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Nouveau look pour le blog grâce à Loli Pumpkin

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Lorsque j’ai commencé mon blog il y a 4 ans, je le voulais simple pour ses débuts. Puis je me suis prise au goût du partage sur internet et j’ai voulu développer mon “identité visuelle”. J’ai alors imaginé un blog au bleu doux qui rappelle l’enfance, j’y ai ajouté l’image de ce cheval à bascule qui a tant amusé ma fille (et mon fils par la suite) et j’y ai ajouté de petites étoiles. Mon blog était à mon image et à celle de ma famille. Mais, les enfants grandissant, et notre vie ayant pris un tout nouveau tournant avec l’expatriation et le début de l’instruction en famille, j’ai eu envie d’accorder l’image du blog à ces changements. Et cette fois, je me suis fait plaisir en m’offrant une jolie bannière et un portrait de famille fait par une dessinatrice de talent !

Loli Pumpkin

Je connais Loli Pumpkin depuis un moment puisque cela date de l’ouverture de son blog de l’époque “Appellation Maman“. Nous avons beaucoup partagé sur nos vies de mamans et sur les activités de nos enfants via nos blogs respectifs, et j’ai découvert une très belle personne. Il y a quelques mois, elle a arrêté son blog pour se consacrer à une passion qu’elle a développé un peu grâce à lui : le dessin. Mais le mieux c’est peut-être que je la laisse se présenter elle-même !

Loli Pumpkin illustrations

 

“Journaliste de formation, et maman d’un trio, option jumelles, j’ai, après 8 ans de bons et loyaux services, eu une soudaine envie de me lancer dans une nouvelle aventure.

Une maman un peu dépassée. Un blog pour raconter son quotidien. Et une vieille tablette graphique qui prenait la poussière dans un coin. C’est ainsi que tout a commencé. Pour illustrer mon blog, je me suis mise à dessiner ma famille “de dos”. Une marque de fabrique qui ne me quittera plus. Des personnages de dos, pour faire planer le mystère.

Des hauts, des bas, mais toujours cette furieuse envie d’aller toujours plus loin, de me dépasser, de sortir de ma si rassurante “zone de confort”. De prouver à tous, mais surtout à moi, que même sans formation artistique autre que du piano, du chant et du théâtre, j’ai tout pour réussir dans le domaine du dessin.

Deux années et de nombreux dessins plus tard c’est ainsi qu’est née Loli Pumpkin.

Un pseudo qui raconte mon surnom, mon côté “femme derrière la maman”, mon côté sorcière, et mon amour de l’automne. Un pseudo que je voulais coloré, rond et pétillant.

Tout comme mes illustrations. Portraits de dos, faire-part de naissance, de mariage, affiches pour enfants, cartes étapes, cartes de vœux, logos, bannières de blog… et tout ce qui nous passera par la tête, à vous, à moi. Car Loli Pumpkin c’est ça. Évoluer au grès des envies et des demandes, au service de l’imagination.”

La boutique

Sur sa boutique Etsy, Loli Pumpkin décline ses dessins sous forme d’affiches, de faire-part ou de cartes d’invitation par exemple.

Invitation anniversaire de l'espace par Loli Pumpkin

Invitation d’anniversaire

 

Faire-part de naissance par Loli Pumpkin

Faire-part de naissance

 

Cartes étapes de Loli Pumpkin

Cartes étapes

 

Vous pouvez choisir parmi les nombreux produits figurants sur la boutique (des cartes étapes aux fiches pour noter ses recettes de cuisine !) ou passer une commande personnalisée comme je l’ai fait ! Loli Pumpkin propose notamment de jolis portraits de famille de dos, qui m’ont inspirés pour mon nouveau logo !

Portrait de famille de dos par Loli Pumpkin

 

Mon nouveau logo et ma nouvelle bannière

Pour le logo du blog, j’avais envie d’un portrait de famille face aux tours de Dubaï ! Loli Pumpkin a été très à l’écoute, dessinant les tours qui représentaient ma nouvelle vie et changeant chaque détail jusqu’à ce que je trouve le dessin parfait ! Ce portrait de famille me présente avec mes deux petits, portant leurs capes de super héros comme ils le font souvent lors de nos promenade.

Logo A dada et au Dodo ! par Loli Pumpkin

Je voulais une bannière qui représenterait mon blog depuis sa création, et cela tombe bien car Loli Pumpkin et moi nous connaissons depuis longtemps. Elle a su prendre en compte toutes mes demandes et aussi ajouter des détails auxquels je n’avais pas pensés mais qui représentent tellement mon blog ! Il y a bien sûr mon joli cheval à bascule qui est un peu le point de départ de ce blog. Il y a aussi un Bilibo, ce jouet pour lequel j’ai eu une véritable révélation et auquel on m’associe souvent. Et puis il y a le jeu, la création, et l’instruction…

 

Une surprise pour vous !

Pour fêter notre jolie collaboration, Loli Pumpkin et moi avons décidé de vous gâter ! Ainsi pendant un mois (jusqu’au 16 août 2018), vous pourrez bénéficier de 20% de réduction sur la boutique (hors portraits de famille) avec le code ADADA

Et pour ne rien manquer du travail de Loli Pumpkin, allez vite vous abonner à sa page Facebook et à son compte Instagram !

Alors, le travail de Loli Pumpkin vous plaît ? Vous aimez mon nouveau logo et ma bannière ? Dites le moi en commentaire car j’adore vous lire !

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Un arc-en-ciel en perles – diy

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Il est assez rare que je fasse une activité manuelle seule avec Petit O’ (3ans) car en général, si l’activité est à sa portée, c’est qu’elle est aussi à celle de Colombe (5 ans). Et pourtant, lorsque l’activité prévue est trop compliquée pour lui, je la fais seule avec Colombe. Alors pour une fois, je me suis dit que j’allais faire une activité manuelle seule avec mon petit garçon ! Depuis un moment j’avais envie de fabriquer un arc-en-ciel avec des perles et du fil chenille que j’avais vu sur Pinterest. Comme l’idée lui a plu, nous nous sommes lancés !

 

Le matériel nécessaire pour fabriquer un arc-en-ciel

Matériel nécessaire à la fabrication de l'arc-en-ciel

  • Des morceaux de fil chenille aux couleurs de l’arc-en-ciel
  • De grosses perles aux couleurs de l’arc-en-ciel également
  • Une plaque de carton
  • Une paire de ciseaux
  • Un pistolet à colle
  • Quelques boules de coton
  • De la colle liquide

La fabrication de l’arc-en-ciel

Tout d’abord, j’ai coupé les morceaux de fil chenille pour que chaque fil soit de plus en plus petit, et en respectant l’ordre des couleurs dans l’arc-en-ciel.

fil chenille arc-en-ciel

Puis j’ai collé les morceaux de fil chenille sur le carton à l’aide du pistolet à colle. Comme la base des fils sera recouverte de coton, il n’est pas nécessaire de les coller joliment. Le principal est que les fils tiennent bien car l’enfant va les manipuler pendant un moment.

coller les fils chenilles sur la planche de carton

Vient maintenant la première partie de l’activité réalisée par l’enfant : j’ai demandé à Petit O’ d’enfiler des perles de la couleur correspondante sur chacun des fils chenilles. Je lui ai conseillé de commencé par le centre (le fil rose), ainsi les fils sont de plus en plus long à remplir et l’enfant ne se décourage pas dès le premier fil.

enfiler des perles

Une fois toutes les perles mise, on recourbe les fils chenilles et on les colle sur la planche de carton.

L’enfant intervient de nouveau et colle les boules de coton sur la planche de carton, cachant ainsi la colle à la base des fils.

 

Après séchage, l’arc-en-ciel est prêt à être exposé pour embellir la chambre de nos petits !

Arc-en-ciel en perles et fil chenille

Et Petit O’ est tellement fier de son arc-en-ciel qu’il a choisi d’en faire le sujet de sa photo pour le rendez-vous A Travers leurs yeux d’enfants…

Arc-en-ciel en perles et fil chenille

L’arc-en-ciel trône maintenant fièrement dans la chambre de mes deux petits, et mon garçon est tellement heureux de nous rappeler à chaque fois qu’il l’a fait seul que je réalise à quel point j’ai bien fait de prendre ce temps seule avec lui ! Et vous, prenez-vous du temps pour créer avec chacun de vos enfants indépendamment ? Quelles sont leurs activités préférées ?

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Le Pays des Merveilles – À Travers leurs yeux d’enfants…

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Voilà notre dernier rendez-vous À travers leurs yeux d’enfants… avant la pause estivale. Enfin, dernier… j’ai tout de même un petit challenge à vous proposer en fin d’article ! Mais revenons au sujet : ce mois-ci, les enfants nous présentaient leur vision du “Pays des merveilles”.

Logo À Travers leurs yeux d'enfants...

 

Notre vision du Pays des merveilles

Les enfants et moi étions très motivés par ce sujet et nos photos ont été prises rapidement. Mais je ne vous le cache pas, notre esprit s’est rapidement détourné du défi car nous avons déménagé début juin.

Pour Colombe (5 ans), le Pays des merveilles a pris la forme d’une salade ! Depuis des semaines, elle admire les fleurs comestibles qu’on trouve au supermarché ici. Ces fleurs étant un peu chères, je lui avais promis qu’on en goûterait, mais je lui avais dit qu’il fallait attendre une occasion spéciale. Illustrer sa vision du pays des merveilles et cuisiner une “salade des fées” était selon elle l’occasion rêvée !

 

Salade de fleurs

Salade de fleurs

Salade de fleurs

Comme vous le voyez, Colombe s’est appliquée à faire sa salade autant qu’à mettre ses photos en scène. Et pour les curieux : oui, ces fleurs était excellentes ! Et le plus surprenant (ou pas…) c’est que leur goût change en fonction de leur couleur !

 

Petit O’, lui a voulu illustrer “Le pays des merveilles” avec l’arc-en-ciel qu’il venait de fabriquer. C’est assez rare que je réalise un projet artistique seule avec lui, car nous faisons généralement les projets tous les 3 avec sa grande sœur et lui. Il était donc ravi de ce projet en tête à tête et voulait absolument le montrer !

 

arc-en-ciel

 

Votre vision du Pays des Merveilles

Peu d’enfants ont été inspirés ce mois-ci. Ou alors, peut-être que la fin d’année scolaire était un peu trop chargée ! Il n’y a donc eu qu’une seule participation et c’est celle de Petit Poussin, le fils de Extraordinaire maman pivert qui nous présente une illustration du pays des merveilles croisé sur son chemin.

 

Les prochains rendez-vous

L’année scolaire se termine, et comme l’année dernière, je vous propose de faire une pause estivale. Mais pour être honnête avec vous, le rendez-vous ne reprendra sans doute pas en septembre. Cette année, il y a eu beaucoup moins de participations, mais je ne pense pas que cela soit faute d’intérêt. J’ai remarqué que nous étions nombreuses (oui, moi la première) à avoir du mal à trouver le temps de réunir les photos des enfants et à écrire un article de blog chaque mois. Et pour tout dire, ce rendez-vous semble être devenu une contrainte, alors que je l’avais créé pour éveiller l’intérêt de nos enfants pour les belles images.

Je vous propose donc un format plus simple : des challenges photos saisonniers sur Instagram (et Facebook pour ceux qui préfèrent !). C’est d’ailleurs par un challenge sur Instragram qu’était né À Travers leurs yeux d’enfants… Ce sera donc un retour aux sources !

Je vous propose de commencer dès maintenant un challenge “L’été à travers leurs yeux d’enfants…” !

 

Je vous propose donc 32 thèmes que les enfants pourront illustrer en photos ! Bien-sûr, il n’y a aucune obligation à illustrer tous les thèmes, ni à suivre un ordre particulier. Le but de ce rendez-vous est de prendre du plaisir avant tout, mais aussi de susciter la curiosité des enfants, favoriser les échanges avec l’adulte, et pourquoi pas à travers cela, apprendre quelques techniques de photo et se faire de beaux souvenirs de vacances !

Pour participer, il vous suffit de poster les photos de vos enfants avec le hashtag #leteatraversleursyeuxdenfants en me taguant pour que je ne manque aucune de vos publications (sur Intasgram ou sur Facebook). N’hésitez pas non plus à partager l’image ci-dessus qui reprend tous les thèmes, et à inviter vos amis à participer !

 

Et maintenant vous avez la parole ! Comment trouvez-vous cette idée de rendez-vous saisonnier ? Est-ce que cela vous paraît plus facile qu’un rendez-vous mensuel ? Est-ce qu’au contraire vous aimeriez plutôt reprendre le rendez-vous en septembre ? Ma décision n’est pas irrévocable et je suis ouvertes à vos suggestions, alors donnez-moi votre avis en commentaire !

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Apprendre les formes et les volumes en maternelle

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Puisque nos enfants ne vont pas à l’école, il nous faut les instruire. Et pour Papa À Dada ! et moi, une instruction efficace passe par l’apprentissage d’un vocabulaire précis. Car lorsqu’on apprend un mot “simplifié” à un enfant, cela suppose qu’on va l’obliger à apprendre le mot “technique” ou plus précis quand il sera plus grand. On demande donc à l’enfant d’apprendre 2 fois. Nous avons voulu appliquer cette idée (qui va dans le sens de la pédagogie Montessori, si je ne me trompe pas) à l’apprentissage des noms des formes et volumes en géométrie, et pour cela nous nous sommes équipés !

De quoi manipuler des formes et des volumes

La manipulation est essentielle dans l’apprentissage chez l’enfant. Vous avez remarqué comme votre petit a besoin de toucher à tout, et que même si vous le mettez en garde, il a bien du mal à ne pas poser sa petite main sur cet objet tout nouveau ? C’est parce qu’il a un réel besoin de toucher pour appréhender les choses nouvelles.

Ce besoin est compréhensible car finalement, ne vous est-il jamais arrivé, en tant qu’adulte, d’avoir une envie quasiment irrépressible (mais quasiment, hein, on est bien élevé quand même !) de toucher un objet dans une matière qui vous est complètement étrangère ? Quand vous avez vu du slime ou  du Super Sand pour la première fois, vous n’avez pas eu envie de toucher, même du bout du doigt ? C’est cette même envie qui animent les enfants quand ils “touchent à tout”, et il est bien normal que lorsqu’on leur explique que le carré a des bords droits et le cercle, un bord arrondie, ils ressentent cette envie de sentir la différence.

Voilà pourquoi nous avons acheté des formes et des volumes en bois. Les concepts sont plus facilement appropriables pour les enfants s’ils peuvent les visualiser en 3D (ce qui à partir d’un dessin sur une feuille de papier peut devenir très compliqué pour un petit de 3 ans) et les toucher. Nous avons choisi des objets en bois car c’est une matière noble qui est recommandée par plusieurs pédagogies (Montessori, Steiner-Waldorf…), mais il en existe aussi en plastique, et nous fabriquerons les formes qui nous manquent en carton : car quand on déménage souvent et juste avec des valises, le bois… c’est très lourd ! Et parce que ces mêmes pédagogies encouragent à la manipulations de matériaux présents dans l’environnement de l’enfant, mais nos enfants ne vivent plus vraiment dans des forêts… L’un des plus gros enjeux de notre époque est l’écologie, le recyclage et la revalorisation des matériaux. Fabriquer une partie des jouets en recyclant de vieilles boîtes en carton est donc (selon moi, et cela n’engage que moi !) un moyen d’ancrer nos enfants dans leur époque !

Formes et volumes en bois

Voici donc nos formes et volumes en bois, achetés sur le boutique Tout Pour le Jeu. Le lot comprend 4 formes : un carré, un rectangle, un cercle et un triangle équilatéral, et 7 volumes : une sphère, un cube, un parallélépipède rectangle, un pyramide, une pyramide à base triangulaire, un cône et un cylindre. Tout le matériel est fabriqué sur la même échelle, ainsi l’enfant peut comparer le poids de chacun, et vérifier avec la forme de la base de chaque volume.

Pour compléter ce matériel, j’ai imprimé (et découpé, plastifier) ces cartes de nomenclature sur le formes géométrique et les cartes sur les volumes du site En terre d’enfance.

 

Jeux pour apprendre les formes et les volumes

J’ai placé toutes les cartes, formes et volumes sur un plateau que nous prenons à chaque fois que nous voulons faire cette activité.

Nous commençons généralement par identifier les figures représentées sur les cartes. Parfois, ma Colombe essaye de déchiffrer les noms écrits sur les cartes. Parfois, c’est mon Petit O’ qui déchiffre (enfin qui se fait plaisir en reconnaissant une lettre par-ci, par-là).

Puis les enfants associent chaque forme ou  volume à la carte correspondante.

 

Associer les formes et leur image

Associer les formes et volumes à leur image

Nous abordons différentes notions comme l’angle droit, les côtés égaux, la base d’un volume… Et les enfants comparent les formes et volumes entre eux.

Comparer les formes et les volumes géométriques

Enfin nous terminons souvent l’activité par de petits jeux tels que trouver dans la maison les mêmes formes ou les mêmes objets que sur les cartes. Les enfants adorent ce genre de chasse au trésor qui ne se révèle pas toujours facile. À la fin nous rassemblons tous les objets trouvés sur la table de travail.

Chasse au trésor des formes et volumes

… tous les objets, ou presque ! Lors de notre dernière chasse au trésor des formes et des volumes, les enfants ont cherché leur balle rebondissante partout dans la maison, en vain. C’est alors que Petit O’ a eu une idée qui nous a beaucoup amusées : “J’ai trouvé une sphère : ma tête !”

Ma tête est une sphère !

Bien que le vocabulaire paraissent compliqué les premières fois, Colombe et Petit O’ adorent ces leçons de géométrie. En ce moment, il ne se passe pas une journée sans que l’un d’eux ne réclame cette activité. Au fil des séances, ils deviennent fiers d’avoir mémorisé ces nouveaux mots qui leur paraissaient si étranges au début. Je n’ai pas encore introduit les cartes muettes à associer avec les cartes noms car Colombe n’est pas encore assez à l’aise avec la lecture. Mais je suis certaine que lorsque j’introduirai cette nouvelle activité, elle lui procurera encore plus de fierté et lui donnera l’envie d’apprendre !

 

Vos enfants aussi sont motivés par ce genre d’activités ? Vous aimez vous inspirer des pédagogies alternatives pour enseigner à vos enfants ? Comment avez-vous abordé la géométrie avec eux ? En commentaire vous pouvez me donner vos idées d’activités, votre approche et réagir sur ma façon de faire ! J’adore vous lire et échanger avec vous !

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Le Ramadan à Dubaï

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Je viens de vivre mon premier mois de Ramadan ici, et Dubaï étant en pays musulman, la vie quotidienne est grandement changée pendant ce mois. Je me suis donc dit que j’allais partager avec vous, ce qui change à Dubaï pendant ce mois si particulier.

Ce qu’il faut faire ou non pendant le mois de Ramadan

Le mois de Ramadan, est le mois béni pour les musulmans, qui à cette occasion jeûnent du lever des premières lueurs de l’aube (merci Extraodinaire Maman Pivert pour la précision !) au coucher du soleil. C’est aussi pour eux un mois de partage et de gratitude, et pour que tout se passe dans les meilleures conditions, une règle à respecter : ne pas manger ni boire en public. La règle est claire et tout contrevenant risque une amende ! D’ailleurs si vous achetez de la nourriture à emporter, il se peut qu’on vous l’emballe dans un sachet fermé par un autocollant rappelant la règle (mais cette pratique n’est pas généralisée).

 

Recommandations pendant le Ramadan à Dubaï

Les enfants, personnes âgées, malades ou femmes enceintes sont soumis à plus de souplesse. Même s’il est préférable que ces catégories de personnes mangent uniquement dans les lieux dédiés, elles peuvent boire en public, et éventuellement manger (assez discrètement tout de même) Une personne âgée pourra manger un morceau de fruit pour lutter contre l’hypoglycémie par exemple. Bref, il est interdit de boire ou manger en public, mais les gens font preuve de bon sens.

 

Et on fait comment pour manger la journée pendant le Ramadan à Dubaï ?

Je vous rassure, on trouve tout de même de quoi manger à Dubaï pendant le Ramadan. Pour les non-musulmans, certains restaurants restent ouverts et proposent leurs plats à emporter. D’autres permettent de manger sur place : ils cachent leur devanture par des paravents, des rideaux ou recouvrent leurs fenêtres d’autocollants qui obstruent la vue. Et le fait de proposer la restauration sur place est une vraie publicité pendant ce mois où l’offre est restreinte !

Café proposant de la restauration à emporter.

 

Restaurant caché pour des paravents la journée

 

Restaurant ouvert toute la journée et à l'abri de la vue

Dans la plupart des centres commerciaux, le food court (lieu regroupant de nombreux comptoirs de restaurants fast food et des tables pour s’installer) sont ouverts mais leur entrée est cachée par des paravents. Cela permet de manger normalement lorsqu’on passe la journée au centre commercial. Et comme les tables sont mises en commun et n’appartiennent à aucun restaurant particulièrement, on peut aussi apporter son propre repas fait à la maison !

 

Le mois de Ramadan est une période de partage à Dubaï

On parle beaucoup de la restriction de nourriture pendant le Ramadan, mais les moments où l’on mange prennent beaucoup d’importance. Ainsi, la plupart des restaurants organisent des buffets à volonté pour l’Iftar (repas du soir qui rompt le jeûne vers 19h) et pour le Suhour (dernier repas de la nuit avant le lever du soleil vers 3h du matin). C’est l’occasion de se réunir entre amis musulmans ou non (et en famille) pour partager un bon repas. Pour être honnête avec vous, j’avoue tout, j’ai testé quelques Iftar, mais je n’ai jamais eu le courage de me lever pour le Suhour !

Certaines associations de quartier et certaines mosquées organisent aussi des repas d’Iftar : chacun, musulman ou non, vient avec un plat et partage son repas avec les autres.

Pour les personnes qui ne veulent pas sortir ni cuisiner pour l’Iftar, on trouve des “Iftar Box” dans les supermarchés. Elles sont composées d’un repas complet avec dessert, ainsi que des dattes pour rompre le jeûne. Et leur prix est très raisonnable : moins de 5 € pour celles de la photo ci-dessous.

Mais il y a a Dubaï de nombreux travailleurs pauvres, et afin que tous les musulmans puissent rompre le jeûne comme il se doit, des frigos sont installés directement dans les rues de Dubaï. On les trouve à des points clés : près des mosquées ou aux abords des chantiers de constructions. N’importe qui, musulman ou non, y apporte de la nourriture, et c’est à ces frigos qu’on voit que la générosité n’est pas une question de culture ou de religion : elle est universelle. Les élèves des écoles et des crèches vont les remplir à tour de rôle, et lorsqu’un frigo semble vide, il suffit que quelqu’un le signal sur les réseaux sociaux et des âmes charitables le remplissent de nouveau.

De même les collectes de dons fleurissent : les points de dons des associations se multiplient dans les centres commerciaux. On peut y faire des dons d’argent, de vêtements ou de jouets.

Le mois de Ramadan est une période festive à Dubaï

Bien entendu, le mois du Ramadan est festif à Dubaï qui se pare de jolies décorations. Les centres commerciaux s’illuminent de lunes et d’étoiles brillantes.

Décoration de Mall of The Emirates pour le Ramadan.

Les enseignes affichent de jolis posters souhaitant un joyeux Ramadan (Ramadan Kareem). Certaines étaient très classiques, mais j’en ai repéré quelques unes qui m’ont fait sourire !

 

Ramadan Kareem par Hello Kitty

Ramadan Kareem par Lego

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Unschooling : les rituels qui rythment nos journées

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Il y a quelques semaines, je vous expliquais comment nous étions arrivés au unschooling. Depuis plusieurs mois maintenant, mes enfants (3 et 5 ans) ne vont plus à l’école et il a fallu réinventer le rythme familiale. Je dois avouer que trouver une organisation qui permette aux enfants d’évoluer et d’apprendre sereinement (comprenez parvenir à les canaliser afin qu’ils ne fassent pas de la maison un champs de bataille), et à chacun d’avoir des moments pour soi (comprenez : libérer des moments pour que maman ne deviennent pas complètement folle) n’a pas été une mince affaire. Pour être honnête, même si nous avons trouvé notre voie avec le unschooling, nous n’avons sans doute pas encore atteint l’équilibre parfait, mais nous nous en sortons bien la plupart du temps et je sais que nous sommes en bonne voie ! Et cela grâce à l’organisation dont je vous propose de vous parler aujourd’hui !

cerf-volant

Unschooling : notre organisation au quotidien

Ce qui nous plaît le plus dans le unschooling, c’est sans doute cette liberté de choisir le programme quotidien. Si nous avons envie d’aller à la plage, nous le faisons. Si une copine nous appelle pour nous proposer une sortie à la dernière minute, nous sommes généralement disponibles. Si nous avons envie de rester à la maison et de travailler de manière plus formelle, nous en avons également la possibilité. Mais Colombe et Petit O’ n’ont que 5 et 3 ans et ont encore besoin de repères clairs dans la journée pour ne pas se retrouver perdus (et par là j’entends : pour ne pas faire des crises monumentales !). Nous avons donc un certain nombre de temps forts qui rythment la journée :

  • Le petit-déjeuner : c’est sans doute le pilier de notre journée puisque nous le prenons toujours à la maison. Nous ne le prenons pas toujours tous ensemble puisque chacun le prend à son réveil (et que les enfants se réveillent quand ils veulent, n’ayant pas de contrainte horaire). Le petit-déjeuner est l’occasion pour nous de lire des poésies et de les apprendre. Je trouve important que les enfants apprennent des choses par cœur afin d’entraîner leur mémoire. Et après avoir essayé la lecture de poésies à différents moments de la journée, j’ai remarqué que le petit-déjeuner était le moment qui nous convenait le mieux. Les enfants sont très disponibles, et la poésie les canalise.
  • Le déjeuner avec Papa À Dada ! (oui, nos temps forts de la journée sont clairement orientés bouffe !) : mon mari a la chance de pouvoir rentrer à la maison sur l’heure du midi et nous en profitons largement. Si nous faisons une sortie, c’est souvent en matinée mais nous nous arrangeons pour être rentrés pour le déjeuner. Les enfants sont contents de raconter leur matinée à leur papa, et j’ai l’impression d’avoir une petite pause qui coupe ma journée.
  • Le temps calme du début d’après-midi : malheureusement (pour moi, car admettons-le tout parent savoure intensément les moments de sommeil de son enfant) mes enfants ne font plus la sieste. Mais j’essaye d’instaurer un temps calme car je me sens souvent épuisée après le déjeuner (oui, je sais, manger moins lourd, toussa toussa…).  C’est généralement un moment durant lequel nous lisons des histoires. Mais j’avoue que lorsque je suis vraiment fatiguée, nous nous installons pour regarder un dessin animé.
  • Le temps rituel du soir : comme dans la plupart des familles, le rituel du soir est un des piliers de la journée. Chez nous, les enfants ont le droit de faire une activité calme (nous les encourageons à prendre un livre, mais ne les y forçons pas) et en autonomie avant que nous n’éteignons la lumière.

Bien-sûr, en fonction de nos activités, nous ne respectons pas toujours tous ces moments forts. Mais il reste toujours quelques temps forts pour cadrer la journée et rassurer les enfants.

Découpage de notre semaine unschooling

La semaine aussi est découpée en temps forts :

  • Le découpage jours de semaine/week-end : en semaine, Papa À Dada ! travaille en dehors de la maison. Toutes les sorties en familles ont donc lieu le week-end (vendredi-samedi ici à Dubaï).
  • Les activités extérieures régulières : les cours de gym, de natation, l’heure du conte à la bibliothèque sont autant de repère dans la semaine.
  • Le jour de la cuisine des enfants : j’ai instauré ce petit rituel qui nous fait rentrer dans le week-end, chaque jeudi soir, les enfants préparent le repas pour toute la famille. Ils réfléchissent au menu pendant la semaine, établissent la liste de courses, et le jeudi, nous allons acheter ce dont nous avons besoin et nous cuisinons ensemble.

Comme les repères quotidiens, ces repères sont flexibles. Les cours s’arrêtent pendant les vacances, il arrive que les enfants n’aient pas envie de cuisiner le jeudi (ou que je n’ai pas le courage de superviser), mais il en reste toujours quelques uns. Et globalement, Colombe (5 ans) et Petit O’ (3 ans) arrive facilement à se repérer dans le temps.

Outre les rituels, le repérage passe aussi par quelques outils comme la poutre du temps, ou un semainier.

Grandir librement !

De l’intérêt de structurer le temps, même en unschooling

Le principe de unschooling est de suivre les apprentissages de son enfant en l’accompagnant, sans le contraindre et en essayant de le guider sans le détourner de sa route. Il ne s’agit pas de faire n’importe quoi, n’importe quand et de vivre sa vie uniquement sur des impulsions du moment et sur de l’improvisation, même si l’improvisation a bien-sûr ça place dans ce mode de vie. Le jeune enfant a besoin de repère temporel et de structures, et c’est en les lui apportant, comme une fondation dans son développement, que l’on peut ensuite facilement intégrer l’improvisation. Parce que la nouveauté peut être effrayante, elle est bien plus facilement appréciée si elle se place dans une structure stable. Ainsi, les quelques rituels que nous entretenons en famille, sont autant de piliers sur lesquels mes enfants peuvent s’appuyer pour accepter les nouveautés.

Et quand à 3 ans, on changé de pays, quitté tous ses copains, quitté l’école et changé de langue et de culture au quotidien, les piliers ont plutôt intérêt à être bien solide !

Et chez vous, quels sont les rituels qui structurent votre journée ? Dites le moi en commentaire, car c’est toujours un plaisir pour moi de vous lire et d’échanger avec vous !

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Les insectes – À Travers leurs yeux d’enfants…

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Pour le thème d’À travers leurs yeux d’enfants ce mois-ci, les enfants de Claire du blog Rêves de Fripouilles ont choisi : “Les Insectes”. Un thème intéressant et qui nous a demandé de bien ouvrir l’œil !

Notre interprétation du thème : Les insectes

Depuis quelques mois, notre immeuble est envahi par de petites bêtes répugnantes, mais qui rentrent bien dans le thème de notre rendez-vous : les cafards ! À l’annonce du thème je me suis dit que nous avions un sujet tout trouvé ! Mais voilà… l’immeuble est aspergé de produit tous les 24 du mois, et à l’annonce du thème, il n’y avait plus âme (d’insecte) qui vive dans le bâtiment. Nous avons donc dû ouvrir grand les yeux car les insectes ne sont pas très nombreux à Dubaï (même eux souffre de la chaleur !).

Finalement nous avons trouvé une colonie de fourmis charpentières près de la porte de notre salle de bain (oui, je sais, notre immeuble fait rêver…). Alors nous avons sauté sur l’appareil photo ! Mais ces fourmis sont minuscules et même en mode macro nous avons eu du mal à obtenir un bon résultat. Voici tout de même une fourmi portant un bout de feuille.

Fourmis portant une feuille

Fourmis portant une feuille

Peu convaincus par nos photos, nous avons continué à chercher. Et Petit O’ (3 ans) est tombé sur une photo de blatte dans son “livre préféré des animaux”. Il a reconnu “l’insecte que tu veux tuer avec la raquette électrique quand il court dans la cuisine” et s’est dit qu’on pouvait prendre cette page en photo comme exemple.

Le livre des animaux

Et finalement, hier, lors d’une promenade, nous avons trouvé un groupe de fourmis affairées à manger (un autre insecte, oui… le règne animal est impitoyable…) que Colombe (5 ans) s’est empressée de prendre en photo !

Fourmis

Votre interprétation du thème : les insectes

Chez Rêves de Fripouille, les enfants ont bien exploité le thème qu’ils avaient choisi, prenant des photos un peu partout et tout au long du mois !

Chez Extraordinaire Maman Pivert, Petit Poussin a affronté ses peurs pour approcher les insectes !

Chez Mon Joli Petit Bureau, Ethan et Emmy ont tous deux été enthousiasmés par le thème !

Le prochain rendez-vous

Merci à tous les photographes en herbe qui ont participé ! Vous le savez, c’est toujours un plaisir pour moi de voir à travers leurs yeux d’enfants… Le thème du mois de juin m’a été inspiré par une bande de copines savantes-fo-folles qui se lancent dans le défi créatif de  Oui are Makers sous le nom de “Oui are made team” ! Je vous propose donc de soutenir la Mad Team ce mois-ci en proposant à nos petits artistes d’illustrer le thème : “Le pays des merveilles” et en postant leurs photos directement sur les réseaux sociaux avec les hashtags #ouiaremadteam et #challengeouiaremakers (et #atraversleursyeuxdenfants)(sans oublier de me taguer !). Et vous pourrez présenter toutes les photos de vos petits dans un article publié le 20 comme chaque mois !

Alors, le pays des merveilles ça vous dit ?

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Le Gruffalo – Chut les enfants lisent…

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Lors de nos vacances en Normandie au mois d’avril, j’avais décidé de faire profiter à mes enfants de cette nature verdoyante qui nous manque tant à Dubaï ! J’ai donc choisi d’emporter dans nos valises, un livre devenu maintenant classique dans la littérature enfantine britannique : Le Gruffalo !

 

The Gruffalo

L’histoire du Gruffalo

Une petite souris se promène dans une forêt sombre… Elle y rencontre de nombreux animaux qui ferait bien d’elle leur déjeuner ! Mais maligne, la souris leur explique qu’elle s’en va manger avec le gruffalo, une bête aux canines et aux griffes acérées ! Les animaux prennent peur et laissent la souris poursuivre son chemin de peur de se faire manger par le Gruffalo !

 

Gruffalo : la souris rencontre le renard

 

La souris continue son chemin tranquillement jusqu’à ce qu’elle croise… le Gruffalo ! Elle va alors devoir être bien plus maligne encore pour se sortir du danger !

 

Description du Gruffalo

Notre avis sur le Gruffalo

Le Gruffalo est une histoire pleine d’humour, qui joue sur le rythme et les sonorités (en anglais du moins, le texte est écrit en rimes.). Colombe (5 ans) était réticente à l’idée de lire cette histoire au départ car elle n’aime pas les histoires avec des bêtes féroces qui font peur. Mais finalement, il n’y a point de peur à avoir et le livre nous suggère d’ailleurs que les apparences sont parfois trompeuses.

 

Le gruffalo

Mes enfants écoutent cette histoire avec autant de plaisir à chaque fois. Le personnage de la souris est très attachant et ils aiment suivre son voyage. C’est aussi l’occasion d’enrichir leur vocabulaire (d’autant que nous lisons le livre en anglais).

Pour aller plus loin dans la lecture du Gruffalo

Depuis sa première édition en 1999, le Gruffalo a connu un immense succès. Il a été traduit dans de nombreuses langues et a été décliné en plusieurs histoires, films et produits dérivés. Sur le site du Gruffalo.com, on trouve des recettes de cuisines, des activités et même la chanson du Gruffalo (l’auteur, Julia Donaldson a composé une chanson pour chacune des histoires qu’elle a écrite). Il y a vraiment de quoi faire pour occuper les petits fans de cette histoire. Et c’est sans compter tous les cahiers d’activités que l’on peut trouver en magasin ! Mais chut ! Ça, je vous en parle dans un autre article !

 

Julia Donaldson, Axel Schffler, The Gruffalo, 1999
La version française a été publiée aux éditions Gallimard Jeunesse.

Cet article est ma participation au rendez-vous “Chut, les enfants lisent“, organisé chaque mercredi par le blog Devine qui vient bloguer ? afin de nous faire découvrir de belles histoires à lire avec nos enfants !

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Découvrir la nature sur les traces du Gruffalo : le cahier d’activités du printemps

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Connaissez-vous l’histoire du Gruffalo ? C’est le livre qui nous a accompagné lors de notre récent séjour en France : une histoire de petite souris qui se promène dans une forêt sombre et fait preuve d’une grande ruse pour convaincre ses prédateurs de ne pas la manger ! Si j’ai choisi de glisser cette histoire dans nos valises, c’est que j’avais très envie que Colombe (5 ans) et Petit O’ (3 ans) se rapproche un peu de la nature verdoyante qui nous manque tant à Dubaï. Et pour cela, j’avais également acheté le cahier d’activités autour du printemps appelé “Sur les traces du Gruffalo”

 

Sur les traces du Gruffalo
Désolée pour la luminosité des photos, mais comme vous le constatez, le soleil normand nous a accompagnés toutes les vacances !

Découvrir la nature sur les traces du Gruffalo

Le petit cahier d’activités autour du printemps du Gruffalo est joli et coloré. Les activités sont variées, allant de l’observation simple de la nature, au dessin, en passant par le coloriage, le collage de gommettes… De quoi capter l’attention des petits lecteurs et l’inciter à explorer son environnement.

Découvrir le printemps sur les traces du Gruffalo

Découvrir le printemps sur les traces du Gruffalo

Observer et dessiner chenille et papillon

 

L’enfant est invité à observer les couleurs, à faire des chasses au trésor où il doit tenter de retrouver dans la nature, les fleurs/insectes/plantes qu’il voit sur le cahier.

Le cahier l’invite également à manipuler avec les quelques exemples de Land Art. Colombe et moi nous sommes d’ailleurs inspirées du livre pour reproduire notre propre Gruffalo !

Land Art du Gruffalo

Land Art du Gruffalo

Comme nous n’avions pas envie de nous contenter de coller des autocollants pour chaque fleurs que nous avons vue, nous en avons ramassé et fait sécher quelques unes que nous avons collées sur les pages de notes à la fin du cahier.

 

fleurs séchées

Observer la nature au printemps

Le cahier n’a été qu’un point de départ pour nos observations. Nous avons passé 2 semaines en Normandie et ça a été l’occasion de voir une belle évolution de la floraison.

Observer les bourgeons

Observer les bourgeons

Observer les fleurs

J’avais acheté des combinaisons de pluie et des bottes en caoutchouc pour que Colombe (5 ans) et Petit O’ (3 ans) puisse sortir par tous les temps et profitent de la pluie ! Oui, oui ! vous avez bien lu, j’ai bien dit “profitent de la pluie” ! Comme il pleut en moyenne 8h par an à Dubaï, mes enfants n’ont guère l’occasion de sauter dans les flaques, jouer dans la boue ou danser sous la pluie ! Ils s’en sont donner à cœur joie, et moi j’avais l’esprit tranquille grâce à ces combinaisons qui les gardaient au sec et au chaud (et qui protégeaient leurs vêtements des tâches car avouons-le, faire des lessives n’est pas une passion !).

JonquillesPhoto prise dans le joli jardin de mon amie du blog Le Jardin d’Emilie

 

Ces vacances en Normandie nous ont vraiment ressourcés ! Nous avons profité du jardin, les enfants ont sauté dans les flaques, observé la nature et surtout ils ont pris un bon bol d’air avant d’entamer l’été si chaud à Dubaï. C’est aussi pour moi l’occasion de participer au rendez-vous L’enfant et la Nature du blog 1 maman 2 filles !

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Une tempête de sable à Dubaï – À Dada à dos de chameau !

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Je vous ai déjà parlé de la poussière envahissante à Dubaï, mais je n’ai jamais parlé des tempêtes de sables ! Parce que si nous avons tant de poussière dans nos appartement et nos balcons, c’est qu’elle vient bien de quelque part. Et lorsque le vent souffle vraiment, il emporte avec lui le désert entier pour le déverser dans la ville !

Une tempête de sable à Dubaï

Une tempête de sable se reconnaît par un brouillard tellement épais qu’on ne distingue pas les grattes ciels à 500 m !

Dubaï sous la tempête de sable

 

Le sol (et les murs, les balcons, les voitures, et tout ce qui se trouve dehors) est recouvert de sable. S’il s’agit généralement d’une fine couche de poussière qui est sans cesse balayée par le vent. Mais par endroit, on trouve des amoncellements de sable. Et bien évidemment, on déplace ce sable avec nous dans tous les lieux dans lesquels nous rentrons. Pour tout dire, même les couloirs du métro de Dubaï, habituellement d’une propreté irréprochable, se retrouve recouvert d’une fine couche de poussière.

Et on fait quoi pendant une tempête de sable ?

L’idéal est de rester chez soi. Mais voilà, quand le brouillard dure plusieurs jours, on ne peut pas s’arrêter de vivre !

Avec les enfants, je limite les déplacements à l’essentiel, et j’annule toute activité qui nécessite d’être dehors. Et pour l’habillement, nous nous adaptons aux allures de film post-apocalyptique qui règnent dehors, en arborant masques antiparticules et lunettes de soleil.

sortir pendant une tempête de sable

Malgré les protections, de fines particules de sable parviennent à nous atteindre. On a l’impression d’en avoir partout : dans le nez, les oreilles, la gorge, les yeux… On finit par avoir le cuir chevelu gratte et la peau qui tiraille. Bref, sortir par vent de sable est une vraie joie !

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