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Jouer avec des ballons à eau : une activité pour les tout-petits

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Lorsque Colombe était petite, j’avais du mal à trouver des activités qui sortaient un peu de l’ordinaire…
Non pas qu’elle en avait vraiment besoin car elle semblait heureuse de mâchouiller le même hochet tous les jours en s’exerçant au rouler-bouler sur son petit tapis de jeu ! Mais moi je me lassais parfois un peu (oui j’ose le dire chaque minute passée avec un tout-petit n’est pas forcément passionnante !) et j’avais envie de nouvelles choses.
Pour mon Petit Olivier (5 mois), la question se pose de nouveau, mais cette fois les jeux de Colombe m’inspirent de nouvelles activités pour mon tout-petit !
Même si Olivier se “déplace” déjà, cette activité peut être mise en place avec des bébés très jeunes qui commencent tout juste à saisir les objets (vers 2 ou 3 mois).
C’est donc au tour de Petit Olivier de jouer avec des ballons de baudruche remplis d’eau (oui, les ballons m’inspirent en ce moment ! Et encore vous n’avez pas tout vu !).
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Après avoir installé un tapis de gym sur le sol (Afin d’avoir un sol un peu confortable et un revêtement qui ne craint pas l’eau), j’y ai disposé quelques ballons préalablement remplis d’eau, et j’ai posé mon petit bonhomme au milieu.
Olivier a commencé à se tourner sur le côté pour attraper les ballons. Il a joué avec quelques minutes, intrigué par le bruit qu’ils faisaient et quelque peu agacé par le fait qu’ils s’éloignaient. L’avantage des ballons remplis d’eau est qu’ils roulent très lentement et font des mouvements d’avant en arrière pour se déplacer. Ainsi, un tout-petit peut plus facilement les attraper qu’une balle standard qui généralement part hors de porté du bébé à la moindre pichenette !

 

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Olivier se tournait d’un côté puis de l’autre pour attraper les ballons, attiré par leur couleurs et par le bruit. Il est d’ailleurs resté captivé par le bruit très particulier (un peu comme si on tapait sur de la taule) que faisaient les ballons lorsque je les faisais rebondir sur le sol.
Olivier a finalement attrapé un ballon (ce qui n’était pas facile car les ballons sont tout mous et glissants !!!). Il s’est donné à cœur joie d’enfoncer ses ongles acérés ses petits doigts et de tordre le ballon dans tous les sens. Je l’ai arrêté avant que le ballon ne lui éclate dans les mains : je sentais qu’Olivier fatiguait et je pense qu’il n’aurait pas apprécié d’être trempé soudainement !
A force de le voir se tourner, j’ai compris qu’il cherchait à toucher les ballons avec ses pieds. Je lui en ai donc glissé un sous les pieds et voilà comment il a passé les dernières minutes de l’activité !
Rien de tel qu’un petit massage relaxant !
Cettte activité nous aura occupés pendant 15 bonnes minutes ! Olivier a été attiré par les couleurs des ballons, leurs mouvements, ainsi que le bruit qu’ils produisait. Il a exploré de nouvelles textures et de nouvelles sensation (mou, glissant, mouillé, sec…) avec toutes les parties de son corps.
En bref, cette activité c’était le pied ! 
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Jouer avec des ballons à eau

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La chaleur est arrivée depuis quelques semaines déjà ici et nous en profitons pour jouer dehors le plus souvent possible.
Quoi de mieux quand il fait chaud que de jouer avec de l’eau ?
Et si on profitait d’une de ces séances de jeux pour éveiller les sens et apprendre du vocabulaire ?
Voici donc une activité simple à mettre en place avec trois fois rien, comme je les aime :

 

les ballons à eau !

 

Il y a quelques jours, j’ai rempli trois ballons (les deux blancs et le rose) avec de l’eau et je les ai mis dans le congélateur. Ce matin j’ai rempli trois ballons (les verts) avec de l’eau froide, et trois (les rouges) avec de l’eau tiède. Attention à bien mettre de l’eau tiède et non pas chaude car la chaleur fragilise le ballon qui est plus susceptible d’éclater. Si l’eau est chaude elle risque de brûler l’enfant !
J’ai disposé les ballons dans le bac sable et eau de Colombe et lui ai proposé de jouer avec.
Bac sable et eau disponible chez GIFI, environ 15€ avec des accessoires.
Elle a attrapé les ballons, les a sous-pesés, a constaté que certains étaient chauds, d’autres froids et que l’eau à l’intérieur les faisait bouger d’une manière originale…
Elle a pris un ballon glacé a décrété qu’il était “trop froid” et l’a vite reposé !

 

Elle a touché les ballons et en a éclaté (les différentes températures fragilisent beaucoup les ballons, l’activité doit donc se dérouler en extérieur car il y aura de l’eau partout !) puis a trempé sa main et a constaté que l’eau était chaude.
Colombe a également constaté que certains ballons étaient mous, alors que les ballons glacés étaient durs. Je lui ai expliqué qu’en gelant, l’eau s’était solidifiée (a-t-elle compris du haut de ses 28 mois, je ne suis pas sûre !).
Colombe est allée chercher quelques ustensiles pour jouer à transvaser, à verser, et à arroser les ballons et les glaçons qui “bizarrement” disparaissaient !
Cette activité, en plus d’éveiller les sens,  nous aura beaucoup fait travailler le langage. Pas toujours facile pour un petit enfant de se repérer quand à longueur de journée on lui dit : “Il ne fait pas chaud aujourd’hui ! “, “il ne fait pas trop froid…”, “il fait trop chaud ! ” toutes ces petites phrases employant les mêmes mots, mais que de faibles nuances rendent difficile à comprendre pour les petits !
Le vocabulaire restait simple : les ballons étaient chauds, froids ou glacés !
Nous avons aussi travaillé le vocabulaire des états : solides, liquides et des textures : dur, mou…
Mais le jeu le plus rigolo était quand même de faire tomber les ballons dans l’eau !
“Plouf sur Maman !” Colombe, 28 mois
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Un petit cœur blanc : première journée de sensibilisation à l’albinisme

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Aujourd’hui a lieu la première journée de sensibilisation à l’albinisme et pour cette occasion, le blog Le Miniature Léon et Nous a lancé un appel à la mobilisation. Le principe est simple : poster plein de petits cœurs blancs sur la toile.

Colombe et moi avons donc réalisé un dessin à 4 mains pour l’occasion :

J’ai découpé le cœur dans un morceau de feuille de mousse blanche et ai dessiné un modèle d’arc-en-ciel (oui je dessine comme un enfant de 4 ans !)
Colombe a reproduit un arc-en-ciel à côté tout autour du mien !

N’hésitez pas à aller vous renseigner sur l’albinisme, particularité génétique causant la blancheur de peau qu’on connaît mais aussi parfois de très lourds troubles oculaires. Les albinos de certains pays d’Afrique sont aussi parfois victimes de violents massacres sous couvert de superstition…

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Le moustique-tigre, ce drôle de zèbre !

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Aedes albopictus
Tiens, on parle latin sur le blog maintenant ?
Eh bien oui ! J’ai décidé d’être un peu sérieuse et de vous parler de mon ami mon ennemi juré Aedes albopictus qui commence à devenir assez célèbre sous le nom de moustique-tigre !
“Mon ennemi juré”, vous allez trouver que j’y vais un peu fort… Bon, je vous explique.
Il y a un peu plus de deux ans, alors que nous venions d’emménager sur la Côte d’Azur, une jeune maman me disait : “Tu vas voir quand la chaleur commence, les moustiques tigres arrivent et ça devient l’enfer !”
Effectivement j’ai vite compris puisqu’un jour, après avoir passé 5 minutes dans le parc près de la maison, Colombe (5 mois à l’époque) avait été piquée une trentaine de fois et que le lendemain elle faisait une poussée de fièvre…
Quand on vit cela en tant que maman, on ne peut pas oublier que ce moustique véhicule la dengue et chikungunya… (même si les cas autochtones restent rares en métropole).
Cette petite bête nous impose donc quelques changements dans notre mode de vie : par exemple on ne fréquente pas le parc en été, ni l’arrêt de bus près de chez nous parce qu’il y a trop de moustiques… et parfois quand on marche jusqu’à l’arrêt suivant (qui n’est pas infesté, lui), le bus nous passe devant et on peste contre ces nuisibles…
Mais revenons à nos moutons nos moustiques-tigres !
Tigré noir et blanc, il aurait pu s’appeler moustique zèbre, mais non ! Un zèbre c’est gentil et ça ne mort pas, alors que le moustique-tigre lui, vous mordra piquera dès qu’il en aura l’occasion ! Il est plus petit qu’un moustique “normal”, ne fait pas beaucoup de bruit en volant (ce qui le rend bien plus difficile à repérer le soir), mais il vole moins vite et est donc assez facile à tuer (Amis des animaux passez votre chemin, je ne serai pas tendre avec celui-ci !). Et contrairement à son cousin qui ne pique que le soir, le moustique-tigre n’a que faire de l’heure qu’il est, si vous êtes là, il viendra goûter un peu de votre sang ! Bon, il est quand même plus agressif au petit-déjeuner et à l’apéro, mais un petit en-cas entre deux n’est pas pour lui déplaire !
Ah oui ! Notre ami a une notion très large de ce qu’est l’été puisqu’il apparaît au mois de mai, est très envahissant de juin à fin septembre, et qu’il reste présent jusqu’à fin octobre, voire jusqu’en novembre (alors à force de se faire piquer au mois de novembre, on finit vraiment par être blasés !).Alors comment se protéger ?

Quand on vit dans une région infestée :

Les larves de moustique-tigre se développent sur des points d’eaux, il faut donc éviter de laisser des flaques se former près de chez soi, et vider les soucoupes sous les bacs de fleurs, ne pas laisser l’eau stagner dans ses gouttières ou dans des récipients qu’on aurait laissés dehors…

Certaines plantes repoussent les moustiques. De mon expérience, celle qui est la plus efficace est le Pelargonium graveolens (tiens, encore du latin !), que vous pourrez trouver facilement en jardinerie en demandant : “Un géranium anti-moustiques”. Nous en avons maintenant toute une rangée qui constitue une barrière assez efficace sur le bord de notre terrasse, et son odeur de citronnelle n’est pas désagréable.

 

“Mosquito Fighter” ! À l’attaque !

Enfin, parce qu’il n’y a pas mieux qu’une barrière physique, n’hésitez pas à installer des moustiquaires à toutes vos fenêtres. Dans la région on en trouve très facilement pour pas très cher (une dizaine d’euros la moustiquaire au maximum) et certaines sont très pratiques car elles s’ouvrent en deux sur le milieu et se referment seules grâce à un système d’aimants. Nous en avons posé une de ce type sur la porte de notre balcon et Colombe du haut de ses 18 mois pouvait l’ouvrir sans problème (et la moustiquaire se fermait après son passage ! Magique !).
On peut aussi investir dans une moustiquaire à placer sur le berceau de bébé, à suspendre au-dessus d’un lit ou même pour protéger la poussette (à certains endroit, l’arrêt de bus près de chez moi par exemple, ça n’est pas du luxe ! Ah bah si puisqu’on n’y va plus !)

Sur place, beaucoup de communes s’investissent dans la lutte contre les moustiques. Certaines vaporisent des répulsifs sur leurs espaces verts afin de limiter l’invasion. L’acte est tout à fait discutable d’un point de vue écologique (et sanitaire : ces produits sont-ils vraiment inoffensifs pour l’homme ?) mais une invasion de moustiques tigres pourrait être bien plus nocive.

Quand on vient en vacances dans une région infestée :

Porter des vêtements longs et de couleur claire reste le premier réflexe à avoir ! Bien sûr on a plus envie de se balader en débardeur et petit short quand il fait chaud qu’en chemise et pantalon, mais c’est pourtant efficace contre les moustiques. Avec des vêtements en lin ou en voile de coton, on peut tout à fait passer les grosses chaleurs sans trop souffrir. Ok, moi-même je ne respecte pas beaucoup cette recommandation ! Mais si on peut se promener en bikini sur la plage sans risquer de se faire piquer, il vaut mieux être plus couvert quand on fait une randonnée en forêt !

Soucieuse de ma santé, persuadée que les produits cosmétiques, les produits d’entretiens sont pleins de cochonneries, je préfère généralement des solutions naturelles que je trouve souvent tout aussi efficaces. Mais dans ma lutte contre les moustiques-tigres, il a fallu que je me rende à l’évidence, les moyens naturels sont assez peu convaincants… Et les risques encourus par les piqûres de moustiques me paraissent plus important que ceux encouru par l’utilisation ponctuelle de produits potentiellement nocifs. Je range donc mes principes et j’adopte des produits qui marchent, sans trop me soucier de leur composition malheureusement.

Les huiles essentielles ne m’ont jamais convaincue. Elles comportent plusieurs inconvénients : elles ne conviennent pas toujours aux jeunes enfants, ni aux femmes enceintes, ni aux femmes allaitantes (or, depuis que je suis dans la région, j’ai toujours eu un jeune enfant, été enceinte ou allaitante !), et leur efficacité est très limitée dans le temps (environ 20 minutes…).

Les spirales d’encens sont très efficaces. Idéales pour les soirées passées “à la fraîche” sur le balcon, on en allume une et elle brûle toute la soirée, repoussant moustiques et autres petites bêtes. Mais bon on respire du carbone et aussi certainement plein d’autres choses super !

Les prises électriques répulsives sont assez efficaces. Nous ne nous en servons pas tout le temps car là encore, je ne sais pas trop ce que cela peut avoir comme effet sur nous et nos enfants. Mais lorsque le nombre de moustiques devient vraiment très important, nous branchons ces prises chaque nuit afin d’être un peu tranquilles.

Chaque année je fais mon petit tour à la pharmacie où je me procure des produits répulsifs. Il en existe de très efficaces ! Le seul hic c’est que les produits convenant aux bébés ne conviennent pas aux femmes allaitantes (et inversement), dans la famille nous devons donc avoir deux produits différents…
J’utilise donc le Bouclier Insect de Pediakid pour les enfants car sa composition ne m’a pas l’air trop mauvaise (mais je ne suis absolument pas chimiste alors je ne peux être sûre de rien ! D’ailleurs si quelqu’un s’y connaît…)
Pour moi qui allaite, j’utilise le répulsif d’Apaisyl (ok, pour les femmes allaitantes mais pas pour les enfants de moins de 24 mois), en prenant soin de ne pas en mettre sur la poitrine. La sale bête est bien capable de venir me piquer jusque là !
On ne s’en met pas systématiquement, mais lorsqu’on sait qu’on va dans un endroit où il y aura des moustiques on n’hésite pas. Et surtout j’emporte toujours les flacons de produits dans le sac à langer car on ne sait jamais…

J’ai eu l’occasion de tester des bracelets répulsifs une fois, mais leur odeur était trop forte et insupportable ! Peut-être sont-ils efficaces… personne dans mon entourage n’a pu garder le bracelet au poignet suffisamment longtemps pour le dire !

Il existe également toutes sortes de gadgets censés tuer les moustiques, comme ces ventilateurs qui attirent les moustiques pour ensuite les griller sur une grille électrifiée…

Rien de bien convaincant, sauf peut-être…

L’arme du crime ! Disponible sur internet ou dans les magasins de “bazar” pour environ 5€

Cette raquette électrifiée !

Qui ne s’est jamais relevé la nuit pour essayer de repérer un moustique qui est venu lui chatouiller l’oreille ? Et une fois le moustique repéré s’ensuit un ballet charmant d’humain tapant des mains dans le vide et s’écriant : “Je l’ai loupé de peu !”. Avec cette raquette, impossible de manquer son coup, on gagne un temps précieux et accessoirement on ne réveille pas bébé en tapant des mains !

Et lorsqu’on s’est fait piquer ?

La bonne vieille méthode pour apaiser toutes les piqûres de moustiques est d’appliquer du vinaigre sur le bouton avec un morceau de coton. Et quand on sort, j’ai toujours un tube d’Apaisyl dans le sac ! (En plus Apaisil Baby c’est à partir de 3 mois !)

Voici quelques liens pour aller plus loin :

http://www.signalement-moustique.fr/sinformer
http://www.sante.gouv.fr/recommandations-d-utilisation-des-repulsifs-et-biocides-contre-les-moustiques.html

Je reconnais que pour ceux qui ne vivent pas dans une région “infestée”, cet article paraît alarmiste… Mais quand on vit ici, la prévention devient un geste du quotidien, alors j’avais envie de partager mon “expérience” avec ceux qui justement n’habitent pas la région mais voudrait y faire un séjour cette été ! Alors pour résumer, si j’étais vous, dans ma valise je mettrais :

  • Des vêtements longs et clairs
  • Des produits répulsifs adaptés à chacun
  • Des spirales d’encens
  • Une raquette électrifiée
  • Des prises électriques répulsives
  • et… un maillot de bain !!! Le moustique tigre ne va quand même pas vous empêcher de passer de bonnes vacances !!!
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Le lit de mes bébés…

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Il y a quelques semaines, Ragnagna se demandait si le lit de nos enfants était révélateur de notre personnalité. De là lui est venue l’idée de créer un nouveau tag intitulé “Le lit de mon bébé” et dont le but est très simple : présenter le lit de son bébé (bah oui ! C’était dans le titre, quoi !)

Grâce à Choupie-Chat et à Le Miniature Léon et nous, ce tag a fait son chemin jusqu’à moi et je vais donc vous présenter le lit de mes bébés (Oui parce que Colombe avec son statut de petite grande, elle restera toujours mon bébé !).
Voici le lit de Colombe (27 mois)
Eh oui, Colombe dort dans un lit de grande depuis ses 21 mois, âge auquel elle s’est lamentablement vautrée par terre un dimanche à 5h du matin en tentant de sortir de son lit à barreaux !
Au bout du lit se trouvent deux poufs remplis de petites billes, que je pose par terre à chaque fois que je couche Colombe. Même si elle n’est jamais tombée de son lit, je préfère assurer…
Au milieu du lit, sa couverture de naissance que je lui ai patiemment tricotée pendant ma grossesse. À sa tête Mickey, Lapin, Toutou et Kitty, ses fidèles copains de dodo (aucun d’eux n’est indispensable ce qui est super chouette quand on part en vacances !).
Ce lit est “plutôt” au carré, même si je ne prends pas toujours le temps de le faire quand on est pressés le matin…
Voici le lit d’Olivier (5 mois)
Un lit un peu moins au carré, mais aussi beaucoup moins utilisé, pour cause de squatte du lit parental !
Petit anecdote sur ce lit : Olivier est le 6ème enfant élevé dedans. Il s’agit du modèle Gulliver de chez Ikea, alors avis aux amateurs, il est plutôt solide !

À la tête du bébé, un doudou, pas toujours présent car j’hésite encore : “L’habituer à avoir un doudou près de lui me soulagerait un peu, mais en même temps le doudou devient alors une source de stress car le perdre serait un drame aussi terrible que celui de perdre son enfant…”
Au-dessus de sa tête, un joli mobile de chez Doudou et compagnie. Acheté pour Colombe, elle n’en avait eu strictement rien à faire et cet achat m’était resté un peu en travers de la gorge. Finalement Olivier l’adore et il reste à l’observer (et l’attraper, arracher les peluches) quand je le pose dans son lit. Par contre je retire le mobile quand il doit dormir car il le stimule un peu trop.
Sur le côté, un cale-bébé Red Castle qui nous est bien utile les jours de sommeil agité. 
Au bout du lit, une gigoteuse qui ne nous sert pas beaucoup (il fait chaud, bébé dort dans le lit parental…) mais que j’aime bien la laissée sortie car je l’avais choisie pendant ma première grossesse.
Enfin, Olivier a aussi sa bande de copains de dodo. Vous reconnaitrez Yoshi, Mario et Sonic parce qu’il n’est jamais trop tôt pour devenir geek !!

Et voilà, les yeux indiscrets ont pu faire un petit tour du côté de l’univers des bébés À Dada ! J’espère que cela vous aura plu !!!
À moi de jouer les indiscrètes : Souris… Maman, Je ne suis pas une super Maman… et Maman Noob, c’est comment chez vous ?
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Jeu et Création : l’Art est un jeu d’enfant

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Voilà un nouveau mois qui commence et avec, un nouveau rendez-vous l’Art est un Jeu d’enfant organisé par Le Pays des Merveilles !

Cette fois le thème (choisi par Féelyli) est : Jeu et Création

Il s’agit donc de créer un jeu pour son enfant.
C’est un thème qui tombe très bien car j’ai récemment fabriqué plusieurs jouets pour Colombe que je ne vous ai pas encore présentés !

Je vous présente donc notre Spy Bottle !

Il s’agit d’une petite bouteille d’observation. Le but est de chercher dans la bouteille, les formes (ici des insectes) figurant sur le modèle.


Le matériel nécessaire :

  • une petit bouteille vide
  • des autocollants en mousse, on doit avoir chaque autocollant deux fois
  • des particules de calage (les paquets commandés sur internet en sont souvent pleins…)
  • une feuille de mousse
  • un fil de laine

 

J’ai d’abord collé les autocollants sur la feuille de mousse, et leur double sur les particules de calage.

Désolée pour les photos, voilà ce que c’est que de faire ses DIY tard le soir !
J’ai ensuite mis les particules dans la bouteille en alternant une particule avec un insecte et une sans. J’ai attaché le fil de laine à la bouteille et à la feuille de mousse. Et voilà !
L’avantage de cette bouteille est qu’elle est très légère. Elle nous a donc accompagnés lors de notre dernier long voyage en train (Parce qu’on avait déjà des tonnes de bagages, alors porter des jouets lourds en plus, non !).
Après avoir joué avec pendant un mois, Colombe est devenue un peu trop forte à ce jeu pour qu’il l’occupe vraiment. Pas de soucis, j’ai rouvert la bouteille et ai changé le niveau de difficulté.
J’ai retiré les particules de calage une à une avec des baguettes (et un peu de motricité fine pour maman !), j’ai décollé les autocollants et les ai glissés dans la bouteille avec du riz et quelques haricots colorés ! Puis j’ai scellé la bouteille à la super Glue (Histoire que Colombe ne me mette pas de riz partout !).
Et voilà !
Et maintenant, comme Petit Olivier se sert déjà bien de ses deux mains, j’ai décidé qu’il ne serait pas en reste et aurait également son petit jouet. Mais cette fois, j’ai décidé de mettre sa grande sœur à contribution ! Bon, ok, j’ai vu que Mamanelo du blog Mon joli petit bureau a aidé sa “grande” à faire de jolies bouteilles sensorielles pour son petit et j’ai trouvé cela tellement touchant que j’ai voulu faire de même !
Voici donc notre hochet bouchons !
Le matériel nécessaire : 
  • un fil à scoubidou
  • des bouchons de différentes couleurs

 

 

J’ai fait un petit trou sur chaque bouchon, puis j’ai proposé à Colombe de les enfiler sur le fil à scoubidou comme s’il s’agissait de perles.

 

Une fois le “collier” fini, j’ai noué les deux extrémités ensemble, en veillant à ce que le hochet ne soit pas assez large pour qu’un des enfants le passe par sa tête (pour éviter tout risque d’étranglement).

Et voilà une Colombe extrêmement fière d’offrir à son petit frère un jouet qu’elle a fait elle-même…

…et un petit Olivier content de son nouveau jouet !
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Les Instruments, livre sonore (À tout bout de chant #2)

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Pour le deuxième rendez-vous “À tout bout de chant” organisé par La Cour des Petits, j’avais envie de vous présenter un livre que nous aimons beaucoup. Et pour preuve, voyez comme notre exemplaire a déjà bien vécu !

 

 

Les instruments, aux éditions Galimard Jeunesse

Il s’agit d’un livre sonore pour les tout-petits.

 

Sur chaque double-page, un animal joue d’un instrument dans un décor inspiré de l’univers du cirque. En appuyant sur la puce électronique présente sur chaque instrument on peu entendre le bruit qu’il fait.
Le mode de fonctionnement est très simple et totalement adapté aux doigts des tout-petits.
Colombe lit ce livre depuis longtemps, et Olivier (5 mois) s’y intéresse déjà lui aussi ! Le seul “bémol”, serait la pile difficile à trouvée nous avons dû la commander sur internet. Il a donc fallu l’attendre quelques jours au cours desquels Colombe nous a réclamé son livre, si j’ose dire, à tout bout de champs !
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Si j’étais dans le ciel, je décrocherais les étoiles et m’envolerais avec elles !

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Toujours inspirées par le thème “Si j’étais dans le ciel…” proposé par le blog Humeurs Créatives, Colombe et moi avons repris nos petites étoiles fabriquées l’autre jour pour en faire un petit tableau à accrocher dans sa chambre.
Pour cela nous avons pris :
  • nos petites étoiles
  • une feuille de papier bleu
  • de la peinture à doigt
  • de la colle à paillettes
  • une photo de Colombe
  • de la colle
  • des petits bouts de laine

 

 

J’ai donc proposé à Colombe de peindre la feuille avec de la peinture et des paillettes afin d’en faire un joli ciel étoilé.

 

Elle qui n’est d’habitude pas très minutieuse quand on lui donne de la peinture a tenu à dessiner avec l’empreinte de ses doigts… Faut dire que c’est une technique qu’on utilise souvent ces derniers temps !
On ne voit pas bien les paillettes sur la photo, mais je les ai intégrées à la peinture.
… Puis les bonnes habitudes sont revenues et elle s’est écrié : “Aller ! La main !”
Elle s’est occupée à peindre la feuille pendant 5 bonnes minutes. Comme elle le fait souvent, elle s’est concentrée sur deux petites zones de la feuille, et quand je lui proposait de peindre partout, elle refusait catégoriquement.
Le soir venu, j’ai terminer notre tableau en y collant la photo de Colombe et trois petites étoiles. J’ai relié les deux à l’aide de petits bout de laine collés également.
Et lorsque j’ai montré le tableau à Colombe et que je lui ai proposé de le mettre dans sa chambre, les plus belles étoiles étaient celles qu’elle avait dans les yeux !!!!
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Ma césarienne

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Pendant ma première grossesse, je ne voulais pas de césarienne. Comme la plupart des femmes je suppose…

Et puis rien ne présageait que j’en aurai une, alors finalement je n’y avais même pas vraiment pensé en fait !

Et puis l’accouchement…

J’ai perdu les eaux quelques jours après le terme. J’ai eu des contractions dans la demi-heure mais le travail n’avançait pas…

Après 19h passées à l’hôpital j’étais dilatée à 3, on m’a enfin posé la péridurale ! Le soulagement !

Et puis ça a été encore assez long…

Encore 9h après on commençait à me préparer pour une césarienne en me disant qu’on allait essayer la voie basse, mais qu’on se préparait à l’urgence… Moi, je n’en pouvais plus. La péridurale ne faisait plus d’effet, on attendait que l’anesthésiste refasse “une dose”. J’étais à bout de forces. J’ai répondu “allez-y, préparez”.

Une heure après, j’avais de la fièvre. Mon bébé était en souffrance. Je rentrais au bloc.

On a sorti mon bébé, on me l’a montré, on l’a transféré en réanimation dans un autre hôpital. Mais quelques heures après on a su que notre fille allait bien et qu’on l’aurait auprès de nous dès le lendemain.

Je me sentais seule sans mon bébé, mais la peur était derrière nous alors tout irait bien.

Je n’ai pas du tout mal vécu cette césarienne.

Certainement parce que l’équipe médicale a été formidable. Les sages-femmes, les auxiliaires de puériculture, le médecin, l’équipe de la salle de réveil… tous ont fait leur maximum pour m’expliquer les choses, me rassurer et me soutenir malgré l’absence de Papa à Dada qui lui est resté bien seul en salle d’attente.

Aussi parce que la séparation d’avec mon bébé avait été très difficile et l’intervention chirurgicale me paraissait être un détail à côté. Ou plutôt, c’était ce qui avait sauvé mon bébé. Finalement cette césarienne, elle était salvatrice ! Je la voyais comme une chance. J’avais l’impression d’avoir tout fait pour mon bébé : j’avais donné toutes mes forces, j’avais suivi tous les conseils, et j’avais mis mon accouchement rêvé de côté. Mon bébé était dans mes bras et j’étais heureuse.

Mais le temps passait et en parlant avec d’autres femmes j’ai commencé à entendre des réflexions surprenantes…

“Ah moi, jamais je n’aurais accepté de césarienne !”

Alors dans l’urgence on accepte pas une césarienne, on nous la fait et on sort le bébé le plus vite possible !
Et quand elle est programmée c’est souvent parce qu’un accouchement par voie basse serait risqué. Alors non, on ne met pas son bébé en danger, c’est notre première responsabilité de parent !

“Oh ! on pratique trop de césarienne, c’est de la complaisance pour le médecin qui veut rentrer chez lui plus tôt”

Je ne connais personnellement aucune femme ayant eu une césarienne de complaisance, alors je ne sais pas si cela se fait si souvent que ça. Par contre ma césarienne a eu lieu vers 6h du matin. On a fait venir à l’hôpital tout le personnel d’astreinte qui dormait tranquillement chez lui. Non, ça n’était pas de la complaisance !

La pire : “Ah ! Tu n’as pas réussi à mettre ton bébé au monde seule !”

Dans la liste des choses que j’ai réussies : j’ai eu mon bac du premier coup, j’ai appris à parler deux langues étrangères, et même, un jour j’ai réussi à faire un soufflé qui n’est pas aussitôt retombé lamentablement. Par contre, mettre un bébé au monde par voie basse… Ça ne compte pas comme réussite ça, mesdames. C’est de la chance en fait. Parfois la nature fait son travail, parfois non.

Une naissance qui se passe bien et naturellement n’est pas que le fruit d’une bonne préparation : la chance y est pour beaucoup. Il faut que le col se dilate correctement, que le bébé s’engage bien, qu’aucune infection ne survienne pendant l’accouchement… et beaucoup d’autres paramètres… J’ai mis mon deuxième enfant au monde par voie basse. Ce que j’en pense ? La nature a été clémente avec nous pour ce deuxième accouchement qui m’a demandé beaucoup moins d’énergie que le premier. Pousser pendant 20 minutes demande moins de ressources que de supporter des contractions pendant 20 heures…

J’ai vite arrêté de parler avec ces femmes nocives. Certaines mères se mettent en compétition pour n’importe quel prétexte… qu’elles restent entre elles si ça les amuse !

Mais maintenant je comprends que des mères vivent mal leur césarienne, si on leur bourre le crâne avec des idioties ! Et puis il y a l’équipe médicale qui est parfois maladroite… À la naissance de Petit Olivier on m’a dit : “Ça pourra être un peu long car c’est un premier accouchement !” PAR VOIE BASSE !!!! Vous avez oublié une partie de la phrase !!! Parce que non ça n’était pas mon premier accouchement !!! Je savais bien ce que voulait dire la sage-femme à ce moment-là : le corps a une mémoire et s’il a déjà vécu un accouchement par voie basse, il se souviendra comment faire et mettra certainement moins de temps. C’est pour cela qu’on constate souvent qu’un deuxième accouchement est moins long que le premier. Dans mon cas, le corps n’était jamais allé jusqu’au bout, il allait donc être confronté à la nouveauté.

C’est ce genre de réflexions qui contribuent à empêcher certaines femmes de bien vivre leur césarienne. Et c’est à ces femmes que je veux m’adresser aujourd’hui en racontant mon expérience. Bien entendu, toutes les césariennes ne se font pas dans l’urgence, toutes ne sont pas faites parce que la vie du bébé est en danger ! Et vous savez quoi ? C’est tant mieux ! Je ne regrette qu’une chose par rapport à ma césarienne : qu’on ne l’ai pas faite plus tôt ! On aurait alors sorti un bébé tout rose un peu secoué et on me l’aurait posé sur la poitrine pour l’accueillir dans notre monde ! À la place on a sorti ma fille, violette, ne respirant pas, on l’a allongée sur une table froide et on lui a enfoncé des tuyaux dans la bouche ! Tu parles d’un accueil ! Ne laissez pas les gens vous faire culpabiliser. Ça n’est pas une honte de mettre au monde par césarienne.

Et contrairement à ce que beaucoup de gens croient (et j’étais la première à croire ça, je ne sais pas d’où vient cette légende), on peut accoucher par voie basse après une césarienne. Il faut réunir certaines conditions : une bonne cicatrisation (un an minimum entre la naissance du premier enfant et la conception du deuxième, ce qui fait moins de deux ans d’écart entre les enfants, on se classe donc encore dans la catégorie des “enfants rapprochés”), un bébé qui se “présente bien” (pas de bébé en siège) et un accouchement déclenché naturellement (ce que je ne savais pas avant la naissance après terme de Petit O’ c’est qu’on pouvait quand même donner un petit coup de pouce pour que l’accouchement ne traine pas en longueur !)

N’hésitez pas à réfléchir à votre projet de naissance et à en parler avec l’équipe pour que tout soit bien clair. Juste avant d’entrer en salle de naissance pour Petit Olivier, je me souviens avoir tout récapitulé avec le médecin : on allait tenter la voie basse, mais si les choses trainaient en longueur, on n’attendrait pas de détresse fœtale pour sortir le bébé !

J’avais commencé la rédaction de cet article alors que j’attendais encore Petit Olivier, au moment où je revivais cette attente du dépassement de terme. Ce moment où pesait sur moi le spectre de mon premier accouchement et où finalement je commençais à souhaiter une césarienne programmée afin d’éviter tous les tracas d’une naissance dans l’urgence. Finalement, tout s’est bien passé et j’ai laissé cet article dans mes brouillons car avec mon nouveau statut de maman de deux enfants rapprochés, la césarienne ne faisait plus partie de mes préoccupations quotidiennes.

Et puis il y a eu cet article : Trois vérités sur les femmes qui accouchent par césarienne. Ça m’a fait du bien de le lire et je me suis dit que mon expérience pouvait toucher d’autres femmes !

L’article de Maman Raconte “Ma césarienne et moi !” est aussi un article que j’avais apprécié. Elle a une autre vision des choses puisque sa césarienne avait été programmée, mais elle aborde aussi des aspects dont je ne parle pas ici comme la douleur après l’opération (franchement on s’en remet !) ou l’allaitement (oui c’est possible ! j’ai allaité Colombe pendant 13 mois, mais vous n’êtes pas obligé d’en faire autant ^^). Alors n’hésitez pas à aller lire son article !À toutes celles qui ont peur d’une césarienne imminente et à celles qui culpabilisent d’avoir mis leur bébé au monde de cette manière j’ai envie de dire ce que je me suis répétée entre le bloc opératoire et la salle de réveil :

Ça n’est pas l’histoire dont j’ai rêvé, mais maintenant c’est notre histoire et c’est ce qui la rend précieuse !

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Si j’étais dans le ciel je décrocherais les étoiles !

Publié le

Le défi du mois sur le blog Humeurs Créatives est : “Si j’étais dans le ciel”.
Si j’étais dans le ciel, forcément ça parle à Colombe !
Nous avons donc décidé de nous prêter au jeu et d’aller décrocher des étoiles !

 

Pour cela j’ai découpé des étoiles dans du papier cartonné et les ai recouvertes de papier aluminium. Puis je les ai données à Colombe pour qu’elle les peigne avec une colle à paillette.

L’activité l’aura occupée près d’un quart d’heure durant lequel elle s’est appliquée à bien étaler les paillettes sur les petites étoiles.

 

 

Et finalement elle a essayer de tenir son pinceau à l’envers pour ajouter des petites “gravures” aux paillettes !

 

 

Le résultat est assez discret, mais sympa et servira certainement pour la décoration de sa chambre. Affaire à suivre…

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