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Mes instruments de musique classique

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Pour le rendez-vous À Tout bout d’Chant du blog La Cour des Petits, j’ai décidé de vous parler d’un joli livre à puces des éditions Gründ : Mes instruments de musique classique.

Mes instruments de musique classique, éditions Gründ

Un livre à puces, qu’est-ce que c’est ?

Sur chaque double page on trouve une petite puce électronique sur laquelle il suffit de poser son doigt pour activer une piste sonore. Cette piste est toujours une musique ou un son en lien avec l’image présentée sur cette double page.

joueur de guitare et puce électronique

Mes instruments de musique classique

Comme son nom l’indique, ce petit livre cartonné présente des instruments de musique : le violon, la flûte traversière, la guitare, la trompette, les timbales, le piano. Une double page est consacrée à chacun d’eux. On trouve le nom de l’instrument puis le nom de l’œuvre à écouter ainsi que celui du compositeur. L’œuvre est toujours un morceau très connu, et même si on en ignore souvent le titre, on est tous capable d’en fredonner l’air. Enfin, un petit texte décrit l’air et l’instrument.

La flûte traversière : "Au matin", Peer Gynt, Grieg

Notre avis

Ce livre a été adopté par Petit O’ (2 ans) dès qu’il l’a vu ! Il a alors joué et rejoué “Au matin”, l’extrait de Peer Gynt de Grieg joué à la “flûte à poussière” comme il dit. Il est souvent pénible d’entendre sans cesse le même morceau de musique, mais quand il s’agit de musique classique j’avoue que ça passe beaucoup plus facilement ! Depuis que nous l’avons, Petit O’ sort ce livre chaque jour. Il connaît bien les airs et a bien retenu le nom des instruments ! Et comme ce livre est en carton rigide et d’un format pas trop imposant, je le glisse dans le sac à langer pour nos sorties et il occupe les temps morts dans le bus ou en voiture.

Mes Instruments de musique classique, illustré par Séverine Cordier
Éditions Gründ Jeunesse
Prix : 9,95 €
âge : dès 1 an

Merci aux éditions Gründ Jeunesse pour l’envoi de ce joli livre !

Les autres participations au rendez-vous :

 

 

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Mobile Stalactite – L’art est un jeu d’enfant

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Ce mois-ci le thème de L’art est un jeu d’enfant, le rendez-vous artistique du blog Le Pays des Merveilles est “Aglagla il fait froid”. Le thème est bien d’actualité car la France vient de subir une importante vague de froid qui n’a épargné personne. Si si, je vous assure, même ici sur la Côte d’Azur, les températures sont descendues en-dessous de 0°. Nous n’avons pas eu de neige près des côtes, mais les plans d’eau étaient bels et bien gelés. D’ailleurs, voir les poissons nager dans leur bassin sous un couche de glace a généré un grand intérêt pour Colombe (4 ans) et Petit O’ (2 ans). J’ai alors voulu mener l’expérience des guirlandes de glaçons trouvée chez Maman Nougatine, mais je m’y suis prise un peu tard et le redoux était déjà le redoux était déjà là ! Il me fallait donc trouver une nouvelle idée pour le rendez-vous, et de toute évidence, je ne pouvais plus profiter de la météo (vous ne rêvez pas, je suis bien en train de me plaindre des températures plutôt douces de ces derniers jours… ). C’est alors que j’ai trouvé l’idée de ce mobile stalactite chez Kids Craftroom qui me paraissait très simple à faire pour un résultat très joli !

Stalactites en aluminium

Mobile stalactite en aluminium

Le matériel

J’ai un peu changé la manière de faire car (pour une fois) je ne souhaitais pas mettre de paillettes sur cette activité (ok, je n’avais pas envie de ramasser des paillettes partout une fois le mobile accroché !). Mais ce que j’ai apprécié dans cette idée c’est qu’elle est facilement réalisable avec du matériel qu’on a tous à la maison !

  • du papier aluminium
  • de la peinture bleu et des pinceaux
  • du fil
  • une branche ou un morceau de bois pour servir de base au mobile.
  • un ruban
  • un tuteur

préparation des stalactites à peindre

La réalisation

Avant de proposer l’activité aux enfants, j’ai découpé 5 morceaux de papier aluminium que j’ai ensuite pliés de manière à former un cône.

plier une feuille d'aluminium pour en faire un stalactite

Puis j’ai proposé aux enfants de peindre ces cônes d’alu avec la peinture. Colombe (4 ans) s’est appliquée à mettre beaucoup de peinture partout et y a passé beaucoup de temps alors que je pensais qu’elle serait plus rapide que son frère. Petit O’ (2 ans) lui était plutôt dans la découverte. Il a bien observer la peinture qui se déposait sur l’aluminium, a essayé de peindre différents endroits du cône pour voir si les sensations étaient les mêmes. Puis il a constaté qu’il avait de la peinture sur les mains et a décidé d’en rajouter un peu et de peindre la tablette de sa chaise haute.

Ma fille peint son stalactite d'aluminium

Mon fils peint son stalactite

Mon fils essaye de transperser sa feuille d'aluminium

Mon fils peint la tablette de sa chaise haute

Une fois les cônes peints, il m’a suffit de replier l’extrémité la plus large sur un fil accroché à la branche qui sert de support au mobile. J’ai ajouté un ruban à la branche pour suspendre le mobile et je l’ai accroché sur un tuteur avec du washi tape et je l’ai posé dans les bacs de plantes sur mon balcon.

Fixation de notre mobile stalactite

La déco de mon balcon

La déco de mon balcon

Mobile stalactite en aluminium

Mobile stalactite en aluminium

Dans une ambiance coloré notre mobile apporte un peu de lumière à la décoration de notre terrasse, pour le plus grand bonheur de Maurice (notre nain de jardin) et de Rosy (notre flamant rose) ! Alors, vous aimez ?

Toute ressemblance avec un personnes existantes ou ayant existé ou pas, et ayant la capacité de recouvrir la terre de neige en plein été est purement fortuite.

 

L'art est un jeu d'enfant

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Mes premiers moments de relaxation

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Avec le stress quotidien, les obligations d’horaires et le rythme de l’école, nos enfants sont souvent mis sous tension… C’est vraiment quelque chose que je tente d’éviter, mais ça n’est pas toujours facile. Alors le soir quand nous rentrons d’une longue journée j’aime particulièrement prendre du temps pour lire avec Colombe (4 ans) et Petit O’ (2 ans) et je privilégie souvent des livres de relaxation. C’est donc avec plaisir que j’ai découvert Mes premiers moments de relaxation des éditions Gründ Jeunesse.

Mes premiers moments de relaxation - éditions Gründ

Un livre à puces, qu’est-ce que c’est ?

Sur chaque double page on trouve une petite puce électronique sur laquelle il suffit de poser son doigt pour activer une piste sonore. Cette piste est toujours une musique ou un son en lien avec l’image présentée sur cette double page.

Relaxation : le chat

Mes premiers moments de relaxation

Comme son nom l’indique, ce petit livre cartonné amène l’enfant à profiter de moment de relaxation. Chaque double page représente une ambiance ou un thème autour duquel l’enfant se concentre : la pluie, le chat, les vagues, les oiseaux, les battements de cœur, le mobile. Sur une illustration qui représente le thème évoqué, on trouve le nom de ce thème, un petit texte à lire doucement et une petite note à l’attention des parents pour expliquer les gestes à avoir pendant la lecture (caresser la main, la tapoter…).

Relaxation : les vagues

note aux parents

Notre avis

Colombe (4 ans) et moi avons particulièrement apprécié ce livre. Nous aimons beaucoup nous blottir dans les bras l’une de l’autre, choisir une page et écouter le bruit de la mer, de la pluie ou d’un joli mobile qui tinte au mouvement du vent. C’est toujours un moment de relaxation mais aussi un moment de complicité. Et parfois, Petit O’ (2 ans) vient nous rejoindre, et malgré ses gestes parfois un peu brusque, il se prête au jeu de la relaxation avec plaisir !

Mes premiers moments de relaxation, illustré par Séverine Cordier
Éditions Gründ Jeunesse
Prix : 9,95 €
âge : dès 1 an

Merci aux éditions Gründ Jeunesse pour l’envoi de ce joli livre !

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Bien lire et bien écrire

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Il y a quelques mois (oui, je mets parfois très longtemps à écrire mes articles…) j’ai reçu un livre très intéressant : Bien lire et bien écrire du Dr Wettstein-Badour aux éditions Eyrolles. Colombe n’avait alors que 3 ans 1/2 et si elle semblait encore jeune pour que je m’intéresse aux méthodes de lecture, elle montrait un intérêt grandissant pour l’apprentissage des lettres et je ne voulais pas me trouver au dépourvu lorsqu’elle s’intéresserait à la composition des mots. Cette méthode d’apprentissage de la lecture et de l’écriture dès 4 ans me semblait tout à fait appropriée à notre cas. Ce qui m’a séduite en premier est que la méthode FRANSYA (présentée dans ce livre) est une méthode alphabétique et plurisensorielle.

Apprendre à reconnaître et orienter des formes pour bien apprendre à lire

Apprendre à lire avec la méthode FRANSYA

L’auteur de ce livre, Ghislaine Wettstein-Badour était docteur en médecine et c’est au contact d’enfants mis en difficultés scolaires, non par un quelconque handicape mais par l’utilisation de méthode d’apprentissage non adaptées, qu’elle a développé sa méthode. Celle-ci s’appuie sur des recherches en neurosciences et respecte le développement naturel du cerveau de l’enfant (mais tout ça est expliqué dans le livre, car si je comprends en lisant, je serai bien incapable de vous le réexpliquer en détail !). Ainsi la méthode considère que l’enfant part de rien dans sa découverte de la lecture et de l’écriture, et elle introduit les notions une à une. Et cette méthode est rigoureuse : aucune notion n’est évoquée si elle n’a pas été étudiée auparavant.

Comme je l’ai dit plus haut, la méthode est plurisensorielle. Elle implique bien-sûr des séances où l’enfant est assis à un bureau et se concentre pour lire ou écrire. Mais il y a également des exercices de manipulation, de toucher et même des séances de motricité !

Le livre Bien lire et bien écrire

Bien lire et bien écrire est en fait composé de 2 livres : le livre du maître et celui de l’élève. Le livre du maître est plus complet puisqu’il comprend toutes les explications et les leçons détaillées. Celui de l’élève se compose de mêmes leçons mais sans les explications (le livre regroupe en fait tous les mots de chaque leçon).

Le livre du maître s’ouvre sur une explication détaillée de la méthode et de ses motivations. Puis il explique l’attitude que la conduite à tenir et la rigueur à avoir pour bien appliquer cette méthode. La méthode s’adressant à la fois à de jeunes enfants et à des enfants plus vieux mais en difficulté, la différence d’attitude à adopter en fonction des situations est également expliquée. Enfin, cette partie introductive se clos par le déroulement d’une séance et l’explication des exercices moteurs et plurisensoriels.

La majeure partie du livre est consacrée aux leçons. Chaque leçon est expliquée clairement et en détails.

Enfin, les annexe du livre proposent de quoi fabriquer soit même une partie du matériel sensoriel.
Bien apprendre à lire et à écrire

Et à la maison, comment ça se passe ?

Colombe aura bientôt 4 ans, elle rentre donc maintenant dans les critères de cette méthode, mais comme je l’ai sentie prête plus tôt, cela fait déjà quelques mois que nous faisons une leçon ensemble de temps à autres. La partie purement consacrée à la lecture et à l’écriture dure rarement plus d’un quart d’heure, ce qui est tout à fait normal à son âge (je rappelle que Colombe est en petite section de maternelle). Mais nous consacrons souvent beaucoup de temps aux exercices sensoriels et notamment aux exercices de motricité.

Ces exercices accordent une grande importance à la connaissance de son corps et à la posture. Toucher une partie de son corps avec sa main puis avec l’autre, puis avec son doigt… ce sont des exercices que Colombe fait facilement et qui la motive. Et pour ajouter un peu à la motivation nous incluons Petit O’ (2 ans) dans ce genre de jeux. Nous passons alors un bon moment de jeu et de complicité et je constate à quel point mes enfants prennent conscience de leur corps.

J’aime beaucoup cette méthode. On est bien loin de certaines méthodes ludiques à la mode, mais à chaque fois que j’ai abordé ces méthodes, j’ai constaté des points qui pouvaient facilement induire les enfants en erreur, surtout s’ils sont jeunes. Et une confusion installée au prémices de l’apprentissage est souvent bien difficile à corriger par la suite ! Apprendre à lire et à écrire me semble suffisamment important pour que cela soit fait de manière sérieuse et rigoureuse, et cette méthode nous y aide. Bien sûr, il ne faut pas imposer de longues séances aux enfants sous peine de les dégoûter complètement. Mais en alternant de petites leçons (qui deviendront plus longues quand l’enfant aura grandi) et des séances de jeux l’apprentissage se fait de manière très fluide. Les jeux sont composés des exercices de motricité dont j’ai parlé plus haut, mais aussi de jeux qui préparent à la lecture et l’écriture sans toujours y faire référence directement (distinguer des formes proches mais pas identiques, donner la bonne orientation à une image…)

Cette méthode a également été validée par ma maman (oui, je suis une fille adorable qui demande encore souvent conseil à sa maman, parce qu’une maman c’est important !). Bon, en plus d’avoir élevé une fille sympa, ma maman a surtout été enseignante en école maternelle pendant près de 35 ans, et elle a enseigné la lecture et l’écriture à de nombreux enfants qui étaient demandeurs (mais pas à moi, moi je n’ai rien demandé !). Elle a donc une expérience pratique suffisamment longue pour avoir acquis les bons réflexes et pouvoir identifier les méthodes de lectures sérieuses et les plus fantasques ! Voilà pourquoi je la site en référence !

Grâce à ce livre, Colombe commence tout doucement à apprendre à lire, quant à Petit O’, j’ai trouvé une mine de bons exercices qui favoriseront son apprentissage quand le moment sera venu.

Dr Ghislaine Wettstein-Badour, Bien lire et bien écrire, Eyrolles
Prix conseillé : 45,90 € (le prix peut sembler élevé, mais est très justifié car c’est une méthode sérieuse, très bien expliquée et très complète).
à partir de : 4 ans (mais les parents d’enfants plus jeunes peuvent y trouver des pistes d’exercices et de jeux pour “préparer le terrain”)

Merci aux éditions Eyrolles pour l’envoi de ce livre !

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DIY : fabriquer un tablier en recyclant une vieille chemise

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Comme vous le savez, dans la famille À Dada ! on aime beaucoup les activités manuelles ! Mais comme on a aussi envie de garder nos vêtements dans un état acceptable, le port du tablier est obligatoire dans la plupart des cas ! J’ai donc testé un certain nombre de modèles et j’ai pu me rendre compte que tous n’étaient pas très efficaces (les tabliers en plastique par exemple permettent de ne pas tâcher le vêtement, mais si on n’essuie pas tout de suite l’encre ou la peinture qui se dépose dessus, on en met absolument partout autour de soit…). Mais surtout j’ai eu l’occasion de me rendre compte que les tabliers pour enfants, aussi mignons soient-ils, sont souvent assez chers ! Alors j’ai cherché un moyen d’en faire moi-même et pour que la tâche soit facile, économique et respectueuse de l’environnement, j’ai tout simplement décidé de fabriquer un tablier en recyclant une vieille chemise.

Matériel nécessaire :

  • De vieilles chemise en coton et en taille adulte (ainsi on n’a pas besoin de refaire des tabliers à chaque poussée de croissance des enfants). Ici j’ai recyclé les chemises usées de mon mari.
  • Du fil élastique
  • Fil, aiguille, voire une machine à coudre pour aller plus vite !
  • Une paire de ciseaux

Réaliser un tablier en recyclant une chemise

Il faut d’abord couper le col de la chemise car cette partie un peu rigide pourrait gêner l’enfant dans ses mouvements.

Couper le col de la chemise

Coupez également les étiquettes de la chemise qui pourrait gratter.

Couper les étiquettes

Coupez le bout des manches puis repliez le pour former un tube que vous aller coudre. Passez le fil élastique à l’intérieur du tube et fermez à la taille du poignet de l’enfant.  Les coutures peuvent être faites grossièrement, cela ne se verra pas (et honnêtement c’est un tablier pour faire des activités manuelles qu’on coud, pas une robe de mariée).

Manche du tablier

Le tablier est prêt ! Ici nous l’utilisons pour la peinture et toutes les activités qui tâchent, mais aussi pour faire la cuisine ! Comme mon mari avait plusieurs chemises à mettre à la poubelle, j’ai pu fabriquer plusieurs tabliers et cela ne m’a rien coûté au final ! Et comme c’est du recyclage, j’ai l’impression d’avoir fait un petit geste pour la planète !

Colombe cuisine avec son tablier

Colombe écrit sur son tableau, bien protégée des tâches par son tablier !

J’avoue que  j’adore faire du neuf avec du vieux et trouver des solutions pas chères et bonnes pour la planète comme celle-ci, pas vous ?

 

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Une belle histoire ! – À travers leurs yeux d’enfants

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Mon rendez-vous À travers leurs yeux d’enfants… est chaque mois une nouvelle occasion de proposer un thème aux enfants et d’en leur savourer leur interprétation photographique. À chaque rendez-vous, je me régale en voyant les photos des photographes en herbe : leur interprétation des sujets est souvent bien plus simple et terre à terre que la notre, parfois elle est aussi emprunte d’une douce poésie. Alors pour notre rendez-vous de janvier, j’avais envie que les enfants nous partage “Une belle histoire !”

À travers leurs yeux d'enfants... logo

Une belle histoire selon Colombe

Bien-sûr, le but n’était pas que les enfants nous racontent une histoire puisque la seule consigne du rendez-vous est de faire une ou plusieurs photos associées à un thème. Mais c’est pourtant ce que j’ai proposé à ma Colombe (presque 4 ans). J’avais envie qu’elle m’emmène dans la monde merveilleux des histoires qu’elle invente avec ses petits jouets. Alors je lui ai proposé de me raconter une histoire, puis de l’illustrer en photo comme pour faire un livre. Le projet lui a plu, alors nous nous sommes assises et elle m’a raconté son histoire :

La fée et la princesse

La princesse et la fée

“Il était une fois  une princesse qui vivait dans un château. Un “boom” atterri derrière elle, et la couronne tombait à cause du “boom”. Et comme le “boom” renverse la princesse, elle tombait dans un foyer, là où il y a un serpent dedans qui l’attrape et la mange.”

La princesse et la fée

La princesse et la fée

La princesse et la fée

” Et après dès que la fée met sa baguette magique dans le trou, un serpent l’attrape pas ! Et elle sauve la princesse et la princesse est contente ! “

La princesse et la fée

” Mais la princesse est pas une fée alors elle est pas copine avec la fée, c’est une autre fée qui est copine avec la fée.”

J’espère que cette histoire vous a plu ! Personnellement la chute m’a beaucoup surprise ! Et si vous êtes éditeurs, n’hésitez pas à me contacter, cette belle histoire est sans nul doute la première d’une brillante carrière littéraire !

Vos belles histoires

On commence avec la présentation d’un super livre par Emmy et une photo volée par Ethan chez Mon Joli Petit Bureau.

La neige est en soit une belle histoire pour Lenny de Chez mes p’tits mecs.

Chez Extraordinaire Maman Pivert, Petit Poussin met en scène sa version d’une belle histoire, courage et force sont au rendez-vous !

Chez Je ne suis pas une super maman… mais j’y travaille, quand une histoire n’est pas belle, on la réécrit en couleur !

Que faut-il pour faire une belle histoire ? Anakin répond à cette question chez Appellation Maman.

Maman fatiguée et fatigante a obtenu la plus belle des réponses de la part de son Petit Chou quand elle lui a demandé ce qu’était une belle histoire !

Chez Ma vie de maman louve, petite louve trouve les belles histoires dans sa bibliothèque alors que Louveteau les écrit !

Les belles histoires sont pleines de couleurs chez Le Pays des Merveilles.

Chez la Pipelette aux baskets, Mister Lézard nous présente une belle histoire de chat.

Chez Rêve de Fripouilles, les belles histoires se transmettent de génération en génération !

Les belles histoires se lisent et s’écoutent chez Méli mélo de ma vie.

Dans la Stef Family, Doudou était plus qu’inspiré pour nous montrer toutes ses belles histoires !

Chez Les Petits Petons, plus qu’une belle histoire, on découvre une belle amitié !

Chez Maman Blabla on découvre une belle histoire entre un nouveau papa et sa fille !

Chez Anne-Claire, le petit photographe a été inspiré par un joli livre qu’il a superbement mis en scène (je vous poste les photos ici puisqu’elle n’a pas de blog)

livre

une belle histoire

Une belle histoire

une belle histoire

une belle histoire

Je remercie tous les petits artistes et leurs parents pour leur participation ! Vous le savez, à chaque fois c’est un plaisir pour moi de découvrir vos photo et de voir le plaisir que les enfants ont pris à s’exprimer de cette manière !

Le prochain rendez-vous

Chaque mois je me creuse la tête pour trouver un sujet inspirant. Cette fois-ci j’ai vite trouver car vu la vague de froid que subit la France en ce moment je n’ai qu’une seule phrase en tête : “Un froid de canard !“. J’ai hâte de voir les interprétations des petits ! Mais ne traînez pas, il paraît que les températures remontent dès lundi !

 

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Eco Mania – 1000 questions pour gagner des millions !

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Dans la famille À Dada ! on ne perd pas une occasion de s’amuser ! Il y a bien-sûr les jeux que l’on fait avec les enfants, mais Papa À Dada ! et moi ne sommes pas en reste en matière d’amusement, et parmi nos passions communes se trouvent les jeux de société ! Nous adorons nous réunir avec nos amis et lancer une partie souvent ponctuée de rires ! Nous apprécions beaucoup les jeux de questions car ils parviennent souvent à mêler bonne ambiance et apprentissage (eh oui, apprendre est aussi une de nos passions communes !). Alors quand les éditions Marabout m’ont proposée de découvrir le jeu “Eco-Mania” un jeu de questions sur l’économie (domaine qui m’est presque complètement étranger, j’avoue !) je n’ai pas hésité une seconde !

Eco mania : la boîte de jeu

Eco mania, le jeu

Comme je le disais plus haut, Eco Mania est un jeu de questions sur l’économie. Il est divisé en 6 catégories auxquelles correspondent 6 séries de cartes :

  • Politiques et systèmes économiques : Croissance, PIB, hommes politiques…
  • Histoire économique : Théories économiques, géographie…
  • Economie internationale : Euro, Europe, firmes étrangères…
  • Votre argent : Banque, bourse, moyens de paiement…
  • Les entreprises et les entrepreneurs : Distribution, transports, télécom…
  • Economie digitale : High-tech, start-up, économie numérique…

éco mania boîte de jeu

eco mania, les catégories

Le jeu est donc composé de 240 cartes, un livret d’explication et un dé dont chaque face représente une catégorie. J’ai beaucoup aimé présentation du jeu : tout tient dans la boîte et il n’y a rien à sortir si ce n’est le dé. Pas de perte de temps dans l’installation d’un plateau et une fois le jeu terminé on repose le dé dans la petite case qui lui est réservée et on ferme la boîte !

Le mode de jeu est simple : à partir de 2 joueurs, seul ou en équipe, on tire le dé pour choisir la catégorie puis on tente de répondre à l’une des questions de la carte. Si la réponse est juste, on remporte la carte. Le but du jeu est de remporter une carte pour chaque catégorie et ainsi gagner 10000 € (les 10000 € ne sont pas fournis avec la boîte de jeu).

Nul en économie ? Même pas vrai !

Voilà ce qu’on peut lire en titre du livret explicatif du jeu Eco-Mania. Et c’est plutôt bien résumer ce jeu ! Les questions sont très diverses et font souvent appel à la culture générale. Alors même si nous n’avons pas toujours trouvé les réponses (sinon le jeu aurait été trop facile et n’aurait eu aucun intérêt) nous avons apprécié de trouver des questions qui nous étaient abordables grâce à notre culture G, mais aussi par déduction ! Le jeu remplit complètement son contrat : nous prouver qu’on n’est pas complètement nul en économie et que sous couvert de noms savants, c’est un domaine qui fait partie de notre quotidien.

eco mania : les questions

D’un point de vue de l’amusement, ce jeu m’a beaucoup surprise. J’étais assez sceptique sur le côté ludique d’un jeu sur l’économie (mais je n’aime pas rester sur mes a priori ) et finalement les questions ne sont pas si difficiles. Et en faisait appel à son esprit de déduction, on est souvent amené au débat avec ses adversaires ou ses coéquipiers. Voilà un jeu qui amène au dialogue dans la bonne humeur !

Jean-Marc Sylvestre, Julien Gagliardi, Eco Mania, Marabout
de 2 à 12 jouers
Durée : 30 minutes
Prix : 16,90

Cet article est ma participation au rendez-vous 1,2,3 jouez du blog Maman & Pipelette, les autres participations :

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Et soudain… prendre son temps

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Depuis la rentrée de septembre j’ai l’impression de courir après le temps. Le rythme de l’école nous pèse beaucoup, Colombe est épuisée et difficile à gérer. Ces derniers mois, toute la famille a été mise sous la pression de ce rythme imposé par une équipe éducative bornée. Et alors que nous aimions sortir et faire des activités tous ensemble, le temps que Colombe passait à la maison était uniquement consacré à son repos : elle rentrait de l’école trop fatiguée pour la moindre activité, les week-end nous avions de la peine de la sortir trop longtemps tant elle était déjà sollicitée toute la semaine. En somme notre quotidien était principalement réglé autour du rythme scolaire d’une petite fille de 3 ans 1/2…

Et puis jeudi matin… Depuis lundi, j’ai eu un lumbago, une gastro, et là j’enchaînais sur une angine… Je suis allée tirer Colombe de son lit comme tous les matins d’école et une fois installées en tête à tête à la table du petit-déjeuner je l’ai regardée. Ma petite fille qui avait eu du mal à sortir du sommeil et qui portait encore sur elle des cernes lui donnant l’air d’un petit panda, tentait de manger sa tartine de chocolat entre deux quintes de toux. Oh rien de bien grave, mais une petite toux désagréable. Alors je lui ai laissé le choix : “Tu veux aller à l’école ou tu préfères te reposer ici avec moi ?”. “Je préfère me reposer avec toi.”

Alors après avoir fini notre petit-déjeuner nous avons allumé la télé et nous avons regardé quelques dessins animés. Petit O’ s’est levé et a mangé. Puis nous avons éteint la télé et nous nous sommes tous habillés sans nous soucier de l’heure. Nous avons sorti de la peinture et des tampons, puis des feutres et des coloriages. J’ai mis un plat dans le four et je suis allée jouer avec les enfants. Nous mangé, fait une sieste, lu des histoires et trié des affaires qui avaient besoin d’être triées. Et pendant 4 jours nous avons fait la cuisine à 4 et parfois 6 mains. Nous avons lavé de la salade avec la brosse pour la vaisselle en mettant de l’eau partout mais ça n’était pas grave parce que nous avions bien le temps de laver après. Nous sommes sortis faire du vélo, nous avons vu les canards et les copains. Nous avons fait des gâteaux et préparé des légumes super bons. Nous avons fait des tours très très hautes, même plus hautes que Petit O’ ! Nous avons fait des exercices de lectures et d’écriture et Colombe a adoré ça.

Nous avons passé ces 4 derniers jours à profiter : profiter du temps, profiter de nous. 4 petits jours qui nous ont suffit à refaire le plein d’énergie. 4 petits jours durant lesquels les soucis du quotidien ont paru bien petits. 4 jours de bonheur et d’échange entre nous. 4 jours sans sans cri, sans chamailleries (ou presque !) 4 jours durant lesquels nous ne nous sommes pas vraiment préoccupés du temps ni même de quelconques obligations. Et finalement, sans se soucier de ce qui devait impérativement être fait, juste en se disant qu’on allait faire “ça” tout de suite et le terminer avant de passer à autre chose mais sans se donner de limite de temps ou d’impératif de résultat, nous avons réussi à faire beaucoup plus que dans notre quotidien dans lequel on s’impose tant de contrainte. En 4 jours, j’ai réussi à finir plusieurs tâches qui traînaient pour la maison, j’ai pris également du temps pour moi et pour des projets personnels, et j’ai passé de nombreux moments complices et joyeux avec mes enfants.

 

"Avec mon filet de pêche, je vais attraper la lune !"
“Avec mon filet de pêche, je vais attraper la lune !”

Alors maintenant, plutôt que de courir après, il se peut qu’on prenne tout simplement notre temps…

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Mine de rien, la collection des livres de Catherine Dolto

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L’autre jour en flânant dans ma librairie préférée, j’ai eu la bonne surprise de trouver quelques titres de la collection “Mine de rien”, les livres pour enfants écrits par Catherine Dolto. C’est une collection que je connais bien pour en avoir déjà empruntés à la médiathèque, sans jamais les avoir trouvés en boutique. Je sais que chacun de ces titres a été écrit avec soin et que les textes sont pensés en détails pour aider les enfants (et leurs parents) à affronter une épreuve ou une petite difficulté du quotidien. C’est donc les yeux fermés (enfin c’est une façon de parler, parce qu’il fallait que je garde les yeux ouverts pour lire les titres sur les livres !) que j’ai choisi 2 titres qui me semblaient utiles pour nous actuellement. “Juste pas juste” parce que quand on est petit on se demande souvent pourquoi les adultes ont certains droits que les enfants n’ont pas, et aussi parce que quand on a un frère ou une sœur, la notion de justice devient très présente. “Les mensonges” me semblait adapté car même si elle ne ment pas vraiment, depuis quelques semaines, on sent que Colombe essaye de voir ce qu’un mensonge pourrait provoquer comme réaction chez nous. Elle remplace parfois un “oui” par un “non”, nous dit qu’elle n’a pas fait une chose alors que c’est faux. Et à chaque fois, elle a un petit temps de réflexion avant de parler et on sent que plus que de nous donner une réponse, elle observe notre comportement et constate le poids de ses mots.

2 livres de la collection Mine de Rien

mine-rien-dolto-injuste

mine-rien-dolto-juste

Ces livres ne présentent pas d’histoire, mais des pistes de réflexion. Sur chaque double page se trouve une illustration et un texte associé qui invitent à réfléchir sur un aspect précis du thème du livre. Ainsi dans “Juste pas juste” on aborde le sentiment d’injustice lorsque tous les enfants n’ont pas exactement la même chose, mais on explique aussi pourquoi les différences sont utiles et parfois nécessaire. Et comme le livre est ancré dans une tradition de bienveillance, il ne se contente pas d’un “c’est comme ça, accepte-le !”, mais explique à l’enfant que parfois les adultes n’agissent pas correctement (et pas forcément de manière intentionnelle) et que l’enfant peut en discuter.

Sans jugement, le livre amène l’enfant mais aussi l’adulte vers une réflexion. C’est un livre idéal pour trouver des pistes dans la résolution des soucis de nos enfants, mais aussi tout simplement pour partager nos opinions sur les grands sujets de la vie !

mine-rien-dolto-collection-titres

La collection aborde des thèmes qu’on retrouve souvent dans la littérature pour enfant (L’école, le docteur, les colères…) mais aussi des thèmes plus rarement abordés et pour lesquels on a souvent du mal à trouver des mots (la mort, l’adoption, le racisme…). Tous sont écrits par Catherine Dolto (médecin et psychothérapeute) et Colline Faure-Poirée (éditrice qui a découvert de grands noms de la littérature pour enfant) et tous les titres de la collection que j’ai lu était de valeur égale ! Alors si vous êtes confrontés à des questions auxquels vous ne trouvez pas les mots adaptés à votre enfant, allez faire un tour du côté de la collection Mine de rien qui est vraiment très complète (et qui semble s’agrandir régulièrement) !

Collection Mine de rien, Gallimard Jeunesse
Prix : 6,20 €
âge : certains titres sont abordables dès 1 an, d’autres à partir de 2 ou 3 ans.

Cet article est ma participation au rendez-vous “Chut les enfants lisent” du blog Devine qui vient bloguer ?

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Trouver un déguisement pour aller à Disneyland

Publié le

Pour nos enfants, un séjour à Disneyland est un moment magique (et pour nous aussi d’ailleurs !). Mais pour que la magie soit totale, quoi de mieux pour notre petit que d’être vêtu comme l’un de ses personnages préférés ? Certains seront fous de joie de se promener vêtus en Jedi, d’autres préféreront être des princesses, tandis que les plus jeunes aimeront se mettre dans la peau de leurs copains Winnie ou Némo ! Et le gros point positif d’avoir un enfant déguisé, c’est qu’il peut passer sans faire la queue à l’attraction correspondant au personnage qu’il représente, comme nous l’explique Ma vie de maman louve.  Je vous propose donc de faire un petit tour de l’offre de déguisements des héros Disney, avec une petite sélection pour tous les budgets et quelques astuces pour être au top le jour J !

Où acheter un déguisement Disney ?

  • Si vous êtes couturière, l’idéal est bien évidemment de faire les déguisements vous-mêmes. Les déguisements auront une petite touche personnelle et vous aurez la satisfaction de voir votre enfant porter un habit que vous avez créé ! Quelques idées de patrons (gratuits) ici, ici, ici, ici.Déguisements pour aller à Disneyland : princesse et Winnie l'Ourson
  • La première boutique à laquelle on pense est bien évidemment le Disney Store qui vend ses déguisements en boutique et en ligne. L’avantage c’est qu’on y trouve un très large choix de costumes ressemblants dans les moindres détails aux costumes de héros préférés de nos enfants. Il y en a pour tous les goûts, et on peut même s’offrir des accessoires pour pousser la ressemblance au maximum. L’inconvénient c’est bien-sûr le prix : 50 € en moyenne pour une robe de princesse ça n’est pas donné, et pour peu qu’on ait plusieurs enfants, la facture devient vite très salée ! Mais la qualité est généralement au rendez-vous !
  • Si vous adorez vraiment ces robes Disney mais que votre budget ne vous permet pas de les acheter, vous pouvez en trouver sur les sites de vente d’occasions (le bon coin par exemple). Demandez également à vos proches s’ils n’en ont pas chez eux. C’est la solution pour laquelle j’ai opté pour le déguisement de ma fille : ma nièce a eu une longue période “princesses” et avait plusieurs robes qu’elle a données à Colombe lorsqu’elles ont été trop petites.
  • Certaines enseignes de vêtement ont les licences Disney, ce qui leur permet de vendre des déguisements qui ne sont pas identiques aux vêtements des personnages mais qui y ressemble vraiment beaucoup et qui plairont aux enfants. C’est le cas de Kiabi qui fait des déguisements pour les enfants, mais aussi pour les bébés. C’est là que j’ai acheté les tenues de Petit O’ : un costume de Tigrou et un surpyjama Winnie l’Ourson. Question prix, chaque déguisement m’a coûté un peu moins de 20 €, et le rendu des vêtements était vraiment très sympa !
  • Enfin, pour avoir un déguisement unique on peut le créer soit-même. Mais si vous n’avez pas le temps (ou pas le niveau en couture) il y a de nombreux créateurs français qui vendent de très jolis déguisements sur les sites de ventes comme A little Market. Le budget à prévoir est souvent important, mais pas toujours : certaines créatrices vendent des robes sublimes pour moins de 50 € ce qui est vraiment raisonnable pour un vêtement fait-main en France et personnalisable ! Pour exemple, la boutique Impression de Liberty fabrique des robes de princesse sur commande à partir de 40 €. Idéal pour une robe personnalisée aux couleurs préférées de la petite fille !

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De quels accessoires a-t-on besoin ?

Une cape ou un poncho

Disneyland est situé à Paris, et soyons honnête il n’y fait pas chaud toute l’année ! Dès l’automne et parfois jusque tard dans le printemps, il faut se couvrir pour ne pas attraper froid. Mais c’est tellement dommage de cacher un beau déguisement avec son manteau de tous les jours… Il faut donc penser à prendre une cape : elle tient chaud, mais laisse apercevoir les vêtements ! Et pour trouver la cape idéale, là encore il y a plusieurs solutions !

  • Fabriquer sa cape soi-même. C’est l’option que nous avons choisie. Ma maman a gentiment pris sur son temps pour fabriquer une magnifique cape de princesse pour Colombe (avec une vieille jupe et un vieille anorak !) et un cape façon “pot de miel” pour Petit O’ (toujours avec un vieil anorak, et quelques mouchoirs cette fois). Au final ces capes ne nous ont rien coûté (sauf du temps) puisqu’elles ont été faites en recyclant de vieux vêtements que nous ne portions plus !cape-robe-princesse
    cape-princesse-dos
    Cape pot de miel
  • Acheter une cape sur Disney Store, car grâce à la Reine des Neiges, Disney vend enfin des capes pour couvrir les petites filles (impossible de trouver le lien sur la boutique en ligne, mais les boutiques du parc étaient pleines de capes chaudes Reine des Neiges). Mais voilà, premièrement, comme tous les produits Disney, ces capes représentent un certain budget. Ensuite, à part le modèle Reine des Neiges, je n’en ai pas vu d’autres… Donc toutes les petites filles devraient s’habiller en Anna ou Elsa, quant aux petits garçons… ils ont été un peu oubliés…
  • Faire fabriquer sa cape par une petite créatrice qui pourra vous la personnaliser. Je vous ai déjà parlé des ponchos Lilycorne qui nous avait fait notre poncho de bain. Cette créatrice fabrique également de jolis ponchos en polaire ou en toile enduite (idéal quand il pleut !) que vous pourrez assortir au déguisement de l’enfant. L’avantage c’est que vous pouvez choisir un modèle suffisamment discret pour que votre enfant puisse le porter au quotidien ensuite ! Ses ponchos polaires sont disponibles à partir de 60 €, prix raisonnable pour un vêtement qui suivra votre enfant plusieurs années ! N’hésitez pas à aller faire un tour sur son site et sur sa boutique sur A little Market et à la contacter car elle est très à l’écoute des besoins et envies de ses clients !Poncho flocon Lilycorne
    Poncho dragon Lilycorne

Des pulls et des sous-pulls

Malgré la cape, il se peut que votre petit ne soit pas assez couvert ! La solution est simple : il lui faut un pull, un sous-pull et un collant ! Vous trouverez des sous-pulls et des collants aux couleurs assorties au déguisement dans de nombreuses boutiques pour enfants (Kiabi, Zgeneration, Uniqlo…). Pour les pulls, je vous conseille les pulls polaire de chez Décathlon : ils existent dans toutes les tailles, dans un large choix de couleurs, et ils ne sont vraiment pas chers !

Les accessoires indispensables au déguisement

Maintenant que vous avez le déguisement pour aller à Disneyland, que vous avez de quoi avoir chaud S’il y a quelques indispensables dans la tenue d’une princesse, de Peter Pan ou d’un jedi (oui, oui, Star Wars est bel et bien devenu une licence Disney !), il faut tout de même s’assurer que ces accessoires ne seront pas trop encombrants sur place. Il faudra donc convaincre les jedis de laisser leur sabre laser à la maison (quitte à en acheter un sur place à la fin de la visite, puisque sur le modèle du bar à Patate, il existe un bar à sabres lasers pour personnaliser son arme !), et Robin des Bois ne pourra pas s’encombrer de son arc et de ses flèches. À la place, je vous conseille les couronnes et les chapeaux qui termineront d’habiller vos petits héros, mais attention, il faut qu’ils tiennent dans votre sac car il est fort probable qu’après 3 min 27 votre petit vous dise qu’il en a marre ! La règle d’or en arrivant à Disneyland Paris, c’est de ne pas trop s’encombrer alors limiter les petits accessoires au maximum ! Et d’ailleurs, si vous passez par les boutiques, votre petit n’aura sûrement plus d’yeux pour le chapeau avec lequel il est venu et il vous suppliera de lui acheter une ceinture de super héro ou la parure de bijoux de Belle !

Mes enfants, Colombe et Olivier étaient plus qu’impressionnés de porter toute la journée les tenues de leurs héros préférés ! Ils se sont promenés fièrement dans le parc, et à chaque fois qu’une personne leur faisait remarquer qu’ils avaient de beaux déguisements, je voyais des petites étoiles briller dans leurs yeux ! Ces déguisements ont été un vrai plus dans notre visite, et je suis heureuse d’avoir pris le temps d’arranger ce qui paraît être un détail, mais qui a rendu ce séjour inoubliable pour mes petits !
J’espère que ces conseils vous seront utiles ! Si c’est le cas, ou si vous avez d’autres astuces, n’hésitez pas à les partager en commentaire ! Et bon séjour chez Mickey !

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