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Le salon des parents parfaitement imparfaits -retour sur deux journées intenses !
Si vous me suivez sur Facebook ou Instagram, vous savez que j’ai passé mon dernier week-end au salon des parents parfaitement imparfaits qui se tenait à Sophia Antipolis.
Le salon proposait de nombreuses conférences avec des invités de marque telle Mitsiko Miller (et son blog ici) et des thèmes autour de l’enfant, l’adolescent, les émotions, la communication, la bienveillance, la santé…
En parallèle avaient lieu des ateliers de portage, de langue des signes pour bébé, de musique, de création et de relaxation.
Un programme bien chargé et intense en découvertes et en émotions !
Alors c’est bien gentil toutes ces conférences mais que fait-on des enfants pendant qu’on y assiste ? Eh bien les organisatrices avaient tout prévu (et là on sent que ce sont des mamans !). Un espace garderie d’inspiration Montessori et Piclker avait été aménagé par les assistantes maternelles du “Nido des P’tits Colibris” et les parents pouvaient y déposer leur petit sur simple inscription (à condition d’assister à une conférence). L’espace était vraiment attractif pour les enfants et rassurant pour les parents et le gros plus : cette garderie était gratuite ! J’émettrai juste un petit bémol lié au confort des enfants : le nido se trouvait à l’entrée du salon, et bien que protégé par des paravents, il n’était pas à l’abri de la foule et encore moins du bruit. Ça serait sympa de le placer dans une pièce à part pour la prochaine édition du salon (oui, parce que j’aimerais vraiment qu’il y ait une prochaine édition à ce salon ! Plus que des critiques, j’émets ici des suggestions d’améliorations !).
Pour les plus grands, des ateliers de loisirs créatifs étaient organisés. Il n’était pas question de laisser les enfants le temps d’une conférence, mais ils pouvaient créer tranquillement pendant que les parents découvraient les stands voisins. Des petites tables recouvertes de feuilles, de feutres et de crayons étaient mises à disposition des enfants. Ils pouvaient alors dessiner librement ou participer à un atelier dirigé par une animatrice très agréable et qui a su s’adapter au niveau de chaque enfant ! Et comme vous pouvez le voir, Colombe s’en est donnée à cœur joie !
Côté restauration, les organisatrices nous avaient trouvé une solution extra ! Le traiteur bio Les Oubliés nous proposait pour 10€ un menu complet et délicieux : salade de pâte, ratatouille, légumes d’automne… Et pour le dessert, une tarte au citron meringuée à tomber par terre ! Si vous êtes sur la Côte d’Azur, n’hésitez pas à penser aux Oubliés pour vos prochains évènements !
Au niveau des stands, beaucoup de belles découvertes.
De jolies boutiques :
- La Baleine Rose : c’est une boutique sur internet d’une maman qui a su dénicher pour nous mais surtout pour nos petits, des vêtements, jouets et accessoires respectueux de l’environnement et de l’humain !
- Miss Mam : une jolie boutique à Antibes qui propose de jolis accessoires pour maman et bébé, et une superbe gamme de vêtements pour femmes enceintes et allaitantes !
- I love my kids : cette boutique en ligne vous propose des jouets, accessoires et décorations colorés.
Des lieux consacrés aux familles où bien-être et bienveillance sont les maîtres-mots :
- Espace Bien Naître : Floriane est une doula. Avec son camion coloré (cliquez sur le lien de son site pour voir la photo !), elle sillonne les routes de la Côte d’Azur pour accompagner les parents pendant la grossesse et dans leurs débuts en tant que parents. Elle propose également des ateliers de portage, langue des signes avec bébé ou de massage chez vous, ou dans son camion !
- Happinest : à Cagnes-Sur-Mer, un bel espace chaleureux consacré à la famille. Avec ou sans votre enfant, vous pourrez participer à des ateliers, séances de remise en forme ou moments bien-être.
- Les Colibris, école bilingue Montessori : au cœur de Sophia Antipolis, cette école bilingue (français-anglais) enseigne aux enfants de 2 à 12 ans selon la pédagogie Montessori.
- Ventre Rond et Petits Pieds : ce n’est autre que l’association qui est à l’origine du salon (et si je la présente en dernier ça n’est que pour des questions d’ordre alphabétique). L’association organise des ateliers, des rencontres et des actions (comme : Bio pour tous) toujours dans la bienveillance et le respect de l’environnement.
Des rencontres autour de la santé :
- avec des ostéopathes qui recommandent une visite de contrôle après chaque naissance (pour maman et bébé)
- avec une spécialiste des fleurs de Bach
- Eauriginelle : un système de fontaine filtrante améliorant la qualité et le goût de l’eau du robinet. Une démarche bonne pour la santé et pour l’environnement (plus de bouteilles en plastique !).
Des lectures inspirantes :
- Peps, le magazine de la parentalité positive : revue dirigée par Catherine Dumonteil-Kremer, elle présente une “parentalité centrée sur la joie de vivre et le plaisir d’être ensemble”. Pourquoi PEPS ? Pétillant. Énergisant. Palpitant. Soutenant. Vaste programme !
- Grandir autrement, le magazine des parents nature : un accompagnement à la parentalité positive, sans jugement de valeur et dans un respect de l’environnement.
- Psychologie Positive : “Ressentir. Comprendre. Agir” telle est la devise de ce magazine qui nous offre des pistes pour aller bien. Des articles sur les dernières recherches en psychologie positive et en développement et des invités prestigieux (Isabelle Filliozat, Florence Servan-Schreiber…), de quoi faire le plein d’infos pour une vie plus douce !
Comme vous pouvez le constater, ce salon a été très riche en découvertes, et si je passe rapidement ici, je vous présenterai certaines d’entre elles plus en détail dans les prochaines semaines.
Ce salon était définitivement un bon moment. Même s’il nous a beaucoup fatigués (la foule, les néons…) nous nous sentions bien à la fin de ce week-end. Le salon respectait ses principes de bienveillance et de communication tant dans les sujets proposés que dans l’ambiance générale. Nous avons rencontré des personnes très à l’écoute et désireuses de partager leur expérience. C’est la première fois qu’un événement pareil était organisé dans la région, et l’ on souhaiterait vraiment que cela devienne un rendez-vous annuel !
Maman… Super Héros…
Je suis Super Maman À Dada ! Super Héros de classe 82.
Je peux faire manger des légumes à mes enfants (en leur promettant des bonbons), les convaincre de quitter le parc sans violence (en les soudoyant avec un cadeau), les faire s’endormir sans pleur (en les collant au sein). Grâce à mes supers pouvoirs je connais à la minute près l’emploi du temps de chaque membre de la famille, je sais toutes les particularités du régime alimentaire de chacun et je reconnais le moindre signe de faim, de fatigue ou d’envie pressante !
Mais surtout je sais les faire rire, les amuser, les consoler et les aimer comme personne.
Bref, je suis une maman comme les autres !
Peut-être savez-vous que dans moins de 30 jours se tiendra le spot des E-Fluent Mums sur le thème des Super Héros du quotidien : les papas et les mamans !
Pour l’occasion, Parole de Mamans nous proposait de présenter un portrait de nous avec nos accessoires de super héros. L’idée m’a bien plu et c’est inspirée par la super série Hero Corp que j’ai écrit ces quelques lignes.
Saccageons ce carnet : semaine 7
Le beau ciel bleu que nous avions ce matin m’a beaucoup inspirée pour mon saccage de la semaine ! Suivez-moi, je vous emmène dans les airs !
Choisir Air À Dada ! C’est s’assurer un vol tranquille sur un appareil qui flotte au-dessus des nuages ! Le pilote punk-roux vous emmènera à destination avec un grand sourire, pendant que nos aimables hôtesses vous apporteront rafraîchissement et collations ! Installez-vous confortablement et savourez la douceur des nuages, la chaleur du soleil et la beauté des arcs-en-ciel !
Profitez, vous êtes sur Air À Dada !
Mais revenons un peu sur Terre, voici l’état du carnet au moment où je vous parle :
Et n’oubliez pas, si vous voulez rejoindre “Saccageons ce carnet, le rendez-vous qui fait du bien” organisé par Je ne suis pas une super Maman… Mais j’y travaille, il vous suffit de vous procurer ce carnet !
Friandises d’Amérique du Nord -Voyageons Ludique 2.1
Pour ce deuxième rendez-vous de “Voyageons Ludique”, Stéphanie du blog Souris…Maman nous propose d’explorer l’Amérique du Nord.
Entre ce thème et Halloween qui approche, la gourmande que je suis n’a pas mis longtemps à trouver l’inspiration ! Eh oui, vous l’avez compris je vais vous parler de sucreries ! Et pour reprendre les mots de Papa À Dada ! cet article ne sera pas bon pour le régime (et sa préparation a clairement fait monter l’aiguille de ma balance…) !
Je vais donc vous proposer 3 recettes de friandises typiquement américaines, mais avant tout je voudrais préciser un détail. L’Amérique du Nord est vaste, mais pour cet article, je vais rester centrée sur les États-Unis, car c’est le seul pays de cette région que je connais bien. Si vous connaissez bien d’autres pays d’Amérique du Nord et que certaines de mes recettes connaissent des variantes dans les pays voisins, alors n’hésitez surtout pas à me laisser un petit mot en commentaire !
Les Rice Krispies Treats :
C’est LA recette de mon adolescence ! Celle que je faisais pour chaque fête que j’organisais. Celle avec laquelle j’épatais mes amis qui n’en avaient jamais entendu parler en France. Celle qui était devenue un peu ma marque fabrique et qu’on finissait par me réclamer !
Et la recette officielle, la voici, sur le site de Rice Krispies !
Les ingrédients :
- 15g de beurre
- 250g de marshmallows
- 6 tasses de Rice Krispies
Réalisation :
Dans une grande casserole à feu doux, faite fondre le beurre et les marshmallows. Le mélange doit devenir bien lisse et prendre une couleur légèrement dorée en caramélisant comme sur la photo.
Une fois ce résultat obtenu, retirez la casserole du feu et incorporez les Rice Krispies. Puis moulez l’appareil dans des moules beurrés au préalable (j’ai utilisé des mini moules à kouglof). Laissez refroidir une heure et démoulez.
Vous pouvez choisir de les déguster ainsi, ou comme nous en trempez quelques-uns dans du chocolat fondu !
Les S’mores :
Avant tout, petit cours d’étymologie. Le mot “S’more” vient de “some more” car essayez donc de n’en manger qu’un seul ! 😉 Les S’mores se dégustent traditionnellement autour d’un feu et d’ailleurs, la première occurrence du terme se trouve dans un manuel de Girl Scouts des années 1920.
Il n’est pas besoin d’être un grand cuisinier pour savourer des s’mores puisqu’un simple assemblage suffit !
Les ingrédients :
- Des marshmallows
- Des carrés de chocolat (je vous conseille du chocolat de dégustation dont les carrés sont plus fins)
- Des petits gâteaux type petits beurres
Réalisation :
Faites griller un marshmallow sur une flamme. Une fois bien doré (pas brûlé, hein !)posez-le sur un gâteau et déposez un carré de chocolat dessus. Dégustez et… répétez l’opération puisqu’on ne peut pas en manger qu’un !
Les Rocky Roads :
Les ingrédients :
- Une tablette de chocolat
- Une belle poignée de marshmallows
- 4 ou 5 gateaux type petit beurre
Une variante de cette recette existe avec des noix ou des noisettes, mais j’ai choisi de la réalisé avec des gâteaux car Colombe est encore un peu jeune pour les noix.
Réalisation :
Coupez les marshmallows en petits morceaux de tailles différentes. Il existe des petits marshmallows qui peuvent convenir pour cette recette, mais j’ai pris peur en voyant la différence de prix au kilo par rapport aux marshmallows que l’on trouve au rayon bonbon ! Et finalement, la découpe de marshmallows se révèle être un super atelier de motricité fine !
Faire fondre le chocolat au micro-onde dans un bol avec un peu d’eau. Versez un fond de chocolat fondu dans des petits moules beurrés (ici des mini moules à cupcakes). Insérez dans chaque moule des morceaux de gâteau et des morceaux de marshmallows de manière aléatoire (ainsi certaines bouchées seront plus croquantes et d’autres plus moelleuses !). Réservez au frigo pendant 2h puis démoulez. Et enfin, savourez !
Je ne sais pas vous, mais de mon côté la rédaction de cet article m’a donné faim ! J’men vais de ce pas déguster nos friandises !
N’oubliez pas, mangez-bougez et surtout, 5 fruits et légumes par jour !
Saccageons ce carnet : semaine 6
En retard ! En retard ! Je suis vraiment en retard pour ma sixième participation à “Saccageons ce carnet”, le rendez-vous qui fait du bien, organisé par Je ne suis pas une super maman, mais j’y travaille !
Voici l’état du carnet au moment où je vous parle :
Depuis quelques semaine j’ai commencé à coller les étiquettes des fruits que je mange et soit je mange beaucoup de poires, soit il n’y a que les poires qui ont une étiquette (il y a un peu des deux !) :
Et finalement, inspirée par le super salon des parents parfaitement imparfaits où j’ai passé le week-end (oui, je vous en reparlerai bientôt !) j’ai rempli une page de pensée et citations positives ! J’espère que cela vous inspirera et vous fera du bien !
À très bientôt pour mon prochain saccage !
DIY : Notre monstre végétal, décoration de citrouille d’Halloween
Il y a quelques jours, j’ai appris que Cultura organisait un concours de décor de citrouille pour Halloween. Comme je décore une citrouille presque chaque année depuis que je suis adolescente, j’avais très envie de faire participer Colombe !
Mais j’ai voulu respecter deux conditions (en plus de celle imposées par le règlement du concours) pour cette participation. La première : je ne voulais surtout pas faire quelque chose d’effrayant. Colombe n’a que 2 ans et demi et je ne tiens pas à ce qu’elle développe des peurs inutiles. À la maison lorsqu’on parle de sorcières, ce sont toujours des dames un peu moches mais pas méchantes et qui font des potions magiques rigolotes ! Quand on parle de monstres, ce sont des êtres étranges, différents, mais jamais méchants (un très bon vecteur pour enseigner que la différence n’est pas mauvaise !). Alors notre citrouille devait représenter un gentil monstre !
La deuxième condition : pas de gâchi ! Lorsque je décore une citrouille, je la creuse et la sculpte. Cela prends des heures (voilà pourquoi avec deux jeunes enfants je ne le fais plus), cela demande beaucoup de force et de minutie. Mais je parviens toujours à garder la chair de la citrouille (enfin une grande partie) et à la cuisiner. Bien sûr, Colombe serait incapable de sculpter une citrouille, et cela serait beaucoup trop dangereux pour elle. Mais je voulais tout de même que sa citrouille reste comestible après avoir été décorée. Alors j’ai décidé de ne travailler qu’avec des éléments trouvés dans ma cuisine (à une petite exception près, mais qui ne dénature pas le produit). Et ce qui m’a inspirée cette idée, c’est le superbe livre Botte de Carotte, que nous avons lu récemment !
Matériel utilisé :
- Une belle citrouille
- Des feuilles de poireau
- Des rondelles de poireau
- Des carottes
- Des clous de girofle
- Un gros morceau d’algue wakamé déshydratée (algue que l’on trouve dans la soupe miso)
- Une colle faite à base d’eau et de farine
- Des petits pics en bois
- Des yeux mobiles
Déroulement de l’activité (qui a duré une vingtaine de minutes) :
Colombe a fixé les cheveux du monstre. Elle a d’abord essayé d’enfoncer les pics elle-même, mais c’était un peu difficile. Alors pour qu’elle ne perde pas patience, j’ai enfoncé les pics et l’ai laissée y accrocher les feuilles de poireaux seule. Les photos prises lors de cette étape sont un peu floues car je les ai prises rapidement. J’ai préféré être attentive à ce que faisait Colombe car je ne voulais pas qu’elle se blesse avec un pic.
Puis Colombe a voulu faire des antennes avec des carottes. Pour cette étape, je vous présente la seule photo que j’ai ! Les carottes étaient beaucoup plus difficile à planter sur les pics et j’avais vraiment peur qu’elle ne se blesse. J’ai donc lâché l’appareil et nous avons réalisé cette étape ensemble.
Colombe a ensuite enfoncé des clous de girofle dans des trous que j’avais faits au préalable. C’est avec cette même technique que nous avons fixé une “barette” en rondelle de poireau et une moustache en algue wakamé à la fin de l’activité. Colombe a aimé planter les clous, mais elle s’est vite arrêtée me disant : “Non, ça sent pas bon !”. Je pense que l’odeur était un peu trop forte pour elle.
L’étape suivante a beaucoup plu à Colombe, certainement car c’était la plus facile. Elle a recouvert des zones de la citrouille avec notre colle maison et a ensuite fixé plein de petits yeux mobiles. J’avoue que c’était l’étape que je redoutais le plus car je n’étais pas sûre que cette colle à la farine soit suffisamment efficace, mais finalement elle a plus qu’à la hauteur ! Et à en croire Colombe qui l’a goûtée, elle n’était pas mauvaise !
Après avoir fixé une “barette” rondelle de poireau et une moustache en algue wakamé (cela devait être une bouche mais une fois posée, Colombe a décrété que c’était une moustache !), voici notre monstre végétal :
J’aurais bien envie de l’appeler Vitamines, mais quand j’ai demandé à Colombe ce qu’elle en pensait, elle m’a répondu : “Non, il s’appelle le Monstre dans le Salon”… Non moi non plus je ne sais pas pourquoi elle veut l’appeler comme ça !
Voyez comme notre monstre a l’air gentil ! Et pour cause, dans quelques jours il finira à la marmite, nous apportera plein de vitamines et nous réchauffera par une soirée d’automne !
Prends garde monstre, tu vas finir en soupe !
Les Cerfs-Volants
Cette semaine, je reste dans le thème de l’automne pour ma participation au rendez-vous “Chut, les enfants lisent” organisé par Yolina de Devine qui vient bloguer, avec ce joli album intitulé Les Cerfs-Volants.
Avec de jolis dessins tout simples, et de belles photo de feuilles, cet album nous présente l’histoire d’une compétition de cerfs-volants.
Le livre commence avec une présentation de feuilles de différentes feuilles, puis vient l’histoire, et enfin en bonus il présente un petit tutoriel pour apprendre à dessiner un bel arbre soi-même.
Ce que j’ai apprécié dans ce livre c’est que les tout-petits peuvent comprendre l’histoire sans problème, et avec un peu d’aide ils peuvent également suivre le tutoriel pour dessiner leur arbre !
Lucie Albon, Les Cerfs-Volants
Mais arrête de toucher aux fils électriques !
“Mais arrête de toucher aux fils électriques !”
Combien de fois ai-je prononcé cette phrase ces dernières semaines ? Je crois que je ne suis pas suffisamment bonne en maths pour compter jusque-là !
Si vous lisez ce blog régulièrement, vous savez que Petit O’ a développé un tout nouvel intérêt pour les fils électriques ! Apprendre à ramper lui a ouvert de nouveaux horizons et l’a conduit tout droit vers quelques fils qui courent le long des murs. Apprendre à marcher à quatre pattes lui permet maintenant de découvrir le Monde, et il semble maintenant bien déterminé à cartographier le système électrique de la maison.
Loin de moi l’idée d’empêcher mon fils de s’épanouir dans sa nouvelle passion, mais je n’aimerais tout de même pas qu’il prenne un coup de jus !
Et c’est alors que l’idée m’est venue. Vous savez, cette idée si simple qu’on se demande pourquoi on n’y avait pas pensé avant. J’ai accroché des fils de scoubidous sur son parc ! Cela lui a tout de suite plu. Il a d’ailleurs tellement aimé qu’il s’est précipité vers les fils avant même que j’ai le temps de tous les accrocher !
Il a ces fils accrochés à son parc depuis 2 ou 3 semaines maintenant, et même si l’engouement n’est plus le même qu’au tout début, il les aime encore beaucoup.
Et pour ceux qui s’inquièteraient d’une éventuelle confusion avec les vrais fils électriques avec lesquels Bébé n’a pas le droit de jouer : rassurer-vous il n’en est rien ! Les scoubidous ont des couleurs très vives, et Petit O’ reste très attiré par l’interdit et ses couleurs pourtant si ternes… Mais ces petits fils fluo ont le mérite de l’occuper régulièrement pendant quelques minutes (et ça dans la vie d’une maman ça n’a pas de prix) !
Saccageons ce carnet : semaine 5
Me revoilà en forme pour un nouveau saccage ! Vous savez le rendez-vous créatif de Je ne suis pas une super maman… mais j’y travaille !
Voici tout d’abord l’état du carnet au moment où je vous parle.
J’ai tellement aimé relier ces points avec les yeux fermés que je l’ai refait plein de fois et de plein de couleurs différentes !
J’ai décalqué plein de trucs. C’était d’ailleurs le principe de l’activité organisée pour Colombe cette semaine. Bientôt sur le blog^^
Et le saccage complètement improvisé d’hier : Je ne suis pas une super Maman a lancé un défi sur son blog. Elle a énuméré 26 mots de la langue française plus ou moins oubliés (enfin quand même plus que moins, hein) et a mis au défi quiconque en aurait l’envie, d’écrire un paragraphe contenant tous ces mots. Ni une ni deux (bah non, 26!), j’ai montré ça à Papa À Dada, nous nous sommes armés de notre dictionnaire (parce qu’honnêtement je ne sais pas si je connaissais un seul de ces mots !) et nous avons composé. Voici donc notre résultat. Ce paragraphe a du sens même si c’est parfois un peu capillotracté ! Mais la capillotractation est un peu le principe de ce carnet et du défi de Je ne suis pas une super maman ! :
Condamnons-les au kyphonisme, ces cacouacs offrant comme dodines leurs écrits macaroniques aux gargamelles des niguedouilles, saboulant ainsi leurs âmes impollues ! Expédions-les à l’ergastule chatouiller la balicorne du soufflet flabelliforme de la forge zinzoline ! Quelques lioubes dans des pièces d’yeuses et le xylolâtre construirait une belle patache pour envoyer ces hirondeaux quintoyant ventrouiller dans le wagage. Coiffés de nos tapabors, faisons-nous ophiomaques face à ces murènes jugulibranches. Empêchons leur renardie d’opérer à l’usucapion de la pensée, et la Littérature française n’en sera qu’abeausie.
Maintenant il faut que j’envoie cette page à quelqu’un et j’ai ma petite idée de qui la recevra 😉
Je profite aussi de ce billet pour vous présenter une nouvelle participante, ma copine Amélie auteur du blog tout frais Kif And Blog. N’hésitez pas à aller faire un petit tour chez elle et à lui laissé des petits mots ^^
Pour voir mes précédentes participations c’est ici :
Sur ce, à la semaine prochaine !
Botte de Carotte- Chut, les enfants lisent
En fouinant dans les bacs de notre médiathèque, ce petit livre nous a sauté au yeux. Tout d’abord parce que sa couverture nous promet une belle histoire avec tous ces légumes à la mine enjouée. Ensuite, parce que son titre tout en rime et en jeu de mot nous a bien plu. Et ce livre a bel et bien tenu ses promesses !
Botte de carotte c’est comme son nom l’indique, l’histoire d’une carotte qui perd sa botte. Mais c’est aussi l’histoire des légumes du potagers pris en photo et mis en scène pour notre plus grand plaisir.
Botte de carotte c’est aussi un texte tout en rythme et en rime, et en le lisant on a qu’un seul regret, ne pas savoir sur quel air chanter ce texte entrainant !
C’est un livre court à l’histoire simple qui peut être suivie par des tout-petits. Ses jolies photographies permettent aux enfants d’apprendre le nom des légumes et pourquoi pas, de leur donner envie de les manger !
M. Chamak, A Sol, Botte de Carotte, Le Baron Perché, 2006
Cet article est ma participation à “Chut, les enfants lisent” le rendez-vous organisé par Yolina du blog Devine qui vient bloguer ?