DIY
DIY : notre boîte lumineuse
Depuis quelques temps, je vois passer sur différents blogs des boîtes lumineuses avec lesquelles les enfants peuvent jouer, et j’avoue qu’elles me faisaient très envie. Ces boîtes sont vraiment simples à fabriquer soi-même, et elles permettent de faire de très jolies réalisations. En effet, jouer avec la lumière et les couleurs est une activité fascinante pour les petits qui éveillent leurs sens, mais aussi pour les plus grands qui les redécouvrent ! Je me suis donc lancée et je vous montre comment !
Matériel :
- un bac en plastique (j’utilise un bac “Trofast” de chez IKEA)
- un grand morceau de carton
- du papier aluminium
- du papier cuisson (si le bac utilisé est transparent, le mien étant translucide je n’en ai pas eu besoin)
- une guirlande lumineuse à piles
Réalisation :
Dans le grand morceau de carton, j’ai taillé une boîte aux dimensions de ma boîte en plastique (il faut que le carton rentre parfaitement dans la boîte comme sur la photo).
J’ai recouvert l’intérieur du carton avec du papier aluminium que j’ai fixé avec du scotch.
Il ne reste plus qu’à allumer la guirlande lumineuse, à la place dans le carton recouvert d’aluminium (de recouvrir avec une feuille de papier cuisson si la boîte en plastique est transparente) et de fermer le tout avec la boîte en plastique.
On peut alors jouer avec la lumière et avec les couleurs des objets transparents qu’on aura choisi. Et pas besoin de matériel compliqué, on fait avec ce qu’on a. Ici nous avons joué à tour de rôle avec :
Nos bouteilles sensorielles remplies d’eau colorées :
De simples pailles :
Des jetons de loto transparents :
Des bracelets fluo :
Et j’ai même utilisé les petites fleurs qui ornaient la guirlande lumineuse lorsque je l’ai achetée :
Ma Colombe et mon Petit O’ raffolent tous les deux de ce nouveau jeu. Chacun y joue à sa manière : Petit O’ (15 mois) observe les changements de couleurs des objets quand on les met à la lumière, alors que Colombe (3 ans) s’intéresse plus à la réalisation de motifs (bien souvent détruits par son petit frère malheureusement).
C’est toujours un plaisir de jouer avec cette boîte lumineuse. On baisse les stores afin de faire la pénombre dans la chambre, et l’atmosphère se fait apaisante. Les enfants restent à jouer calmement autour de la boîte. Chacun pose ses pièces, essaye de nouveaux objets pour voir ce que cela donne à la lumière. Les enfants sont généralement très calmes pendant de longues minutes. C’est une activité très agréable à partager avec eux, ou même pour les occuper pendant qu’on prépare le repas par exemple !
Pâte à modeler au chocolat !
Ce week-end c’est Pâques et si vous êtes aussi gourmand que moi, vous rêvez déjà à tout le bon chocolat que les cloches vont vous apporter ! C’est donc poussée par ma gourmandise, que j’ai eu l’idée de proposer aux enfants une petite activité manuelle. Exit les œufs à décorer, les petits poussins dessinés, les cloches sur lesquelles on colle des gommettes… Non, cette année, j’ai préparé de la pâte à modeler au chocolat !
Cette pâte à modeler au chocolat, j’en ai rêvé, et une fois que je l’ai faite, j’étais enchanté. Toute douce et avec son odeur sucrée… Je vous avoue tout, il m’arrive de prendre le pot dans la cuisine juste pour la sentir !
Les ingrédients :
- 1 tasse de farine
- 2 cuillères à café de bicarbonate de soude
- 1/2 tasse de sel
- 1 cuillère à café d’huile
- 4 cuillère à soupe de chocolat en poudre (avec une forte concentration en cacao)
- 1 tasse d’eau chaude
La recette :
Dans une casserole, mélangez tous les ingrédients jusqu’à obtention d’une pâte homogène (mais très collante). Faites chauffer à feu doux jusqu’à ce que la pâte se décolle de la paroi. Ôtez la casserole du feu et laissez refroidir : la pâte à modeler est prête ! La préparation ne prend pas plus de 10 minutes et on peut espérer garder cette plusieurs semaines (voire plusieurs mois) à condition de la ranger dans une boîte bien hermétique !
Lorsque j’ai proposé à Colombe de faire de la pâte à modeler au chocolat, elle m’a répondu : “Mais maman, la pâte à modeler au chocolat, ça n’existe pas, c’est une blague !”. C’est donc avec bonheur qu’elle a découvert ce plateau avec la fameuse pâte ainsi que quelques ustensile de pâtisserie rappelant Pâques.
Colombe a pâtissé, nous concoctant des gâteaux, des gaufres, des cupckaes…
Ce fut l’occasion pour Petit O’ de découvrir la pâte à modeler. Comme nous utilisons habituellement une pâte à modeler du commerce, et que Petit O’ a encore tendance à beaucoup mettre à la bouche, je ne le laisse pas jouer avec. Mais cette fois, je sais que tous les ingrédients de cette pâte à modeler sont sans danger (et pour cause, ce son des ingrédients avec lesquels je cuisine !), alors je l’ai laissé faire ! Et je l’ai même laissé goûter et il s’est vite rendu compte que le goût n’était vraiment pas plaisant !
De mon côté je n’ai pas su résister et j’ai aussi confectionné de petits gâteaux en pâte à modeler !
Alors cette pâte à modeler vous tente ? Ici on est devenu fan et je crois qu’on va préparer plein de petits “gâteaux” avec ce week-end !
Livre en tissu pour apprendre à écrire les lettres (quiet book)
À 3 ans, Colombe a découvert les lettres et s’y intéresse beaucoup. Lors de nos sorties, elle nous montre celles qu’elle reconnaît sur les panneaux, et à la maison, elle cherche sans cesse à en apprendre de nouvelles dans ses livres ou sur les magazines. Elle en reconnaît déjà quelques unes et sait même en écrire, mais elle est encore loin de toutes les maîtriser. Alors j’avais envie d’encourager sa passion naissante et de lui confectionner un livre en tissu pour apprendre à écrire les lettres.
À l’image de son quiet book (ici et ici), j’avais envie d’un support qui allait durer dans le temps et qui pourrait être utilisé à l’infini. Alors lorsque j’ai découvert le tissu ardoise sur le site Perles & Co, l’idée m’a semblée évidente ! Ce tissu, qui ressemble à une toile cirée mate et noir, permet d’écrire avec une craie et d’effacer à volonté. J’étais très intriguée par ce tissu que je ne connaissais pas et après utilisation, je dois dire que je ne suis pas du tout déçue ! La craie marque bien le tissu et s’efface d’un seul coup d’éponge humide.
J’ai donc cousu entièrement un petit livre de 26 pages (sans compter la couverture), afin d’y coller toutes les lettres découpées dans mon tissu ardoise. Si j’ai cousu un livre d’une seule pièce et que je n’ai pas utilisé le même système d’attache que celui du quiet book de Colombe, c’est que je tenais à ce qu’on ne puisse pas changer l’ordre des pages. Les lettres sont bien évidemment présentées dans l’ordre alphabetique, et il me semble important pour l’apprentissage que cela reste ainsi. Mais c’est un parti pris et ce livre peut tout à fait être conçu avec de la feutrine et le système d’attaches que j’ai présenté dans mon premier DIY de quiet book.
Pour coudre le livre, j’ai tout simplement découpé 13 rectangles de tissu de dimension identique que j’ai cousus sur l’envers les uns à la suite des autres. Puis après avoir retourné toutes les pages et avoir repassé l’ouvrage, j’ai cousu un 14ème rectangle un peu plus long que les autres, en guise de couverture. Je vous épargne le tuto, car comme vous les voyez, le résultat n’est pas très académique. Mais même si le livre n’est pas aussi parfait que si je l’avais acheté, ma fille avait des étoiles dans les yeux en le découvrant, et elle semblait impressionnée de voir ce que j’avais réussi à faire avec ma machine à coudre !
Je me suis servie de ce modèle pour découper les lettres, puis je les ai collées dans le livre avec de la colle pour textile. J’ai décidé de ne pas les coudre afin d’avoir un plus joli résultat (ma machine à coudre est un peu capricieuse, il y a beaucoup de ratés, et coudre et découdre les lettres aurait abîmé le tissu).
Ma Colombe a tout de suite adoré son livre pour apprendre à écrire les lettres, et l’a rempli entièrement, lettre par lettre, en quelques minutes !
Et pour effacer, rien de plus simple, un petit coup sur les lettres avec un morceau de tissu polaire imbibé d’eau et le livre était comme neuf !
Depuis qu’elle l’a, il ne se passe pas un jour sans que Colombe ne se serve de son livre ! À la maison, elle l’utilise avec sa craie, et lorsque nous sortons je le glisse dans mon sac, et elle l’utilise en posant le doigt dessus à la manière des lettres rugueuses (ces lettres ne sont pas rugueuse, mais le tissu du livre et le tissu ardoise ont deux touchés différents, ce qui correspond finalement au principe des lettres rugueuses !)
Alors, ce nouveau quiet book vous plaît ? Si vous décidez d’un réaliser un, n’hésitez pas à m’envoyer des photos, je serai ravie de voir votre version !
Un bonhomme de neige en coton
Avant Noël, Colombe est tombée en admiration devant un bonhomme de neige en coton qui décorait l’entrée. À chacun de nos passages il fallait qu’on aille voir le bonhomme, qu’on le touche et qu’on admire sa grande beauté!
Comme l’hiver n’est pas tout à fait terminé et que Colombe a découvert la neige récemment, je me suis enfin décidée à lui faire faire cette petite activité toute simple et dont le résultat lui plaisait tant.
Matériel nécessaire :
- des morceaux de cotons blancs
- un carton découpé en forme de bonhomme de neige
- deux yeux mobiles
- un petit triangle orange
- un pinceau et de la colle (ici de l’eau et de la farine)
J’ai alors présenté à Colombe ce bonhomme de neige en lui disant qu’il avait fondu et qu’il fallait le remettre en forme en collant chaque morceau de coton sur le carton.
Et c’est ce qu’elle s’est appliquée à faire, appliquant la colle méthodiquement et en me précisant bien quand il restait des zones à remplir.
Une fois le carton rempli de coton, Colombe a collé les yeux et le nez du bonhomme de neige.
Enfin, j’ai paré notre bonhomme d’une belle écharpe et d’un magnifique chapeau à paillettes (parce que les paillettes c’est la vie !) et il orne maintenant notre petit “jardin d’hiver” dans le salon.
(le DIY des sapins se trouve ici)
Alors, notre bonhomme de neige vous plaît ?
Module de motricité en carton
Si vous me suivez sur Instagram, vous savez sûrement que lorsque le Père Noël est passé chez nous, il a oublié son traîneau.
Bon, je vais vous révéler la vérité, il ne s’agit pas vraiment du traîneau du Père Noël. En réalité, il est de tradition que Grand-Mère À Dada ! fabrique un jouet (généralement en carton) lorsque ses petits-enfants viennent passer les fêtes chez elle. Elle a déjà fabriqué un paquet cadeau géant, un théâtre de marionnette, un panier en tissus, et cette année, elle nous avait préparé ce traîneau !
Colombe a bien compris l’utilité du traîneau et a joué de longues heures à se faire tirer ou pousser par Grand-Mère, les copains, et même par Petit O’ !
Petit O’, lui, n’a pas bien saisi l’intérêt de rester assis et de se faire promener (Bah quoi, j’ai une poussette pour ça !) mais il a trouvé une utilité à ce traîneau et a joué avec pendant des heures. En effet, le traîneau est vite devenu module de motricité. Petit O’ s’est entraîné à monter sur le siège puis à en redescendre. Il l’a fait des dizaines de fois, sans jamais se lasser et toujours heureux de ses “exploits” ! Il s’amusait également à entrer et sortir du traîneau. Une fois à l’intérieur, il se servait des parois pour caler son dos, lâcher ses mains et essayer de tenir debout sans appui. Bref, ce simple jouet en carton a été une formidable occupation pour Petit O’ qui a d’ailleurs fait d’énormes progrès grâce à lui.
Petit O’ a ainsi appris à tenir debout sans appui, et surtout à se retourner systématiquement lorsqu’il descend les escaliers. Et aux vues de ces nombreux acquis ainsi que des heures de jeux que ce jouet lui a valu, j’ai décidé d’en fabriquer un autre pour la maison (nous n’avions pas suffisamment de place pour rapporter celui de Grand-Mère avec nous !).
Matériel nécessaire :
- deux grands cartons carrés de même dimension (ou un grand rectangulaire)
- un carton rectangulaire plus petit, dont la longueur est égale à largeur des grands cartons
- du scotch résistant
- un rouleau d’adhésif décoratif, type Vénilia
Réalisation :
J’ai pris les deux grands cartons et ai ouvert un côté sur chacun d’eux puis les ai fixés ensemble afin qu’ils forment un seul grand carton rectangulaire. J’ai relevé et scotchés les 3 rabats restants sur l’un des cartons et ai coupé ceux du deuxième carton, ainsi un côté présente un rebord haut et l’autre côté un rebord bas. J’ai taillé le rebord bas sur les côtés pour leur donner une forme de traîneau et former une petite ouverture par laquelle un bébé peut ramper.
Pardonnez-moi pour la qualité des photos. Comme vous le voyez, j’ai fabriqué ce carton tard le soir, moment parfait pour ne pas être dérangée par les enfants, mais pas vraiment idéal pour prendre de belles photos !
Enfin, j’ai placé le petit carton contre le rebord haut du traîneau, l’ai scotché et recouvert de papier adhésif. L’opération nécessite beaucoup de scotch afin de bien fixer les cartons ensemble et solidifier la structure.
Petit O’ et Colombe ont beaucoup utilisé ce carton. Il a été leur traîneau, leur bateau, un trône de princesse, un promontoire pour faire des discours (ou regarder la télé, d’en haut on voit bien mieux !) et que sais-je encore… Et nous, parents, l’avons souvent utilisé pour stocker les jouets qui traînaient. Il est très solide puisqu’il n’a pas faibli, même lorsque les enfants lui tombait dessus ou que Colombe se mettait à sauter dessus, et cela depuis presque 2 mois que nous l’avons !
La seule précaution à prendre a été de caler le traîneau contre un objet lourd (par exemple contre le canapé ou contre la porte-fenêtre) pour qu’il ne bascule pas lorsque Petit O’ se mettait sur debout sur la marche. Mais très vite, Petit O’ a acquis un bon équilibre et cette précaution n’a plus été nécessaire (après une semaine ou deux d’utilisation).
Pour un très faible investissement, le jouet nous a garanti non seulement beaucoup d’acquisitions motrices pour Petit O’, mais aussi des heures de jeux et de rires pour nos deux enfants !
Manger avec des baguettes dès 18 mois (DIY maki en feutrine) – Voyageons Ludique
Vous êtes-vous déjà demandé à quel âge en Asie, les enfants commençaient à apprendre à manger avec des baguettes ? Parce que moi oui (oui, je sais, j’ai de ces questions !). J’ai alors immédiatement interrogé des amies asiatiques et elles étaient formelles, dès 18 mois c’est possible ! Comment ?! Quelle surprise, les asiatiques seraient des surdoués de la motricité fine en plus d’être super forts au ping-pong (je sais, je sais… on dit tennis de table) !
En fait d’enfants surdoués, il s’agit surtout de choisir les bons outils ! Puisque nous avons des couverts dont la forme et la taille sont adaptées aux mains de nos tout-petits, il est tout à fait logique que la même chose existe pour les baguettes ! Et c’est ainsi que j’ai découvert les baguettes d’apprentissage munie d’anneaux.
Si j’ai eu quelques doutes sur la facilité d’utilisation lorsque j’ai reçu mes baguettes (commandées sur Ebay), ces doutes se sont complètement envolés lors de la première utilisation. Colombe (3 ans) a besoin d’un peu d’aide pour mettre les baguettes correctement : il faut mettre le pouce dans l’anneau fixe puis insérer l’index dans l’anneau supérieur de la deuxième baguette, et le majeur dans l’anneau inférieur. Une fois les baguettes mises correctement, manger devient un jeu d’enfant ! Et pour preuve voici une photo de Colombe les utilisant pour la première fois !
Colombe adore tellement se servir de ses baguettes que j’ai décidé de lui fabriquer de petits makis en feutrine pour qu’elle puisse s’entraîner dès qu’elle le voudrait (parce qu’on ne mange pas de sushis tous les jours non plus !). Et aujourd’hui je vous explique comment j’ai fait !
Matériel :
- de la feutrine blanche
- de la feutrine noir
- quelques chutes de tissu orange (j’ai coupé un vieux T-shirt)
- du kapok
- de la colle pour tissu
- du fil une aiguille
Réalisation :
Dans la feutrine blanche coupez 6 rectangles de 6,5 cm sur 3 cm et 12 cercles de 2 cm de diamètre.
Cousez un cercle et un rectangle ensemble de manière à former un cylindre.
Remplir le cylindre avec du kapok, puis fermez-le avec le deuxième cercle de feutrine blanche.
Coupez 6 rectangles de feutrine noire de 8 cm par 3 cm, puis cousez (ou collez) une bande autour de chaque cylindre.
Coupez grossièrement 12 petits cercles de tissus orange et collez en un sur chaque extrémité des cylindres !
Et voilà ! Les makis sont prêts à déguster !
Alors, qu’en dites-vous ? Et si on apprenait à nos petits à manger avec des baguettes ?
DIY : des sapins pour décorer sa table à peu de frais
On a tous envie de recevoir sa famille et ses amis dans une maison bien décorée pour fêter Noël. Mais après l’achat des cadeaux et la préparation du menu, le budget est souvent bien entamé. Alors aujourd’hui je vous propose un petit DIY de sapins pour décorer sa table à peu de frais. Tout juste quelques euros, et pour obtenir un joli résultat !
Matériel nécessaire :
- une bouteille par sapin
- une guirlande par sapin
- quelques petites boules de Noël
- un cutter
- un pistolet à colle
Réalisation :
Couper les bouteilles à mi-hauteur à l’aide d’un cutter.
Les chocolats ne sont pas là par hasard ou pour me donner du cœur à l’ouvrage… Je vous dirai tout à la fin de l’article.
Gardez le haut de la bouteille. Avec un pistolet à colle, collez la guirlande en l’entourant tout autour de la bouteille. Veillez à ce que votre pistolet à colle ne soit pas trop chaud afin que la colle ne fasse pas fondre la bouteille. Si votre colle sort très liquide, elle sera trop chaude. Laissez alors votre pistolet refroidir quelques minutes. Terminez en recouvrant le bouchon avec la guirlande et en la collant au sommet. Puis coupez le bout de guirlande qui dépasse.
Enfin, collez les boules de Noël tout autour et au sommet du sapin. Le sapin est prêt à décorer vos tables de fêtes !
Et les chocolats ? Vous ne perdez pas le Nord je vois !
J’avais d’abord réalisé ces petits sapins avec des Ferrero Rochers (choisis car leur emballage en aluminium ne craint pas vraiment la colle) et les ai offert aux auxiliaires de puériculture qui s’occupent des enfants à la crèche. Voici le résultat :
Alors pour vous ça sera version déco ou version gourmande ?
DIY : collier en tissu (recycler ses T-shirts) #2
Eh oui, un nouveau tuto pour fabriquer un collier dit “de portage” ou “d’allaitement” (mais on n’est même pas obligé d’avoir des enfants pour en porter un ! ), vous comprenez maintenant à quel point je suis fan et à quel point ce genre de colliers a changé ma vie en me permettant de redevenir une femme coquette ? J’aime tellement ce concept que j’en offre autour de moi puisque les modèles que je vous ai présentés sont ceux que j’ai fabriqué pour les personnes qui s’occupent de Colombe à la crèche !
Pour ceux qui ont manqué les deux derniers tutos, la séance de rattrapage est ici et ici 😉
Je vous présente ce modèle en dernier car il est légèrement plus compliqué que les autres (rien d’extraordinaire je vous rassure). Il comporte pas mal de coutures qui doivent être solides et discrètes. Il prend donc aussi plus de temps à réaliser que les autres.
Matériel nécessaire :
- un vieux T-shirt
- une vieille chemise
- quelques chutes de tissus
- du fil assorti et une aiguille
Réalisation :
Découpez le bas du T-shirt et celui de la chemise afin d’en retirer l’ourlet, garder les de côté.
Couper 3 lanières de tissu dans le T-shirt et 3 autres dans la chemise.
Cousez les ensemble 3 par 3 (ici je les ai mises par couleur, mais on peut très bien les mélanger) et faites deux tresses. Cousez l’extrémité pour terminer chaque tresse.
Coupez une petite bande de tissus que vous enroulez sur elle-même afin qu’elle forme une fleur. Faites quelques points pour que le tissus garde cette forme de fleur et fixer la fleur sur une des tresses. Coupez un petit rectangle de la largeur de la fleur dans l’ourlet de la chemise que vous aviez mis de côté. Cousez ce rectangle à l’arrière de la fleur afin qu’il cache les points disgracieux.
Coupez une bande dans la chemise, pliée la dans le sens de la longueur et rentrez les bords. Maintenez le tout avec un fil apparent assorti aux couleurs choisies.
Coupez de nouveau plusieurs bandes dans le T-shirt, étirez-les une à une afin que les bords s’enroulent sur eux-mêmes. Cousez ces bandes entre elles aux deux extrémités.
Réunissez tous les éléments du colliers et cousez-les ensemble.
Dans une chute de tissus, découpez une bande de 30cm de long sur 12cm de large. Pliez la bande en deux et rentrez un centimètre de tissu pour la marge. Recouvrez une extrémité du collier dans le tube et cousez les deux éléments solidement comme sur la photo. Faites de même de l’autre côté et fermez le tube par un point discret.
Voilà un nouveau collier pour s’accorder avec toutes vos tenues ! Si vous voulez d’autres idées de colliers d’allaitement ou de recyclage de vieux T-shirt en bijoux, je vous propose de faire un petit tour sur mon tableau Pinterest “collier d’allaitement”, j’espère que ma sélection vous plaira !
DIY : Collier en tissu et perles en bois
Hier j’ai commencé à vous parler des colliers “de portage” ou “d’allaitement”, ces petits “bijoux” fantaisie qui réconcilient les mamans avec la coquetterie ! (Si vous n’avez pas vu l’article c’est ici !) Bien entendu, ces bijoux ne sont pas réservés aux mamans ou aux professionnels de la petite enfance. Jolis, colorés et personnalisables à l’envie chacune peut y trouver son compte.
Je vous présente donc un deuxième tuto aujourd’hui et le niveau augmente très légèrement. J’insiste bien sur le “très légèrement” car la seule chose qui pourrait en décourager certaines est qu’il va falloir se servir d’un fil et d’une aiguille. Mais c’est un ouvrage idéal pour les débutantes justement car toutes les coutures sont droites (ou presque) et si vous avez une machine à coudre, elles seront réalisées en moins de deux !
Matériel nécessaire :
- une bande de tissu de 10cm de large par 140cm
- des perles en bois non traité
- du fil assorti au tissu et une aiguille (et éventuellement une machin à coudre pour gagner du temps)
Réalisation :
Coupez une bande de tissu de 10cm de large et de 140cm de long et pliez-la dans le sens de la longueur pour obtenir une bande de 5cm de large. Avec un feutre pour tissu (effaçable à l’eau) tracez les bouts arrondis et les marges (0,5cm).
Cousez les deux épaisseurs de tissus sur les marques que vous venez de tracer. Laissez une ouverture à 10cm d’une des extrémités afin de pouvoir ensuite retourner le tissus et passer les perles.
Retournez le tissu et repassez-le afin d’obtenir un joli tube bien aplati.
À environ 35cm de l’extrémité fermée, faites un nœud, glissez une perle et refaites un nœud. Répétez l’opération jusqu’à ce que vous ayez mis toutes les perles.
Fermez l’ouverture du tube par un point invisible et votre collier est prêt !
On peut alors accessoiriser son collier en fonction de son humeur en rajoutant comme ici par exemple un anneau en bois non traité.
Alors, ça vous plaît ? À vos aiguilles !
DIY : collier en tissu (recycler ses T-shirts)
Il y a quelques mois j’ai découvert l’existence des colliers dit “de portage” ou “d’allaitement”. Pour une jeune maman comme moi qui avait remisé tous ses bijoux au placard par crainte que les enfants ne les détruisent et ne s’étouffent avec, ce fut une révélation !
Ces colliers sont faits à partir de matériaux sains (perles en bois non traité, tissus bio…) et les éléments qui les composent ne peuvent pas être avalés par les enfants (perles de plus de 4cm de diamètre). On peut également en fabriquer avec des matériaux de récupération comme de vieux T-shirts ou des chutes de tissus, ce qui est très économique en plus d’être écolo !
Étant conquise par le principe, je vais vous proposer ces prochains jours 3 tutos pour 3 types de colliers différents et 3 niveaux de réalisation.
Et je commence aujourd’hui par le modèle le plus simple à réaliser. Même un enfant peut le faire à condition de savoir tenir une paire de ciseaux et d’être capable de faire des nœuds ! Alors ça vous tente ?
Matériel nécessaire :
- un ou plusieurs vieux T-shirts. Leur nombre dépendra du nombre de couleurs voulues
- une paire de ciseaux
- éventuellement du fil assorti et une aiguille (mais cette étape est facultative !)
Réalisation :
Découpez l’ourlet en bas de chaque T-shirt (on ne s’en servira pas) puis découpez des bandes de 2 ou 3 cm de largeur. La découpe n’a pas besoin d’être très précise car les petits accros ne se verront pas au final. Quant au nombre de bandes : j’en ai utilisé 7 pour le collier que je vous présente, mais vous pouvez en mettre plus ou moins en fonction du volume que vous voulez donner à votre collier.
Attrapez une bande par les extrémités et tirez fort (pas trop quand même, il ne faut pas casser les bandes !). Les bords vont alors s’enrouler sur eux-mêmes et vos bandes auront un aspect bien plus joli. Répétez cette opération pour chaque bande de tissu.
Coupez ensuite les extrémités de chaque bande, c’est à dire la couture qui à l’origine était sur le côté du T-shirt. Ainsi on obtient deux bandes distinctes que l’on va nouer entre elles après les avoir éventuellement coupées pour obtenir la taille voulue pour son collier (réservez les chutes). Répétez l’opération pour chaque bande de T-shirt.
Superposez les bandes de tissu ainsi nouées en répartissant les nœuds, et avec les chutes obtenues à l’opération précédente (ou en découpant une nouvelle bande), nouez les bandes entre elles. Au niveau de la nuque, attachez toutes les bandes ensemble, puis nouez les bandes 3 par 3 en répartissant les nœuds sur tout le collier.
Dernière étape facultative : découpez un rectangle de tissu dans une des manches du T-shirt en gardant l’ourlet (rectangle de 10cmx5cm. Enroulez cette bande à l’arrière du collier (elle reposera sur la nuque) et fixez-la par quelques points de couture discrets.
Pour ceux qui auraient peur de sombrer dans 100 années de sommeil en se piquant avec une aiguille : à la place vous pouvez créer une rangée de “petits nœuds” en attachant toutes les bandes entre elles sur 10 cm !
Et voilà ! Votre collier est prêt à être admiré par tous et mâchouillé par bébé (ou pas d’ailleurs !)