
Puis je lui ai proposé un petit exercice de tri des couleurs en me servant de deux emporte-pièces à la forme de ces petits bonshommes. Comme elle a récemment appris qu’on traverse lorsque le petit bonhomme est vert et qu’on attend s’il est rouge, je lui ai fait remarqué qu’un des bonhommes était arrêté alors que l’autre semblait avancer.
Elle a alors un peu joué avec le bonhomme qui avance puis s’est mise au “travail”. Le paquet de bonbons que nous avons utilisé ne comprenait pas assez d’oursons rouges pour remplir l’emporte-pièce, j’ai donc fait remarquer à Colombe que le rouge et le orange se ressemblent beaucoup. L’activité de tri étant un peu facile pour Colombe, cela a permis de mettre en relation les différentes nuances de couleurs.
Une fois les emporte-pièces remplis de bonbons, l’exercice est terminé (si vous voulez les passer au four pour leur donner la forme des bonshommes, utiliser plutôt des bonbons durs qui se démouleront facilement, alors que les oursons gélifiés colleront trop pour donner un résultat correct). En revanche, l’heure est venue de déguster les bonbons !
Manger avec des baguettes dès 18 mois (DIY maki en feutrine) – Voyageons Ludique
Vous êtes-vous déjà demandé à quel âge en Asie, les enfants commençaient à apprendre à manger avec des baguettes ? Parce que moi oui (oui, je sais, j’ai de ces questions !). J’ai alors immédiatement interrogé des amies asiatiques et elles étaient formelles, dès 18 mois c’est possible ! Comment ?! Quelle surprise, les asiatiques seraient des surdoués de la motricité fine en plus d’être super forts au ping-pong (je sais, je sais… on dit tennis de table) !
En fait d’enfants surdoués, il s’agit surtout de choisir les bons outils ! Puisque nous avons des couverts dont la forme et la taille sont adaptées aux mains de nos tout-petits, il est tout à fait logique que la même chose existe pour les baguettes ! Et c’est ainsi que j’ai découvert les baguettes d’apprentissage munie d’anneaux.
Si j’ai eu quelques doutes sur la facilité d’utilisation lorsque j’ai reçu mes baguettes (commandées sur Ebay), ces doutes se sont complètement envolés lors de la première utilisation. Colombe (3 ans) a besoin d’un peu d’aide pour mettre les baguettes correctement : il faut mettre le pouce dans l’anneau fixe puis insérer l’index dans l’anneau supérieur de la deuxième baguette, et le majeur dans l’anneau inférieur. Une fois les baguettes mises correctement, manger devient un jeu d’enfant ! Et pour preuve voici une photo de Colombe les utilisant pour la première fois !
Colombe adore tellement se servir de ses baguettes que j’ai décidé de lui fabriquer de petits makis en feutrine pour qu’elle puisse s’entraîner dès qu’elle le voudrait (parce qu’on ne mange pas de sushis tous les jours non plus !). Et aujourd’hui je vous explique comment j’ai fait !
Matériel :
- de la feutrine blanche
- de la feutrine noir
- quelques chutes de tissu orange (j’ai coupé un vieux T-shirt)
- du kapok
- de la colle pour tissu
- du fil une aiguille
Réalisation :
Dans la feutrine blanche coupez 6 rectangles de 6,5 cm sur 3 cm et 12 cercles de 2 cm de diamètre.
Cousez un cercle et un rectangle ensemble de manière à former un cylindre.
Remplir le cylindre avec du kapok, puis fermez-le avec le deuxième cercle de feutrine blanche.
Coupez 6 rectangles de feutrine noire de 8 cm par 3 cm, puis cousez (ou collez) une bande autour de chaque cylindre.
Coupez grossièrement 12 petits cercles de tissus orange et collez en un sur chaque extrémité des cylindres !
Et voilà ! Les makis sont prêts à déguster !
Alors, qu’en dites-vous ? Et si on apprenait à nos petits à manger avec des baguettes ?
Notre petit jardin zen – bac sensoriel – Voyageons Ludique
Comme promis pour le rendez-vous Voyageons Ludique, nous allons parcourir l’Asie et aujourd’hui je vous emmène au Japon.
C’est en regardant cet épisode de Mouk intitulé “Le jardin Japonais” que j’ai eu l’idée de présenter à Colombe un bac sensoriel reprenant le concept de ces jardins.
Au Japon, les jardins zen sont des espaces de contemplation. Constitués essentiellement de minéraux et de quelques végétaux, ce sont des jardins secs. L’eau est symbolisée par les sillons tracés par des râteaux.
Avec très peu de moyen, j’ai reproduit un jardin zen dans notre bac sensoriel.
Matériel nécessaire :
- un bac en plastique
- un kilo de semoule
- un petit râteau
- quelques végétaux (ici du bambou coupé sur ma terrasse et un sapin Playmobil)
- quelques pierre ou objet rappelant le Japon (ici un Maneki Neko, le chat qui dit bonjour)
Activité :
J’ai présenté à Colombe le bac déjà rempli et aménagé comme un jardin zen. Je lui ai expliqué rapidement le concept qu’elle connaissait déjà du dessin animé et lui ai laissé les outils pour qu’elle aménage son propre espace.
Ma Colombe s’est alors emparée du râteau et a modelé l’espace en traçant des sillons comme je l’avais fait, mais aussi en écartant de grandes pelletées de semoule. Elle a aimé prendre la semoule à pleines mains et a essayé de remplir le petit chat (qui en fait est une tirelire). En créant des ruisseaux et des montagnes, nous avons fait fonctionné notre imagination et appris un peu de vocabulaire.
Et comme la semoule ne présente aucun danger, une fois les éléments fragiles enlevés, Petit O’ a pu lui aussi profiter de ce bac. Le bac de semoule est un bon jeu de manipulation qui plaît généralement beaucoup aux petits ! Et pour tout vous avouer, moi-même j’aimerais bien plonger les mains dedans, pas vous ?
Des livres sur l’Asie -Voyageons Ludique
En prévision du Nouvel An chinois, ce mois de janvier est consacré à l’Asie pour notre rendez-vous Voyageons Ludique organisé par Souris… Maman. Et vous allez voir, cette destination m’inspire !
Je commence donc notre voyage par une petite sélection de livres. Ces livres sont destinés aux enfants, mais pas aux petits comme Colombe, et je vous avoue les avoir choisis pour moi ! Je ne sais pas vous, mais il m’arrive souvent de puiser mes lectures au rayon jeunesse tant je le trouve riche en ouvrages intéressants !
Le premier livre que je vous présente s’appelle Meihua, La petite Chinoise et comme son nom l’indique, il présente la Chine à travers le quotidien d’une petite fille.
Il s’ouvre sur une fiche d’identité de la petite fille.
Puis viennent la présentation de sa maison, de son école, de son quotidien à travers de belles illustrations.
Après avoir parlé de l’histoire de la Chine et de ses traditions, s’ouvre la partie intitulée “Le cahier de Meihua” . Comme la petite chinoise, le lecteur pourra compter en chinois ou apprendre la calligraphie.
Seul point que je déplore dans ce livre : il présente la recette des “biscuits porte-bonheur”. Mais ces biscuits, dont le nom d’origine est “fortune cookies” ne sont pas chinois mais américains ! Ils ont été inventés par les restaurants asiatiques des Etats-Unis… J’aurais préféré une recette un peu plus typique…
Christel Proupuech, Meihua, la petite Chinoise, Mila editions
Le Deuxième livre s’appelle Kawaii, le livre 100% Japon. Je vous préviens tout de suite, on entre dans un univers rose, girly, “trop mignon” (c’est marqué sur la couverture), bref, Kawaii (mignon en Japonais). Ce livre se présente comme un petit guide à l’usage d’une pré-adolescente qui aimerait préparer un voyage au Japon.
Chaque double page présente un thème. Le premier thème, “le Japon en bref” fait une petite présentation du pays. Les suivants présentent des traditions japonaises, des aspects de la vie quotidienne ou des phénomènes de mode.
Au fil du livre on trouve plusieurs pochettes “atelier”. Sur la page de gauche se trouve un petit questionnaire portant sur les chapitres précédents et sur la page de droite, une pochette remplie de papiers avec des instructions pour faire des origamis, dessiner des mangas ou faire des sushis.
Les illustrations sont à la hauteur du côté “Kawaii” annoncé dans le titre, et le livre est rempli d’anecdotes telles ces concombres en forme de cœur ou ces pastèques carrés. Le gens de choses indispensables pour les Japonais !
C’est un livre que je recommande pour sa richesse en informations et sa manière ludique de les présenter. Je ne lui reprocherai que son côté “fille” un peu insistant. Je connais au moins autant d’ado garçon qui s’intéressent au Japon que de filles, et cette ligne éditoriale pourrait les faire passer à côté d’un livre plutôt intéressant…
Carla Cino, Kawaii, Le Livre 100% Japon, Larousse
Voici mon grand coup de cœur. Un livre très généraliste sur l’Asie qu’il traite de la Turquie aux Philippines.
Sur chaque double pages on découvre un ou deux pays à travers un texte, une carte, des photos de lieux importants, et des anecdotes.
À noter aussi la présence de double pages sur des thématiques liées au continent, comme ici, l’enjeu de l’eau.
Je n’ai que peu de choses à dire sur cet ouvrage : il s’agit d’un livre de géographie complet et de bonne qualité. C’est une base intéressante pour s’informer ou préparer un devoir. Bref, si vous avez des ado qui s’intéressent un peu à l’Asie je vous le conseille !
Sakina Boukhaima, Geneviève Clastres, Philippe Pataud Célérier, L’Asie, Gallimard Jeunesse
Voilà pour mes lectures. Comme je vous l’ai dit, l’Asie m’inspire, alors je reviendrai très vite pour continuer à voyager ludique !
Lisa et le Père Noël – Voyageons Ludique
Dites, vous avez déjà rencontré le Père Noël ? Et vous savez où il habite ?
Parce que Lisa, elle, elle l’a déjà rencontré ! Et même, elle est allée chez lui ! Et je vais vous révéler un secret : c’est encore plus loin que la Laponie là où habite le Père Noël !!!
L’histoire commence dans la cuisine alors que Lisa et Gaspard font des gâteaux. Gaspard s’interroge sur le Père Noël, alors Lisa lui raconte tout ce qu’elle sait et on peut dire qu’elle en sait beaucoup puisqu’elle lui a déjà rendu visite !
Sur un ton très enfantin, Lisa nous dépeint avec humour (et énormément d’imagination !) l’univers du grand monsieur au manteau rouge ! Du voyage en traineau jusqu’à l’organisation de l’atelier, Lisa nous explique tout !
Entrez dans un univers aux couleurs chatoyantes et appréciez la magie du lieu !
Nous avons lu plus d’un livre sur Noël dans la famille À Dada ! mais celui-là pourrait bien être notre préféré ! Pour les plus petits, c’est un appel à la rêverie car il propose d’entrer dans un monde féérique. Pour les plus grands, c’est un livre plein d’humour qu’on ne se lassera pas de lire. Ce livre respire la magie de Noël !
Bien qu’il semble épuisé, on en trouve quelques exemplaires d’occasion sur le web. Et si votre médiathèque en possède un exemplaire, alors n’hésitez pas, empruntez le !
Oh ! Je suis sûre que vous vous demandez pourquoi il y a un flamand rose avec Lisa et le Père Noël ! Moi aussi je me suis posé la question et c’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à emprunter ce livre ! Je vous rassure, Lisa en explique la raison dans le livre ! (oui je suis taquine… je ne vous dirai pas ce que fait ce flamand rose ici !)
A. Gutman, G. Hallensleben, Lisa et le Père Noël, Hachette Jeunesse, 2006
Cet article est ma participation au rendez-vous Voyageons Ludique organisé par Souris…Maman sur le thème “Où habite le Père Noël ?”
L’Égypte – Voyageons Ludique 3
Comme chaque mois, je participe au rendez-vous Voyageons Ludique organisé par ma copine Souris… Maman, et ce mois-ci nous partons pour l’Égypte !
Pour tout vous avouer, je n’ai jamais été particulièrement attirée par l’Égypte et à l’annonce de la destination je me suis demandée ce qu’on allait bien pouvoir faire… Surtout avec une petite Colombe de 2 ans et demi… Alors j’ai farfouillé sur Pinterest et finalement j’ai eu plein d’envies ! Comme nous avons eu un mois de novembre très chargé nous n’avons pas pu toutes les réaliser, mais ils se peut que l’on reprenne ce thème dans quelques mois.
Notre première activité fut donc de regarder le dessin animé des studios Dream Works Le Prince d’Égypte.
L’histoire est celle de Moïse : bébé abandonné par sa mère qui espérait le sauver de la folie meurtrière de Pharaon, le panier dans lequel il avait été placé a été trouvé par la femme de Pharaon. Après une enfance et une jeunesse royale, Moïse découvre ses origines et quitte la maison royale pour délivrer son peuple d’Égypte.
Bien que très intéressant, ce film n’est pas facile à comprendre pour des tout-petits. L’histoire aborde des notions complexes comme l’esclavage, l’abandon et l’adoption, ou la haine des autres… Afin que Colombe comprenne, nous avons regardé le dessin animé ensemble et nous avons beaucoup commenté les images. La première fois qu’elle l’a vu, elle s’est arrêté de regardé un peu avant la moitié du film, mais elle a tenu plus longtemps les fois suivantes et a réussi à voir le film en entier. Elle explique maintenant l’esclavage (mais n’a pas retenu ce terme) : “C’est pas bien de taper les autres pour les faire travailler ! C’est interdit !”. Bizarrement, la haine des autres n’a pas suscité beaucoup de questions : “Pharaon est méchant avec les Hébreux parce qu’il ne les aime pas.”. Mais elle s’est beaucoup interrogée sur cette maman qui laisse son bébé. Je lui ai alors expliqué que parfois lorsqu’une maman ne pouvait pas s’occuper de son enfant, elle laissait une autre maman le faire afin que le bébé ait tout ce dont il a besoin. L’explication a semblé lui suffire.
J’apprécie particulièrement ce film qui permet aux enfants d’aborder l’histoire des religions. La manière d’aborder le sujet convient plutôt à des enfants à partir de 8 ou 9 ans, mais un enfant plus jeune peut très bien le regarder s’il est accompagné d’un adulte. Et le petit plus : les musiques sont superbes !
Nous avons continué notre “étude” de l’Égypte par les films en tombant par hasard sur ces épisodes de Sesame Street.
Colombe aime de plus en plus ce programme.
Enfin, nous avons fait quelques activité manuelles. D’abord des colliers égyptiens.
Matériel nécessaire pour un collier :
- une assiette en carton
- de quoi tracer un cercle
- une paire de ciseaux
- de la peinture (ici j’ai utilisé la peinture bleue et la peinture dorée de chez IKEA dont les teintes rappelle l’Égypte ancienne)
Réalisation :
J’ai découpé un cercle à l’intérieur de l’assiette en carton (sans le centrer) et j’ai fait une petite ouverture sur le bord le moins large. Colombe et moi avons décoré nos colliers avec de la peinture.
Voilà le résultat ! À droite il s’agit du collier que j’ai réalisé en restant dans un style très classique. Et à gauche, c’est le collier que Colombe a peint dans un style “Égypte ancienne nouvelle vague”. Notez tout de même l’effort : elle a fait une ligne de petits points rouge (au niveau du coup), qu’elle a ensuite recouverte de peinture bleue.
Notre dernière réalisation est un sarcophage :
Matériel nécessaire :
- un grand rouleau de papier (celui destiné au tableau d’IKEA est parfait)
- un crayon et un feutre
- de la peinture (là encore, j’ai utilisé celle d’IKEA)
Réalisation :
J’ai demandé à Colombe de s’allonger sur une feuille que j’avais étalée sur le sol et j’ai tracé le contour de son corps. Puis j’ai dessiné le sarcophage en me servant de la silhouette préalablement tracée.
J’ai accroché le dessin vierge sur un mur et j’ai laissé l’artiste travailler !
En maman très optimiste, j’ai montré à Colombe que l’on pouvait alterné les couleurs sur la couronne du sarcophage et j’ai tracé un point de la couleur “demandée” dans chaque bande. C’est un exercice qu’elle arrive à faire… quand elle le veut bien…
Peut-être que la taille du dessin lui suggérait plus de liberté… Toujours est-il que ce jour-là elle n’a pas voulu suivre la consigne et qu’elle a laissé parler sa créativité (et ça n’est pas un mal !).
Voilà donc le résultat, toujours dans un style “Égypte ancienne nouvelle vague” bien-sûr ! Je précise tout de même que c’est moi qui ai peint le serpent en doré : habituellement nulle en dessin, je trouvais que je l’avais bien réussi alors cela me faisait plaisir de le peindre !
Nous avons donc été très occupées par ce thème et il nous reste plein d’idées ! Alors comme je vous le disais en introduction, il se peut qu’on y revienne régulièrement ! C’est pour cela que je tiens à remercier Souris…Maman pour son choix : je ne serai pas aller dans cette direction par moi-même, et c’est peut-être pour cela que j’ai fait de si jolies découvertes !
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