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Les escalators à Dubaï, recommandations particulières
Il n’y a rien de plus banal qu’un escalator dans une centre commercial, et à priori il n’y a aucune raison pour que les escalators soient différents d’un pays à l’autre. D’ailleurs les escalators de Dubaï n’ont strictement rien de particulier. Fin de l’article.
Non, en fait il y a un peu plus à dire. Certes, les escalators à Dubaï sont à peu près les mêmes qu’en France : pas d’originalité particulière, pas de démesure, rien d’exceptionnel. Mais à l’entrée des escalators il y ces recommandations, liées à la vie culturelle du pays, et qui me font toujours sourire !
Comme partout, il est indiqué de tenir la main des enfants, de ne pas entrer avec une poussette, de tenir la rampe…
Mais voilà il est aussi indiqué de faire attention à ne pas laisser sa abaya, l’habit traditionnel des femmes aux Émirats Arabes Unis, se coincer dans les rouages de l’escalator ! Imaginez donc le malaise pour la pauvre femme dont le vêtement se déchirerait en montant les marches…
Et l’interdiction de porter des crocs dans les escalators dubaïotes ? Je ne vous mets pas de lien ici, mais vous n’avez qu’à taper “crocs escalator accident) sur Youtube. Ces chaussures en plastique (portées par la majorité des enfants ici) se coincent facilement dans les marches des escalators, et si le pied reste coincé avec, l’accident devient dramatique.
Comment nous vivons le unschooling et surtout comment nous y sommes arrivés !
“Comment, la famille À Dada ! a encore changé de mode de vie et les enfants usent leurs pantalons sur les bancs de l’école (ou plutôt dans la cours de récréation…) ?” Voilà sans doute ce que vous vous êtes demandés en lisant le titre de cet article. Je vous rassure (ou pas) nos enfants ne vont toujours pas à l’école et nous ne songeons pas à les y envoyer. Mais ça n’est pas pour autant que l’on fait l’école à la maison ! D’ailleurs si vous me lisez depuis un moment vous vous serez peut-être rendu compte que j’utilise très peu ce terme. Lorsque je parle de notre manière d’apprendre, je parle plutôt d’instruction en famille, le terme général aux enfants qui ne vont pas à l’école. Et lorsque je veux être plus précise, je vous parle de unschooling ou de “liberté d’apprendre”.
Qu’est-ce que le unschooling ?
Voilà une grande question qui suscite de nombreux débats ! Le unschooling est un concept vivant et même assez personnel, il est donc normal que chacun le vive différemment. Le grand principe du unschooling est la liberté d’apprendre et le respect des élans de curiosité de l’enfant. Cela signifie que l’enfant est maître de ses apprentissages et que les parents ne font que suivre et accompagner l’enfant. Les désaccords sur la définition de unschooling résident donc souvent sur la limite entre “accompagner” et “guider” son enfant. Les unschoolers n’utilisent généralement pas de programme (quoique ça n’est pas tout à fait vrai puisque certains l’utilisent comme ligne directrice pour atteindre un but comme l’obtention d’un diplôme) et certains parents unschoolers affirmeront même qu’utiliser du matériel pédagogique va à l’encontre de la liberté d’apprendre de l’enfant. Je pense que le unschooling va au-delà de ce genre de question. Il ne s’agit pas d’une religion avec ses dogmes, où il serait blasphématoire de faire telle ou telle chose. C’est plutôt une philosophie de vie : oui, selon moi le unschooling n’est pas qu’un système d’enseignement, mais bien un mode de vie car il impacte le quotidien de toute la famille (mais remarquez, vu comme l’école a fait de notre vie de famille un enfer, c’est sans doute aussi un mode de vie…). La définition est donc très large et de nombreuses familles s’y retrouvent. Il y a bien sûr le stéréotype de la famille qui vit pieds nus au fond des bois en communion avec la nature, mais aussi des familles qui vivent en ville dans un système plus traditionnel. L’essence du unschooling ne tient pas tant de la méthode que de l’initiateur du savoir : l’enfant !
Pour une définition plus détaillée du unschooling, je vous suggère cet article du blog Apprendre avec bonheur, ainsi que le visionnage du film de Clara Bellar Être et Devenir.
Le parent unschooler se la coule douce !
Puisque le unschooling, selon la manière dont je le définis, correspond à la liberté d’apprendre et que l’enfant est maître de ses apprentissages, alors il est bien naturel de penser que les parents n’ont absolument rien à faire, non ?
Dans la réalité, ça n’est pas si simple. Si l’enfant est libre d’apprendre ce qui l’intéresse, l’adulte est là pour l’accompagner et répondre à ses questions. Et ça n’est pas toujours une mince affaire ! Bien souvent, l’enfant se passionne pour un sujet que le parent ne maîtrise pas ou connaît très peu. Le parent va alors se documenter avec l’enfant et le guider dans ses recherches (en particulier avec des petits qui ne savent pas lire, cela est sans doute moins vrai lorsque l’enfant devient plus autonome). Le parent peut également préparer des activités et des expériences en rapport avec la passion du moment. Tout cela demande de la préparation, pas mal de travail, et c’est parfois source de frustration (pour le parent), car l’enfant ne va pas nécessairement s’enthousiasmer pour ce que l’on aura préparé ! Et en unschooling, si l’enfant ne trouve pas d’intérêt pour une activité, on ne la lui impose pas. Alors j’arrête tout de suite les mauvaises langues, il ne s’agit pas de faire des enfants capricieux qui ne vont faire que ce qu’ils veulent, mais de ne pas forcer un enfant dans une activité qu’il rejette. On peut alors la présenter différemment, demander à une autre personne de l’introduire, ou tout simplement la mettre de côté afin que l’enfant puisse s’y diriger de lui-même s’il en ressent l’envie. Car en unschooling, on considère que l’enfant a sans doute une bonne raison de ne pas s’intéresser à une chose, même si nous ne saisissons pas cette raison (et qu’il n’est d’ailleurs pas forcément utile de saisir cette raison). Si un jour l’enfant ressent le besoin d’y revenir, alors il le fera naturellement, et s’il n’y vient jamais c’est simplement que cette chose ne lui est pas utile. Il ne s’agit pas d’éveiller la curiosité des enfants en leur proposant une foule d’activités : la curiosité des enfants est naturellement présente, elle n’a pas à être éveillée mais simplement entretenue (et répondre à leur questions suffit pour ça).
Mais le plus gros du travail du parent unschooler est sans doute un travail de lâcher-prise. La plupart des parents unschooler ont sans doute reçu leur instruction à l’école. Nous avons appris à rester calme, assis sur une chaise et à écouter des cours magistraux qui tentaient de nous enseigner des concepts bien éloignés de notre quotidien. Nous avons été conditionnés à croire que les apprentissages ne pouvaient se faire que par la transmission du maître à l’élève, nous avons rarement appris par l’expérience, et plus que tout, nous avons appris que ne pas savoir était un échec. Ainsi, face à nos enfants nous sommes souvent confrontés à cette peur de l’échec par laquelle nous sommes conditionnés : mon enfant va-t-il apprendre à lire si je ne le force pas à s’exercer chaque jour ? Va-t-il avoir un jour l’envie d’apprendre à résoudre une équation à 2 inconnues si je ne l’y contrains pas ? Toutes ces questions sont légitimes, car nous avons souvent davantage appris par contrainte de réussite à l’examen que pour notre enrichissement personnel. Mais si nos enfants ont réellement besoin de ces apprentissages, ils s’y dirigeront naturellement et trouveront la motivation nécessaire pour travailler sans qu’on ne les y pousse. Nos enfants apprendront sans doute à lire, même si leur intérêt naît tardivement. En revanche, certains ne trouveront jamais l’intérêt d’apprendre à résoudre une équation à 2 inconnues, mais finalement, vous souvenez-vous comment on fait ? Cela vous a-t-il déjà été utile ? Bref, le plus gros du travail du parent unschooler est sans doute de se rappeler que l’élan doit venir de l’enfant, que l’on peut avoir confiance en nos enfants pour apprendre tout ce dont ils auront besoin pour leurs projets futurs. Ce lâcher-prise et cette confiance ne sont pas faciles à acquérir, mais on y travaille.
Pourquoi le unschooling ?
Lorsque j’ai annoncé que mes enfants allaient être déscolarisés, je me souviens que quelques personnes m’avaient dit : “Chouette, je te vois bien en unschooling !”. Sur le moment, et alors que je n’y avais pas encore totalement réfléchi, je me demandais si j’allais réussir à laisser toute cette liberté à mes enfants (quand je vous parle de lâcher-prise, je sais de quoi je parle). Finalement, les 2 premiers mois d’instruction en famille se sont faits chez mes parents lorsque nous attendions nos visas pour venir à Dubaï, et nous les avons vécus comme de grandes vacances. Nous avons fait de très nombreuses sorties et les enfants ont beaucoup appris. Notre rythme de vie était celui de la maison, et si nous avions des routines, nous n’avions pas vraiment de contraintes horaires.
À notre arrivée à Dubaï, les enfants ont eu besoin de temps pour s’habituer aux coutumes locales (comme je l’explique en détails dans cet article). Il a également fallu qu’ils apprennent l’anglais qui est la langue majoritairement parlée ici. À 3 et 5 ans, je ne me voyais pas du tout le leur enseigner par des cours magistraux, alors j’ai dû créer des situations pour les confronter à la langue. Au final, il me restait peu de temps pour penser et préparer des “cours” ou activités correspondant à leur niveau scolaire, alors je ne l’ai pas fait. Mais cela ne m’a pas empêchée de constater qu’ils étoffaient leurs acquis. Nous discutons et lisons beaucoup, nous faisons de nombreux jeux de société, nous faisons également énormément de rencontres au quotidien, et sans qu’on ne fasse d’effort, toutes ces actions participent largement à la stimulation intellectuelle de nos enfants. Alors que j’avais encore dans l’idée de préparer du travail régulier mais que je n’en trouvais pas le temps, j’ai constaté tous les progrès de mes enfants et me suis rendu compte qu’ils apprenaient très bien seuls et à travers le monde ! C’est ainsi que tout naturellement nous avions débuté le unschooling.
Cet article est bien assez long comme ça, alors je vous ferai grâce du détail de notre organisation (car oui on peut pratiquer le unschooling et être organisé !), mais soyez rassurés (ou pas…) cela fera l’objet d’un prochain article ! Mais pour conclure, j’ai surtout l’impression que le unschooling s’est imposé à nous naturellement. Bien que je n’ai pas réussi à lâcher prise totalement, et même si je ne suis pas certaine de continuer en unschooling dans les années à venir (parce que qui peut dire où nous serons et ce que nous ferons dans le futur ? ), c’est pour le moment le mode d’instruction qui nous convient le mieux et qui correspond le mieux à notre envie de ralentir !
Mais dites-moi tout : y a-t-il parmi vous des personnes qui pratiquent le unschooling ? Des personnes que cela intéresse ? Ou au contraire est-ce que vous préférez les méthodes d’enseignement plus classiques et plus dirigées ? J’adore vous lire alors racontez-moi vos expériences, vos interrogations, vos envies…
Les toilettes à Dubaï – À Dada à Dos de chameau !
Parmi les questions qu’on m’a posées sur Dubaï, figurait “À quoi ressemblent les toilettes à Dubaï ?“. Assouvir ses besoins naturels est vital, alors il est tout à fait normal qu’en voyageant, on se demande sur quoi on va s’assoir. D’autant qu’en matière de toilettes la diversité est immense ! Il y a presque autant de modèles de toilettes que de cultures dans le monde. Car oui, aller au toilette est culturel (alors n’allez pas dire que ce blog n’est plus ce qu’il était et qu’il s’abaisse à des sujets bassement primaires -et racoleurs, avouez-le secrètement ça vous intéresse ) ! Mais entrons dans le vif du sujet (si vous me passez l’expression).
À quoi ressemblent les toilettes à Dubaï ?
Dubaï possède le plus grand centre commercial du monde, la plus haute tour du monde et la plus grande roue du monde, mais au risque de vous décevoir, les toilettes à Dubaï n’ont pas grand chose d’exceptionnel. On est bien loin des toilettes chauffantes et autonettoyantes du Japon (quoique dans certains lieux bien garder, on trouve ce genre de toilettes à Dubaï). Mais malgré leur simplicité, elles ont tout de même leur petite originalité : elles sont munies d’une douche ! Bon, ok, on va plutôt parler de douchette, ou “shattaf“.
Cette douchette se trouve sur absolument toutes les toilettes que j’ai pu croiser à Dubaï. Et cela tient à une raison simple : avant d’entammer l’une des 5 prières quotidiennes, les musulmans doivent faire leurs ablutions afin de nettoyer tout leur corps. Vous comprenez donc aisément à quoi sert le shattaf !

Alors la présence de cette douchette sur les toilettes à Dubaï n’est sans doute qu’un détail, mais il m’a permis d’observer quelques comportements qu’on ne verrait pas en Europe :
- Il se peut qu’en entrant dans des toilettes publiques vous trouviez le siège complètement trempé. Soit une personne y a fait ses ablutions avant votre passage, soit la femme de ménage a nettoyé les toilettes aux grandes eaux. En tous cas, rassurez-vous, elles sont propres !
- À la plage, alors que la douche est parfois payante, certains profitent des toilettes pour se laver gratuitement. Et malgré le panneau d’interdition, ça doit être assez fréquent vu la tête de la femme de ménage lorsqu’elle constate que les toilettes ont été inondées.
- Enfin si vous réservez une chambre dans un hôtel des Emirats et que vous regardez la liste des équipements, vous remarquerez sans doute qu’on vous prévient qu’il y aura du papier toilette ! Alors pour nous, ça paraît bizarre de le préciser, mais finalement, beaucoup de gens ici se nettoient à l’eau (ce qui d’ailleurs est plutôt plus propre !).
La propreté des toilettes à Dubaï
Bon, ok, elles n’ont rien de bien exceptionnel ces toilettes mais on peut constater une chose : elles sont propres ! Cela m’a particulièrement frappée lorsque je suis arrivée. Dans les centres commerciaux, les toilettes sont généralement (pour ne pas dire toujours) impécables. D’ailleurs bien souvent il y a une femme de ménage qui ne quitte pas les lieux, et d’ailleurs il arrive souvent qu’elle nettoie les toilettes spécialement avant le passage d’un enfant (le genre de petites attentions envers les enfants qui sont très fréquentes ici). Bref, ici les toilettes les plus sales que j’ai trouvées seraient considérées de “passables” en France.

Enfin, dans les centres commerciaux, les toilettes ont généralement des chasses d’eau automatiques. Cela n’est pas très original et on en trouve en France aussi, mais cela a tout de même bien surpris ma fille les premières fois. En effet à 4 ans 1/2, elle n’était pas suffisamment grande pour bloquer le faiseau qui permet le déclenchement de la chasse d’eau et celle-ci se mettait souvent en route alors que ma fille était encore assise. Cela lui a vallu beaucoup de frayeurs au début !
Je dois aussi avouer que les toilettes publiques sont nombreuses à Dubaï (et gratuites). Il y en a dans les centres commerciaux bien-sûr, mais aussi dans les stations de métro, dans les parcs et parfois même dans certains immeubles qui bordent les promenades touristiques.
Voilà, j’espère avoir rassuré les voyageurs parurésiques et apopathophobes (respectivement ceux qui ont peur des toilettes publiques et ceux qui ont la phobie d’aller à la selle, vous voyez, on apprend des choses, je vous avais dit que cet article serait culturel !), les toilettes à Dubaï sont très accueillantes (enfin suffisamment pour ce qu’on y fait).
J’aime vous lire, n’hésitez pas à réagir en commentaire ! Avez-vous déjà rencontré des toilettes insolites au cours de vos voyages ?
Roule Galette ! – À travers leurs yeux d’enfants…
Et voilà le rendez-vous À travers leurs yeux d’enfants… qui revient déjà ! Non, je n’ai pas décidé de rendre le rendez-vous plus fréquent, mais imaginez-vous que ce mois-ci, je vous livre notre participation à temps ! Et comme le mois dernier j’étais très très en retard, il ne s’est écoulé que 12 jours entre les deux articles ! Le thème de ce mois de janvier était très simple et de saison : ” Roule Galette !”
Notre interprétation de Roule Galette !
La photo des enfants n’a rien de particulier ce mois-ci. Chacun a pris en photo sa part de galette, un peu dans l’urgence car, en grands gourmands, c’est juste avant de manger la première bouchée que nous nous sommes rappelés que nous avions prévu de prendre la galette en photo !


Mais notre galette des rois était un peu particulière cette année. Fin octobre, je m’étais persuadée que je n’en trouverais pas ici à Dubaï. Même si je ne mangerais pas de galette toute l’année, un mois de janvier sans galette m’aurait rendue triste. Mais courant novembre, mon supermarché a rempli tout un rayon de galettes, et en les voyant j’ai eu envie de pleurer ! (oui le mal du pays toussa toussa… rien d’anormal et rien d’alarmant, si vous avez vécu longtemps loin de chez vous, vous savez de quoi je parle).
Et notre histoire de la galette ne s’est pas tout à fait arrêté là puisque Petit O’, Colombe et moi avons décidé de partager cette tradition avec leurs professeurs de gym. Nous leur avons donc apporté une galette des rois en guise de cadeau de fin d’année. Je leur ai expliqué la tradition et je leur ai expliqué qu’il fallait faire très attention à leurs dents en la mangeant (on ne sait jamais !). Lorsque nous sommes retournés au club de gym début janvier, la première chose que nous ait dit Miss G., la professeur de gym de Colombe et Petit O’ était : “J’ai eu la fève !!!”.
Elle avait été très heureuse que l’on partage notre tradition avec elle et elle a décidé de l’adopter ! Ainsi, chaque année, Miss G. mangera une galette des rois à Dubaï ou aux Philippines (son pays d’origine). Alors si dans quelques années vous entendez parler d’une tradition aux Philippines, de gâteau contenant une fève et ressemblant étrangement à notre galette à la frangipane… C’est peut être nous qui aurons fait voyager cette coutume française !
Vos interprétations de “Roule Galette”
Chez Maman Fatiguée et fatigante, les enfants ont pris en photo la bonne galette des rois qui ne roule pas !
Chez Mon joli Petit Bureau, Ethan immortalise un beau moment de pâtisserie.
Chez Extraordinaire Maman Pivert, Petit Poussin, pas très inspiré a pourtant réussi à prendre plusieurs photos !
Chez Rêves de Fripouilles, les enfants se ont réellement fait rouler la galette !
Le prochain rendez-vous
Pour le rendez-vous du mois prochain, fixé le 20 février, j’ai décidé de laisser la possibilité à un photographe en herbe de choisir le thème. Petit Poussin, le fils de Maman Pivert étant sans doute le plus assidu et souvent le plus motivé de nos petits artistes, je lui ai proposé de choisir le premier. Il a donc choisi un thème plutôt orginal : “avoir une peur bleue !“. J’espère que tous les autres petits photographes seront inspirés !
Here we are – Chut les enfants lisent
Quoi de mieux pour commencer l’année que de vous présenter un livre apporté par le Père Noël et qui parle (notamment) de la nouvelle passion de ma belle Colombe : l’espace ! C’est lors de la lecture de conte de notre bibliothèque que nous avons découvert ce bel ouvrage, et comme il avait intéressé ma grande et que je le trouvais vraiment charmant, je n’ai pas pu résister à l’idée de le déposer sous le sapin ! C’est donc un beau livre poétique et plein de savoirs que je vous présente aujourd’hui : Here we are (et oui, c’est un livre en anglais ! Nous sommes en pays anglophone maintenant !)
Here We Are
Pour les non-anglophones, “Here we are” signifie “nous sommes ici“, comme le “vous être ici” que l’on trouve souvent noté d’une petite flèche rouge sur les plans. Le livre s’ouvre sur une carte de notre système solaire complétée de quelques explications que l’on dirait manuscrite. Les premiers mots du livre sont :
“Well, hello.
Welcome to this planet.
We call it Earth.”
Bien. Bonjour.
Bienvenue sur cette planète.
On l’appelle la Terre.
Suit alors toute une explication de ce qu’est la Terre, ce qui la compose, les êtres qui y vivent et comment elle s’organise. On découvre le relief, la répartition entre eau et terre et toute la diversité. Il y a bien sûr la diversité des lieux, des ambiances, des espèces.
Mais il y a aussi la diversité au sein de notre propre espèce humaine, et les différents modes de vie.
Pourquoi nous aimons Here We Are
Here We Are est une histoire simple : une présentation de notre monde. En abordant le livre comme un livre d’images, l’enfant peut développer son vocabulaire car les illustrations sont fournies en détails qui retranscrivent bien la diversité que l’on trouve sur notre planète. Il peut être lu également comme une belle histoire sur la diversité et l’immensité de notre univers. On y découvre que nous sommes nombreux sur Terre et que chaque personne est unique, mais que la différence est une richesse et qu’en l’abordant avec respect on ne se sentira jamais seul au monde.
C’est aussi un livre rempli d’humour caché dans les petits détails. Quelques petites blagues faisant référence aux subtilités de notre planète et de sa diversité sont éparpillées à travers le livre, ce qui encourage le dialogue entre le parent lecteur et l’enfant. J’apprécie beaucoup cette possiblité d’aller au-delà du livre et d’éveiller la curiosité des enfants !
La fin du livre est amenée avec beaucoup de poésie (mais je ne vous la révèlerai pas ! ).
Oliver Jeffers, Here We Are, Harper Collins, 2017
Le livre n’est encore disponible qu’en anglais, mais l’auteur ayant déjà connu le succès avec de précedents ouvrages (Perdu ? Retrouvé, Rébellion chez les crayons), ce titre devrait être traduit assez rapidement !
Edit : Le livre est maintenant disponible en français aux éditions du Kaléïdoscope ! Et si vous aimez l’univers de cet auteur, plein de poésie, de douceur et tourné vers la connaissance de l’espace, je vous présente aussi son tout premier livre : Comment attraper une étoile.
Ce billet est ma participation au rendez-vous “Chut les enfants lisent” organisé chaque mercredi par le blog “Devine qui vient bloguer ?“
Lumière ! – À travers leurs yeux d’enfants…
Le mois dernier, alors que je cherchais désespérément un thème intéressant pour notre rendez-vous À travers leurs yeux d’enfants… j’ai décidé de demander à Petit O’ (3 ans). C’était en fin de journée et nous étions tous les deux installés sur mon lit, alors c’est tout naturellement qu’il m’a répondu : “On a qu’à prendre ta lampe en photo !”. Si je trouvais le thème “lampe de chevet” un peu réducteur et peu propice à l’imagination, en revanche, je me suis dit que “Lumière” pourrait être un thème inspirant ! Et pour cause, la lumière, cela fait un moment que nous l’observons et que nous l’immortalisons en image car une de nos passions à Dubaï est d’observer les levers et les couchers de soleil qui y sont magnifiques !
Notre interprétation de Lumière
Comme je le disais, nous aimons observer les couchers de soleil (et les levers quand nous nous levons tôt ! ) et j’encourage parfois les enfants à le prendre en photo. Voici donc 2 photos de couchers de soleil prises par Colombre (4 ans 1/2), le premier est pris depuis une station de métro de Dubaï, et le second sur la plage, face à ce qui sera (une fois terminée) la plus grande roue au monde !
Notre sortie à Dubai Garden Glow a également beaucoup inspiré les enfants (et moi aussi, il n’y a qu’à voir le nombre de photos dans mon article !). Petit O’ (3 ans) a eu une très bonne idée de sujet à photographier : les illuminations du parc et la lune brillante à côté. Comme souvent, il s’est précipité pour prendre la photo et l’image est plutôt floue. Je l’ai donc aidé à rester stable pour prendre une seconde photo.
Colombe a été inspirée elle aussi. Elle a choisi de prendre en photo une structure représentant des nénuphars. Quand elle a réalisé que sa première photo n’était pas bien cadrée, elle s’est déplacée pour en prendre une seconde, et le résultat est vraiment pas mal !
Vos interprétations de “Lumière ! “
Ce mois-ci il n’y a pas eu beaucoup de participations, sans doute à cause des fêtes et des microbes qui ont l’air d’avoir touché pas mal de petits français ! Mais les deux familles qui ont participé ont été très inspirées et ça vaut le détour !
Tout d’abord, chez Extraordinaire Maman Pivert, Petit Poussin a proposer d’illustrer le thème avec des photos d’une de leur nombreuses visites à Disneyland Paris (ce sont de gros gros fans !!! ). Cela donne un article plein de jolies photos et une belle visite ! Mais cette idée “lumineuse” de Petit Poussin a aussi donné envie à Maman Pivert de participer ! Voici donc “Lumière” à travers ses yeux d’enfants, car quand on est à Disneyland Paris, on redevient un enfant !
La deuxième famille qui a participé est celle du blog “Rêves de Fripouilles“. Et là, ils ont carrément mis le paquet en organisant une séance de “light painting”. Si vous ne connaissez pas, il s’agit de peindre avec de la lumière, mais je ne vous en dis pas plus, l’article explique très bien le principe et les photos sont chouettes !
Le prochain rendez-vous
Merci encore aux participants de ce mois-ci, mais aussi de tous le rendez-vous depuis sa création. Je sais qu’il n’est pas toujours facile de trouver le temps pour participer et je suis touchée à chaque fois que vous le faites. J’ai moi-même pris beaucoup de temps pour écrire cet article, alors le thème du mois prochain a déjà été choisi par les membres du groupe Facebook (n’hésitez pas à rejoindre le groupe si vous voulez participer). Il s’agit donc de “Roule Galette !” un thème gourmand qui me plaît bien !
Dubai Garden Glow
À Dubaï, d’octobre à avril on peut aller visiter le parc Dubai Garden Glow. Il s’agit d’un parc de structures illuminées toutes plus belles les unes que les autres ! Nous y avons fait une promenade absolument magique et nous en avons pris plein les yeux ! Les enfants étaient subjugués et à chaque fois qu’ils posaient leur regard quelque part, ils s’exclamaient : “Et là ! Regardez comme c’est beau !”.
Si je suis plutôt bavarde d’habitude, cet article fera exception car avouons-le, les images parlent d’elles-mêmes !
Notre visite de Dubai Garden Glow
Le parc est divisé en plusieurs sections thématiques : l’amour, les oiseaux, le monde Arabe, la “Happiness street” (ou rue du Bonheur), le monde des bonbons…
Info pratiques
Dubai Garden Glow est couplé avec Dubai Dinosaur park, l’entrée coûte 60 AED (environ 15 € et l’entrée est gratuite pour les moins de 3 ans) et vaut pour les 2 parcs.
Le parc est ouvert de 16h à 0h. Dubai Garden Glow ayant plus d’intérêt de nuit, je vous conseille de commencer par visiter Dubai Dinosaur Park tant qu’il fait jour (cela sera aussi beaucoup moins impressionnant pour les petits !). Sachant que la nuit tombe vers 18h à Dubai, cela vous laisse le temps d’apprécié la partie des dinosaures, mais aussi de profité des illuminations avant que les petits ne soient trop fatigués.
Le parc est accessible en métro à condition de marcher un peu. Vous pouvez y accéder en traversant Zabeel Park (mais l’accès au parc coûte 5 AED, payable avec votre carte de métro) ce qui est la solution la plus sécurisée. Sinon, vous pouvez suivre les rues, mais vous allez alors devoir longer une grosse artère (et ici on parle de 2 fois 6 voies !). Si vous décidez de vous y rendre en voiture, pas de problème, le parking se trouve juste devant l’entrée.
La nourriture est autorisée dans le parc, mais à part le “food court” (salle de restauration en intérieur) on ne trouvera pas beaucoup d’endroits pour pique-niquer. Le food-court offre la possibilité d’acheter un repas, mais il n’y a que des fast-food. Dans le parc on peut également trouver de nombreuses échoppes pour acheter à manger (et cette fois cela sera un peu moins gras-mais juste un peu moins !).
Dubai Garden Glow comporte également une partie appelée Ice Park. C’est la seule partie couverte du parc et elle abrite des sculptures de glace. Nous n’avons pas visité cette partie pour plusieurs raisons, dont le prix de l’accès (40 AED (10€) par personne si mes souvenirs sont bons). Et la visite de Dubai Garden Glow et de Dubai Dinosaure park suffisent largement à contenter les enfants. Mais si vous hésité à la visiter, pas de soucis, l’entrée pour cette partie se prend à l’intérieur du parc, vous pouvez donc aviser pendant votre visite.
Et vous, avez-vous déjà visité ce parc ou un parc dans le genre ? Racontez-moi ça en commentaire, cela me fait toujours plaisir de vous lire !
Dubai Dinosaur Park
Amateurs de dinosaures, je connais exactement l’endroit qu’il vous faut pour vous en mettre plein la vue ! À Dubaï, d’octobre à avril, vous pouvez visiter le Dubai Dinosaur Park, parc en plein air rempli de dinosaures ! Alors pour ceux qui se prennent à rêver le plus, je vous arrête tout de suite, les dinosaures ne sont que des automates, hein. On est à Dubaï et la ville est connue pour son goût du spectaculaire, certes, mais redonner vie aux dinosaures n’est pas encore au programme !
À notre arrivée, Petit O’ (3 ans) dormait sur le dos de Papa À Dada ! Colombe et moi en avons donc profité pour faire une séance photo dans les nombreux décors prévus à cet effet : des oeufs de dinosaures dans lesquels on peut rentrer entièrement, ou même un dinosaure qui fait semblant de nous avaler. Le résultat est très drôle et plutôt impressionnant pour les petits !
C’est à la fin de notre séance photo que Petit O’ a choisi de se réveiller, et la magie a opéré ! Imaginez-vous, à 3 ans, alors que vous adorez les dinosaures, vous vous réveillez au milieu de plusieurs espèces plus vraies que nature ! Notre garçon est resté bouche bée !
La visite du Dubai Dinosaur Park
Petit O’ descendu du porte-bébé, nous avons entamé la visite du parc. Les dinosaures sont présenter part période chronologique. Bien que le passage d’une période à l’autre ne soit pas toujours facilement identifiable pour un petit, les enfants plus âgés les repèreront facilement. Chaque dinosaure est présenté avec une fiche descriptive indiquant ses noms scientifique et vulgarisé ainsi que leur signification, ses caractéritiques et son milieu de vie. La présentation est donc plutôt cohérente et instructive.
La plupart des dinosaures présentés sont des automates et ils sont plutôt réussis ! Ils ne se mettent à bouger et grogner que lorsqu’on s’approche d’eux, et cela nous a beaucoup surpris la première fois ! Il faut dire que Petit O’ s’était approché d’un dinosaure dont la tête était à peu près à la hauteur de la sienne, il a donc pris le rugissement en pleine tête !
La promenade au milieu des dinosaures est très agréable (et instructive) et par moment on se croirait presque dans Jurassic parc, entouré de bêtes immenses dans leur habitat naturel !
Dubai Dinosaur Park est situé à proximité de Downtown, le centre de Dubai qui regroupe les plus hauts gratte-ciel. Selon le point de vue, on peut alors s’amuser à prendre de magnifiques photos des reptiles géants avec la ligne d’horizon de la mégapole derrière eux !
Info pratiques
Dubai Dinosaur Park est couplé avec Dubai Garden Glow, l’entrée coûte 60 AED (environ 15 € et l’entrée est gratuite pour les moins de 3 ans) et vaut pour les 2 parcs.
Le parc est ouvert de 16h à 0h. Dubai Garden Glow ayant plus d’intérêt de nuit, je vous conseille de commencer par visiter Dubai Dinosaur Park tant qu’il fait jour (cela sera aussi beaucoup moins impressionnant pour les petits !). Sachant que la nuit tombe vers 18h à Dubai, cela vous laisse le temps d’apprécié la partie des dinosaures, mais aussi de profité des illuminations avant que les petits ne soient trop fatigués.
Le parc est accessible en métro à condition de marcher un peu. Vous pouvez y accéder en traversant Zabeel Park (mais l’accès au parc coûte 5 AED, payable avec votre carte de métro) ce qui est la solution la plus sécurisée. Sinon, vous pouvez suivre les rues, mais vous allez alors devoir longer une grosse artère (et ici on parle de 2 fois 6 voies !). Si vous décidez de vous y rendre en voiture, pas de problème, le parking se trouve juste devant l’entrée.
La nourriture est autorisée dans le parc, mais à part le “food court” (salle de restauration en intérieur) on ne trouvera pas beaucoup d’endroits pour pique-niquer. Le food-court offre la possibilité d’acheter un repas, mais il n’y a que des fast-food. Dans le parc on peut également trouver de nombreuses échoppes pour acheter à manger (et cette fois cela sera un peu moins gras-mais juste un peu moins !).
Notre avis sur Dubai Dinosaur Park
En tant que parent, j’ai été très agréablement surprise. L’ambiance est sympa et instructive. J’ai apprécié le prix abordable. Je recommande vivement cette sortie pour tous les petits et les grands amateurs de dinosaures de passage à Dubaï !
Petit O’ et Colombe ont été très impressionnés par cette visite, au point que plusieurs semaines après, ils en parlent toujours beaucoup et voudraient bien y retourner ! Depuis, nous parlons encore plus de dinosaures à la maison, nous lisons et relisons le livre préféré de Petit O’ et nous recréons le parc avec les petites figurines de dino apportées par le Père Noël.
Et chez vous, il y a des amateurs de dinosaures ? Vous avez déjà visité ce parc ou un parc dans le genre ? Racontez-moi ça en commentaire, cela me fait toujours plaisir de vous lire !
Nos assiettes de Noël pour décorer les murs
Comme je l’ai déjà expliqué ici, notre déménagement à Dubaï nous a contraint à faire beaucoup de tri parmi nos affaires, et les décorations saisonnières n’avaient pas leur place dans nos bagages (à l’exception de notre sapin en feutrine et de nos chaussettes de Noël !). Nous partons donc de zéro pour décorer l’appartement pour les fêtes de fin d’année, et plutôt que d’acheter des décorations toutes prêtes, j’ai décidé de mettre les enfants à contribution ! Notre première mission a donc été de décorer les murs avec de jolies assiettes de Noël !
Le matériel nécessaire
- des assiettes en carton
- du fil chenille vert
- des pompons
- de la colle
La réalisation
J’ai préalablement tracé un triangle au crayon à papier dans le centre de l’assiette. Ce triangle sert de modèle pour que l’enfant sache où placer le sapin qui va décorer l’assiette. Ensuite, j’ai coupé des fils chenilles de différentes longueurs de manière à ce qu’ils forment un pyramide lorsqu’on les dispose en ordre de grandeur.
J’ai alors demandé aux enfants de classer les fils chenille par ordre de grandeur. Colombe (4 ans 1/2) a accompli cette tâche seule et Petit O’ (3 ans) a été aidé de Papa À Dada !
Classer les morceaux de fil chenille par taille n’a pas été facile, mais cela nous a permis de revoir les ordres de grandeur et le classement en ordre croissant et décroissant. Une fois les morceaux en place, les enfants les ont collés sur l’assiette.
Enfin, ils ont décoré leur sapin avec de petits pompons qu’ils ont collés comme ils voulaient.
On voit clairement la différence entre les deux sapins : celui du dessous a été fait par Colombe (4 ans 1/2) en toute autonomie, et alors que celui du dessus a été fait par Petit O’ (3 ans) qui a reçu l’aide de Papa À Dada ! (grand perfectionniste !).
Finalement, quelques morceaux de scotch et nos assiettes étaient en place pour égayer notre salle à manger !
Alors, ça vous plaît ? Vous avez hâte que je vous montre le reste de nos décos faites maison ? Et chez vous, les décos sont achetées ou ce sont plutôt les enfants qui les font ?
Notre sapin minimaliste
Chaque année, je prends plaisir à décorer le sapin. Entre décoration traditionnelle il y 3 ans et des décorations fabriquées par les enfants ces deux dernières années (ici, ici et ici), j’aime inventer une nouvelle ambiance à chaque fois. Mais cette année est un peu particulière. Nous avons déménagé il y a six mois, et comme je vous l’expliquait dans cet article, nous avons dû faire un tri drastique dans nos affaires. Le sapin artificiel ne faisait pas partie de nos indispensables à notre nouvelle vie, et pour des questions d’impact écologique, je n’ai pas vraiment envie d’en racheter un. Quant à la possibilité d’un sapin naturel, vivant au milieu du désert, je ne l’envisage même pas ! (mais j’aurais pu décorer un palmier à la place !) Ayant maintenant un mode de vie très épuré, j’ai décidé cet année que notre sapin serait minimaliste !
Pour cela j’ai simplement acheté une guirlande lumineuse que j’ai accrochée au mur en dessinant les branches d’un sapin. Pour que ce sapin soit plus chaleureux, j’ai choisi une guirlande aux couleurs de Noël. Et pour qu’il soit joli même lorsque la guirlande est éteinte, j’ai demandé à mon petit assistant d’accrocher de petit carreau de scotch d’électricien vert, bleu et rouge entre les branche du sapin !
Ce sapin me ravit depuis que je l’ai posé ! Les enfants ne risquent pas de le faire tomber, et il ne mettra pas d’épines sur mon tapis ! Il ne prend pas de place, je n’ai donc rien eu à déplacer dans mon salon, et si dans quelques mois, je dois refaire mes valises, je pourrai même l’emporter avec moi !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Chez vous la déco du sapin est traditionnelle, tendance ou plutôt faites par les enfants ? Vous changez chaque année ? Dites moi tout en commentaire ça me fait toujours plaisir de vous lire !