Tests
Concept – 1,2,3, jouez
Parce qu’il n’y a pas que les enfants qui ont le droit de jouer, mon amie Maman & Pipelette nous invite chaque mois à vous faire découvrir un jeu de société. Ce mois-ci j’ai choisi un jeu qui a déjà connu un grand succès et qui a d’ailleurs gagné l’As d’or au Festival International des jeux de Cannes en 2014 ! Ceux qui le connaissent auront bien sûr reconnu l’excellent Concept !
Le matériel
- 1 plateau d’icônes universelles
- 5 séries de pions (une séries verte composée d’un pion vert “concept principal” et de 10cubes de même couleur et de 4 séries (bleu, rouge, jaune, noir) composées d’un pion “sous-concept” et de 8 cubes pour chaque couleur)
- 110 cartes Concept avec chacune 9 concept sur 3 difficultés différentes.
- des jetons points (simple et double)
- 4 aides de jeu
- 1 bol de rangement
Le but du jeu
Le jeu est incroyablement simple : on tire une carte Concept et on choisit un concept à faire deviner aux autres joueurs. Pour le faire deviner, pas besoin de parler : on utilise les pions “concept principal” et “sous-concept” que l’on pose sur les icônes présentées sur le plateau, et on affine en posant des petits cubes. Pour mieux comprendre, voici un exemple en image !
La règle du jeu est assez libre car le but de Concept est de s’amuser. On peut choisir de ne pas prononcer un mot, ou d’acquiescer quand les joueurs sont sur la bonne voie, ou même de donner quelques indices. Le joueur qui a deviné gagne un point double, et le joueur qui a fait deviner un point simple. La partie se termine lorsque 12 jetons point double ont été gagnés, et le joueur qui a le plus de points a gagné. Mais ici nous ne distribuons pas les points pour 2 raisons. D’abord parce qu’on trouve que les parties sont trop courtes quand on les distribue ! Et oui, chez les À Dada ! quand on sort Concept c’est pour y jouer pendant des heures ! La deuxième raison réside dans le fait que nous y jouons un peu en coopération : les joueurs qui doivent deviner finissent toujours par s’échanger des idées, faire le point ensemble… On félicite toujours le joueur qui a trouvé la réponse, mais généralement sa réponse est le fruit d’un raisonnement commun.
Comme je le disais, Concept est un jeu auquel nous jouons beaucoup. Nous adorons les jeux de société et spécialement les jeux qui demandent une réflexion, et c’est le cas de Concept. C’est aussi un jeu qui va au-delà des langues. Nous avons eu l’occasion d’y jouer avec une amie qui ne parle pas beaucoup le français : munie de son petit traducteur pour d’éventuelles vérifications, elle a joué avec nous et a deviné et fait deviner sans problème !
Et si on jouait à Concept avec les enfants ?
Colombe (3 ans 1/2) nous voit souvent jouer à Concept et elle est très attirée par ce plateau de jeu aux jolis dessins colorés. Elle nous voit poser nos petits pions et nos cubes et le jeu lui paraît simple. Alors elle veut prendre part au jeu et parfois elle s’installe avec nous et nous débite une liste de mots pris au hasard en espérant donner la bonne réponse. Le jeu est conseillé à partir de 10 ans, et je pense que cette limite est réaliste. Lorsque Colombe donne ses réponses, nous la félicitons toujours, mais elle n’arrive pas à lier les images ensemble, alors ce qu’elle nous dit est généralement bien loin du concept à trouver !
Mais comme elle a très envie de jouer, je lui ai inventé 2 règles de jeu accessibles pour son âge.
La première est simple : je lui demande juste de me montrer où se trouve telle ou telle chose. Le plateau de jeu montre un panel de concept très large, alors on révise aussi bien le vocabulaire des couleurs, des transports, du corps, de la météo, des formes… On peut demander à l’enfant de trouver une icône en particulier (sur la photo j’ai demandé à Colombe de trouver la nuit) ou alors de trouver un détail (j’aurais pu lui demander de trouver une étoile, Colombe m’aurait montré la même image, mais également l’image “étoile” dans la section “formes”).
La deuxième est un peu plus compliquée : je lui demande de me désigner tous les mots qu’elles voient et qui appartiennent à un champ lexical donné. Par exemple sur la photo, je lui demandais de me montrer les parties du corps. Elle s’est bien évidemment dirigée vers la section “corps” du plateau, mais elle pouvait aussi désigner les parties du corps des personnages représentés sur les premières icônes du plateau !
De tous les jeux de société, Concept est celui auquel je joue le plus ! L’idée est simple, mais très efficace. Le jeu garantit un bon moment, des fous rires, et aussi quelques tortures cérébrales ! Et attention, plus le concept à faire deviner vous paraît simple, plus il est trompeur ! Notre record ? 45 minutes pour faire deviner “seau” !
Concept, un jeu d’Alain Rivollet et Gaëtan Beaujannot
4 à 12 joueurs (mais quand on ne compte pas les points on peut aussi y jouer à 2 ou 3)
à partir de 10 ans
Durée : 40 minutes (enfin quand on n’essaye pas de faire deviner “seau”)
Prix : 30 €
Je vous conseille d’aller faire un tour sur la page Facebook du jeu qui propose un concept à deviner chaque jeudi !
Les autres participations au rendez-vous 1,2,3, jouez :
- Maman & Pipelette nous fait découvrir Se repérer dans le temps grâce au jeu Les Maternelles
- L’esprit vient en jouant nous fait découvrir Les héros de Kaskaria – aventure tactique et fantastique chez Haba
- Mamans mais pas que, nous fait découvrir Les trésors d’ariel
La sorcière des écrans – Chut les enfants lisent
C’est d’un livre un peu particulier dont je vais vous parler aujourd’hui puisqu’il aborde un sujet de société qui, il me semble, n’est pas beaucoup traité dans les livres destinés aux enfants. Le livre s’intitule La sorcière des écrans. Il s’agit d’un livre-CD des éditions VOolume qui met les enfants en garde contre les dangers des écrans.
L’histoire
La sorcière des écrans est un conte dans un conte, puisque l’histoire commence chez Théo, un petit garçon qui ne voudrait faire que jouer aux jeux vidéo, et sa maman lui raconte l’histoire du prince Léo qui se laissait emprisonner par les écrans. Le conte que la maman raconte est une version revisitée de La belle au bois dormant. À sa naissance, les fées se sont penchées sur le berceau de Léo pour lui transmettre des dons, mais la sorcière des écrans, nouvellement apparue dans le royaume, n’a pas été invitée. Elle va alors se pencher sur le berceau de Léo et lui prédire un avenir sombre, enfermé dans un monde virtuel. La suite du conte est très noire, et lorsque la maman finit de raconter son histoire, Théo est bien décidé à limiter son temps passé sur ses jeux vidéo.
Malheureusement, j’ai trouvé que le titre de ce livre ne tient pas ses promesses. Alors qu’on nous annonce une sorcière des écrans, la sorcière du livre ne parle que de jeux vidéo. Les allusions sont claires et on reconnaît de nombreux jeux vidéos célèbres, même s’ils ne sont pas cités. Ce point me déçoit particulièrement car il se trouve que de tous les écrans, les jeux vidéo ne sont pas ceux qui me font le plus peur pour mes enfants. Alors que devant la télévision les enfants sont complètement passifs et semblent comme hypnotisés, les jeux vidéo les forcent à interagir et donc à être actifs.
Mais le livre véhicule tout de même des valeurs qui me semblent importantes, et celle du travail en est une essentielle dans l’histoire. En effet, lorsque les fées se penchent sur le berceau du petit prince, chacune lui prédit de belles choses en lui rappelant toujours qu’elles n’arriveront que s’il s’en donne la peine. Le livre rappelle aux enfants qu’il n’y a pas de don sans travail et que les choses ne se font pas toutes seules !
Les illustrations
C’est clairement le point fort de La sorcière des écrans ! Les illustrations de Laura Giraud sont vraiment très belles. Elles font passer beaucoup d’émotions et savent nous transporter dans l’histoire du petit prince Léo. Le lecteur vit aussi bien les moments les plus joyeux que les heures sombres du garçon. Certains dessins sont même impressionnants pour les enfants : les représentations de Léo et de sa maman à la fin de l’histoire par exemple. Le dessin a saisi toute la fatigue et la vieillesse des personnages.
Le CD audio
Sur le CD on peut écouter l’histoire racontée par l’auteur elle-même, sur fond de musique. La narration est douce, Pauline Pucciano prend différentes voix pour rendre l’histoire vivante. Les musiques de Philippe Guerrieri sont agréables à écouter et ponctuent bien l’histoire. Les paroles complètent et renforcent le morale de l’histoire qui est de ne pas laisser passer sa vie, mais de la vivre activement. J’aurais tout de même préféré que la dernière chanson (qui insiste sur ce thème) soit un peu plus entraînante…
En conclusion
La sorcière des écrans est un bon livre qui véhicule une morale que j’apprécie. Je regrette tout de même qu’elle diabolise tant les jeux vidéo et ne fasse pas mention des autres écrans (tablettes, téléphones portables (et réseaux sociaux !), télévisions) qui occupent tant les enfants quand ils grandissent ! En tant que parent connecté, issu d’une génération biberonnée aux jeux vidéo et aux dessins animés (et ayant tout de même réussi à vivre sa vie, faire des études et trouver un travail…), je ne veux pas que mes enfants diabolisent les écrans. Ils feront partie de leur vie plus encore qu’ils ne font partie de la nôtre, alors je veux leur apprendre à les utiliser correctement et à ne pas se laisser happer. La sorcière des écrans est un bon support car même si je lui ai trouvé quelques défauts, il valorise le travail, l’effort personnel, et fait comprendre qu’il faut se donner des limites à l’utilisation des écrans. C’est donc un bon livre, à lire avec son enfant !
Pauline Pucciano, Laura Giraud, Philippe Guerrieri, La sorcière des écrans, ed. VOolume
à partir de 7 ans (accompagner l’enfant pour les premières lectures)
prix : 15 €
Même si j’ai émis des critiques, je tiens à préciser que j’ai aimé ce livre ! Je remercie les éditions VOolume de me l’avoir envoyé !
Cet article est ma participation à Chut les enfants lisent, le rendez-vous du blog Devine qui vient bloguer ?
Découverte de Kidiliz, site vêtements pour enfants
J’ai récemment eu l’occasion de découvrir Kidiliz, un site internet de vêtements pour bébés et enfants (de 0 à 16 ans). Cette boutique en ligne propose des vêtements de grandes marques et j’ai craqué pour une petite robe en jean Levis pour Colombe et un ensemble automnale de la nouvelle collection Catimini pour Petit O’. Mais avant de vous les montrer, laissez-moi vous présenter Kidiliz !
Kidiliz, qu’est-ce que c’est ?
Kidiliz est donc une boutique en ligne qui propose des vêtements pour bébés et enfants de grandes marques : Levi’s Kids, Catimini, mais aussi Gaultier Junior, IKKS, Kenzo Kids, Absorba et d’autres encore ! Avec des noms pareils autant vous dire qu’il n’y a aucun soucis à se faire quant à la qualité des vêtements vendus sur le site. Toutes ces marques sont de grands noms réputés pour leur solidité ! De ce côté-là, j’ai donc commandé les yeux fermés, je savais que je n’allais pas être déçue ! Ce sont aussi des marques dans l’air du temps alors côté look, il y a de quoi se faire plaisir !
Côté prix, c’est tout à fait raisonnable quand on prend en compte les marques et la qualité vendue sur le site. Et pour se faire plaisir sans se ruiner, Kidiliz a une rubrique “Prix ronds” où l’on trouve des articles très sympas avec de belles réductions !
Le site propose aussi le coffret “My first dressing” : une box à offrir en cadeau de naissance ou pour un bébé, contenant un catalogue et un bon d’achat (4 valeurs différentes). Ainsi, les parents se font plaisir et choisissent eux-mêmes les vêtements qui leur plaisent parmi de grandes marques !
Nos petits look chez Kidiliz
Le plus dur finalement a été de se décider, car il y a vraiment beaucoup de beaux vêtements sur le site Kidiliz. Les marques présentent des vêtements chics et colorés, tout ce que j’aime ! Pour Petit O’, j’ai choisi un ensemble de la marque Catimini qui sera idéal pour cet automne quand les températures baisseront un peu ! Avec ses manches longues, il sera bien au chaud, et le pantalon est hyper confortable et le laisse libre dans ses mouvements (d’ailleurs cela se confirme dans les photos, pas moyen de le faire tenir en place) ! Et j’ai craqué pour ces dessins ce petits renards et de hérisson !
Pour Colombe j’ai choisi une robe en jean indémodable de la marque Levi’s Kids. J’adore le jean en ce moment et j’en achète pour toute la famille alors je me suis dit que cette robe serait parfaite. Elle est légère donc Colombe peut la porter dès maintenant, et quand il fera plus froid : un sous-pull, un collant et le tour sera joué ! Colombe était ravie de sa nouvelle robe et tellement heureuse de faire des photos avec qu’elle a même improvisé une petite danse !
On peut choisir une livraison à domicile ou en point relais. Pour les deux, les délais sont très rapides. Une fois ma commande passée, j’ai reçu un mail de confirmation très vite. Puis dans la foulée je recevais un mail m’indiquant que ma commande avait été préparée et qu’elle était prête à partir ! En seulement quelques jours j’ai reçu mon paquet bien emballé et avec un bon de retour au cas où (mais je n’en ai pas eu besoin puisque tout était exactement comme je l’espérai !). Bref, un bon service !
Je suis vraiment contente de mon choix car je ne peux que constater la qualité des vêtements que j’ai choisi. Quant aux enfants, ils sont vraiment à l’aise dedans et à leur âge c’est ce qui compte le plus ! Alors je vous laisse découvrir Kidiliz et vous laisse sur ces deux jolis photos de la complicité grandissante entre ma Colombe et mon Petit O’ !
produits offerts
Pomme d’Api, nouvelle formule
Colombe a fait sa première rentrée à l’école la semaine dernière. Elle en rêvait depuis des mois et était bien préparée, alors je ne me suis pas fait de soucis pour elle. Mais j’avais tout de même envie de marquer l’événement en lui offrant un petit cadeau. Quand j’ai vu la petite école en papier offerte dans le magazine Pomme d’Api de ce mois-ci, je me suis dit que c’était le cadeau idéal : un magazine de qualité avec des histoires qui plaisent toujours à ma fille (et même parfois à son petit frère !), et un jouet tout en simplicité et aux couleurs très douces. Cet achat a été l’occasion pour nous de découvrir la nouvelle formule du magazine qui, je dois le dire, m’a vraiment séduite !
À l’occasion de ses 50 ans cette année, Pomme d’Api a adopté une nouvelle formule : le magazine fait appel aux 5 sens de nos petits, il propose de nouvelles rubriques et invitent les enfants à être actifs dans leur lecture. Enfin, soucieux de répondre aux exigences des parents de notre époque, Pomme d’Api leur consacre une partie pour les aider à accompagner leur enfant. Mais laisser moi vous faire la présentation en image !
La couverture colorée présente toujours les héros préférés de nos enfants : ce mois-ci, pour le plus grand plaisir de ma Colombe et de mon Petit O’ qui l’adorent, c’est Petit Ours Brun qui nous invite à ouvrir le magazine ! Et le thème est donné : on va bien entendu parler de la rentrée ! C’est une des choses que j’ai appréciée : le numéro est consacré à un thème et les différentes histoires abordent ce thème de près ou de loin. C’est agréable de pouvoir faire un lien entre les différentes histoires qu’on lit. Dans le cas d’un sujet comme la rentrée des classes, surtout quand c’est la première comme c’est le cas pour ma Colombe, c’est bon de pouvoir aborder le sujet sur plusieurs support et avec plusieurs approches !
Le magazine accorde une part importante à la stimulation visuelle. Par de jolis dessins bien sûr, mais aussi par des photos ! Quand on ouvre Pomme d’Api, on tombe nez à nez avec ses deux petits pirates prêt à l’abordage. Et ce petit bout qui pleure illustre la question “Pourquoi les larmes coulent quand on pleure ?”. Le petit lecteur s’identifie aux enfants qu’il voit en photo et a très envie de découvrir le texte qui l’accompagne !
Les autres sens de l’enfant sont aussi sollicités :
- l’ouïe avec des textes choisis pour leur ton et leur sonorité
- le goût et l’odorat à travers des recettes de cuisines
- le toucher par les activités manuelles proposées
Le magazine conserve ses grands classiques (la grande histoire, Petit Ours Brun, Adélidélo, les petits philos (que Colombe adore !!! c’est toujours l’occasion pour nous de nous questionner sur le monde) ou encore La Famille Noé), et il s’enrichit de nouvelles rubriques :
- Ta langue au chat : des devinettes, des jeux de mots ou de lettres, le tout avec une approche visuelle importante
- Patouille et Gribouille : plusieurs page d’activités à faire seul ou avec papa et maman
- Ouvre grand les yeux : un jeu d’observation à la manière du “cherche et trouve” (ici on adore !!! Et je me suis rendue compte que Colombe était devenue super forte !)
- Dis pomme d’Api : les enfants ont tant de “pourquoi” et de “comment” que Pomme d’Api propose d’y répondre dans chaque numéro
- La petite page pour toi : Le lecteur est invité à passer à l’action : faire un bisou, une caresse, dire “chut”… une page pour se détendre.
Au centre du magazine se trouve un fascicule détachable pour les parents. Il répond aux questions que les parents se posent et invite une lecture avec l’enfant. Dans ce numéro, c’est le vocabulaire autour de l’école qui est abordé. Si certains termes sont bien connus des parents (maîtresse, classe, récréation…), d’autres le sont moins (motricité, NAP…). Le fascicule se termine par une sélection de livre, films ou CD sur le thème du mois. Une bonne idée pour aller plus loin avec son enfant !
Et enfin LA surprise !!!
Car dans chaque numéro, Pomme d’Api offrira des surprises à ses lecteurs. Ce mois-ci il s’agit d’une petite école en papier à découper et monter soit même (je vous rassure il faut juste une paire de ciseaux et c’est un jeu d’enfant à construire !). Ces derniers jours, cette petite école nous a été très utile ! J’ai d’abord laissé Colombe jouer seule avec, je l’ai observée et j’ai appris beaucoup sur la journée qu’elle venait de passer. Il est parfois difficile pour les enfants de nous raconter leur journée, et parfois ils n’en ont simplement pas envie. Mais quand ils jouent, ils reproduisent souvent des situations qu’ils ont vécues. Il suffit alors de jouer les petites souris et d’observer le jeu discrètement. Cette petite école m’a aussi permis de rassurer Colombe : l’organisation de la rentrée a connu quelques imprévus et elle a parfois manqué de repères. En jouant avec elle, j’ai insisté sur certaines situations et certains repère qu’elle retrouverai à chaque fois.
Les surprises que réserve le magazine sont toujours simples et intelligente. Cela peut être un jouer en papier, comme cette école, ou des histoires supplémentaires (numéro d’octobre), un cahier à l’usage des parents pour savoir comment parler de la mort avec les enfants (novembre), ou encore, le traditionnel numéro de fête (décembre, j’en avais parlé l’an dernier) avec un calendrier de l’avent et 24 histoires à lire en attendant Noël ! Je ne sais pas vous, mais ce programme me fait bien envie !
Votre Pomme d’Api de rentrée est disponible chez votre marchand de journaux pour 5,95€. C’est un outil idéal pour accompagner son enfant dans sa découverte de l’école, ou tout simplement l’aider à se reprendre ses habitudes s’il était déjà scolarisé avant. Ici en tous cas, il nous a été d’une grande utilité !
Cet article est ma participation à “Chut les enfants lisent”, le rendez-vous du blog Devine qui vient bloguer ?
Le choix du cartable de maternelle
La rentrée des classes approche ! Il y a d’un côté les mamans qui s’en réjouissent et qui se disent qu’elles vont enfin pouvoir souffler un peu, et de l’autre il y a les nostalgiques qui aimeraient profiter encore des longues journées passées avec leurs enfants ! Qu’importe de quel côté on se place, il y a un impératif auquel on ne peut pas couper : l’achat des fournitures scolaires ! En maternelle, il n’y a pas grand chose à prévoir mais il faut tout de même penser à l’indispensable cartable ! Alors voilà comment j’ai effectué ma sélection !
Mes critères de sélection
Un cartable de qualité
Je n’ai pas l’intention d’acheter un cartable tous les ans, alors je voulais en choisir un de qualité. Mais j’ai été confrontée à un obstacle : tous les cartables de maternelle que je trouvais étaient soient des sacs très peu cher mais de qualité douteuse (et je ne parle même pas des conditions de production…), soient des sacs très résistants mais aussi trop gros et très chers ! Un cartable de maternelle n’a pas besoin d’être très gros puisque son porteur est tout petit, et il n’a pas besoin de renforts puisqu’il ne contiendra au plus qu’un change, un doudou et éventuellement une tétine.
Un prix raisonnable
J’ai tout de même trouvé quelques cartables qui correspondaient à mon premier critère dans des boutiques spécialisées, mais ils étaient à des prix vraiment trop élevés. Même si je ne veux acheter qu’un seul cartable pour la maternelle et que par conséquent il sera utilisé pendant 3 ans, je trouve que 80€ est un prix trop élevé (oui, j’ai sérieusement vu des cartables de maternelle à ce prix). J’avais décidé de mettre entre 30 et 50€ (grand maximum, en cas de très gros coup de cœur) mais je n’ai rien trouvé dans cette fourchette de prix. Ou plutôt, si , il y avait un cartable qui correspondait à tous mes critères, mais ni ma fille ni moi ne le trouvions particulièrement joli.
Un cartable neutre
Je vous l’ai dit, j’ai acheté le cartable de ma fille pour qu’elle le garde toute la maternelle. J’ai donc voulu un cartable sans licence. Ma fille a des sacs Reine des Neiges, Hello Kitty et autres, mais je réserve leur usage aux loisirs. Les modes passent, ma fille se lassera un jour de tout ça (oui, oui ! Même de la Reine des Neiges !) alors je voulais son cartable le plus neutre possible pour qu’elle ne puisse pas me dire un jour : “C’est nul, c’est pour les bébés ça !”.
Pas de prénom inscrit dessus
Je vois beaucoup d’enfants avec un cartable sur lequel est inscrit leur prénom. Sur le principe je trouve cela adorable et c’est une belle manière de personnaliser ses affaires. Mais dans les faits je ne peux m’empêcher de penser qu’une personne malveillante peut appeler l’enfant et gagner sa confiance juste parce qu’elle aura vu son prénom sur son sac. On peut toujours répéter à nos enfants de ne pas parler à un inconnu, mais dans leur tête une personne qui connaît leur prénom n’est peut-être pas un inconnu. Quant à surveiller nos enfants, c’est vrai. Mais ce genre de drames peuvent se produire en une seconde : il suffit que le bébé pleure, que le petit frère tombe. On détourne son attention quelques secondes et son enfant a disparu ! Alors je ne tente pas le diable. (ceci n’est qu’une opinion personnelle et je respecte totalement ceux qui choisissent un sac avec le prénom de leur enfant. Je voulais juste exposer mon point de vue)
Et ce cartable alors ?
C’est en discutant avec mon amie Queen Mama qu’elle m’a conseillée de faire un tour sur le site Edisac qui propose des sacs de grandes marques et de qualité à des prix raisonnables. Et c’est là que j’ai trouvé mon bonheur ! Un joli petit cartable rose et violet de la marque Kickers à 30 €. Je n’ai jamais été déçue par la qualité des chaussures et des sacs de la marque Kickers, alors j’étais en confiance de ce point de vue. Encore une fois, cette marque tient ses promesses puisque le cartable semble résistant. Il est fait proprement et pas une couture ne dépasse. Il se ferme à l’aide d’aimant, ce qui est bien plus simple que des boutons ou des pressions pour un petit enfant. On peut le porté par la poignée ou le mettre sur ses épaules, et sur le dos (à l’abri des regards malveillant) on peut insérer une petite étiquette avec le nom de l’enfant.
Ce cartable réunit tous mes critères et il plaît énormément à ma fille qui ne désire plus qu’une seule chose : l’emporter à l’école ! Il va falloir attendre encore quelques jours !
Motamotez – 123 jouez
Place au jeu aujourd’hui ! Et comme il n’y a pas que les enfants qui ont le droit de s’amuser, à l’occasion du rendez-vous 123 Jouez de mon amie Maman & Pipelette, je vais vous parler d’un jeu de société plutôt pour adultes : Motamotez des éditions Cat’s Family. Voilà encore un jeu que nous avons découvert au Festival des Jeux de Cannes cette année, mais nous n’avions pas eu l’occasion d’y jouer avant cet été.
Un jeu sur la francophonie
Grands amateurs de jeux et amoureux de la langue française, mon mari et moi avons tout de suite été interpellés par cette boîte sur laquelle figure en bonne place le logo de l’Organisation Internationale de la Francophonie. Le monde de la francophonie est très vaste : il s’agit autant des parlers régionaux que des différentes langues françaises utilisées dans le monde. Motamotez est composé de cartes qui présentent des expressions dont il faut trouver le sens dans le français qu’on utilise (pour mon mari et moi ça sera en français de France !). Et quand il parle de francophonie, ce jeu ne ment pas car il faudra deviner autant d’expression d’Afrique, du Québec ou de nos régions françaises !
Le jeu
Motamotez est composé de deux types de cartes :
- Les cartes mot-expression : présentent une expression en indiquant sa provenance. Le maître du jeu lit l’expression et les joueurs essayent de découvrir sa signification. Si les joueurs ne trouvent pas, le maître du jeu peut leur divulguer 2 indices.
- Les cartes quiz : le maître du jeu lit le mot à trouver ainsi que sa provenance, puis il énonce 4 réponses possibles. Les joueurs votent alors pour la réponse qu’ils pensent être juste en posant une carte indiquant A, B, C, ou D devant eux.
Le maître du jeu change régulièrement au cours de la partie.
La boîte indique que l’on peut jouer à partir de 8 ans. Très sincèrement je pense que très peu d’enfants de cet âge seraient capables d’y jouer car il faut une bonne maîtrise de la langue française. Je l’indiquerai plutôt à partir de 15 ans, voire 12 ans pour des enfants très cultivés.
Attention, jeu addictif
Le principe du jeu est vraiment très simple, ce qui permet d’intégrer la règle rapidement et de découvrir de nombreuses cartes. Et chaque carte découverte est l’occasion d’apprendre une expression de plus ! Saviez-vous que les enfants bretons allaient à l’école avec une vache* ? Et nos amis Suisses parviennent à être déçu en bien** ! Les Québécois eux, mangent des chiens chauds*** ! Quant à la signification de l’expression “motamoter” qui nous vient du Cameroun, vous l’aurez sans doute deviné, il s’agit de “répéter mot à mot”.
On se prend vite au jeu et l’on veut toujours découvrir de nouvelles expressions car elles sont souvent drôles, très imagées et remettent notre langue dans une autre perspective. Mais comme je l’ai dit, c’est un jeu très addictif ! Nous avons eu l’occasion d’en faire quelques parties avec des amis cet été, et à chaque fois, nous poursuivions le jeu en essayant d’employer les expressions apprises autant que nous le pouvions dans notre quotidien !
Je vous conseille d’aller faire un tour chez les éditions Cat’s Family dont je vous reparlerai certainement pour vous présenter des jeux pour enfants cette fois. Vous pourrez vous procurer tous leur jeux (et donc Motamotez) sur leur site internet.
Motamotez, jeu d’Yves Hirschfeld, Romain Eyheramendy et Salah Ben Meftah aux éditions Cat’s Family et en partenariat avec l’Organisation Internationale de la Francophonie
à partir de 8 ans (d’après la boîte, mais je dirai plutôt 12 ou 15 ans)
3 à 10 joueurs
Partie : 30 minutes
Prix : 15€ (hors frais de port)
Si comme moi vous aimez la langue française, alors n’hésitez pas et offrez-vous ce jeu, mais rappelez-vous qu’après une partie vous risquez de parler plusieurs français à la fois !
Je profite de cet article pour faire un petit coucou à mes lecteurs de toute la Francophonie ! Ce blog m’a permis de faire déjà de belles rencontres en Suisse, en Belgique et au Québec ! Merci à vous pour votre fidélité et vos messages !
*un cartable
**agréablement surpris
***de hot dog et sur ce point j’avoue qu’heureusement que les québécois sont là pour défendre le Français des trop nombreux anglicismes !
Quelle Histoire Magazine
Vous vous souvenez des petits livres de la collection Quelle Histoire ? Et des Petits Explorateurs, les guides touristiques pour enfants ? J’ai adoré ces deux collections, alors quand j’ai su que les éditions Quelle Histoire lançaient Quelle Histoire Magazine, je suis allée l’acheter tout de suite ! Le n° 1 m’a complètement séduite, mais je n’avais pas eu le temps de vous en parler. Le n° 2 étant encore dans les kiosques, c’est celui que je vais vous présenter. Et pour cette présentation, je serai accompagnée d’Erik Le Rouge, le guerrier viking sans peur !
Quelle Histoire Magazine
Chaque numéro commence par un dossier de plusieurs page sur un sujet donné. Pour le premier numéro c’était la Démocratie, pour le deuxième, c’est la préhistoire (et le troisième numéro abordera le temps des chevaliers, avis aux amateurs !). Chaque dossier est composé de définition de termes, d’explication de concept ou d’action autour du thème (ici, une explication sur l’archéologie et sur l’Afrique en tant que berceau de l’humanité). À chaque fois, il s’agit de textes courts et très clairs : les enfants peuvent choisir de lire un seul paragraphe, une ou plusieurs pages en fonction de leur âge et de leur capacité. Ainsi les plus jeunes ne se découragent pas ! Il y a aussi toujours des petits jeux (cherche et trouve) et même une histoire à écouter en allant sur le site de Quelle Histoire ou en scannant un QR code !
Le chapitre suivant est consacré aux inventions ! Ici on nous présente Marie Curie par une biographie, une bande dessinée et un petit jeu.
Puis vient le chapitre des Petits Explorateurs, et Jeux Olympiques obligent il s’agit d’une présentation de Rio ! La carte présente la ville et les infrastructures pour la compétition, puis, suivent quelques paragraphes autour des JO de manière général, sur la candidature de Paris pour 2024.
Le dossier civilisation parle des Vikings et Erik Le Rouge en est super fier ! Erik nous présente son quotidien, sa manière de s’habiller, et même les prénoms que peuvent porter ses amis ! Le dossier est vraiment très complet et abordable pour les enfants grâce aux jolis dessins (comme toujours dans les éditions Quelle Histoire) et comme à chaque fois, il est ponctué de jeux et de bande dessinées.
Erik nous montre alors les portraits du mois, les dernières parutions des éditions Quelle Histoire. Et j’avoue que l’histoire de Dali me tente beaucoup !
Enfin vient la partie que j’ai préférée : l’interview d’un personnage célèbre ! Les enfants envoient les questions qu’ils veulent poser au personnage interviewé le mois suivant, et ils retrouvent les réponses dans le magazine. Comme ce sont des questions d’enfants, elles sont souvent très originale et pleine de légèreté !
Enfin, le magazine se termine par des sujets d’actualité liés à l’histoire, des petits jeux et un lexique reprenant les termes important dans le numéro. Puis, le clou du spectacle, les Paper Toys à fabriquer ! Erik Le Rouge était à découper directement dans le magazine, mais d’autres paper toys sont disponibles sur le site !
Mon avis
Mes enfants sont trop petits pour lire Quelle Histoire Magazine, alors je l’ai acheté pour mon propre plaisir. Mais j’ai tout de même regardé quelques parties avec Colombe (3 ans 1/2). Nous avions déjà parlé de l’Égypte dans le cadre du rendez-vous “voyageons ludique”, le premier numéro du magazine l’a donc beaucoup intéressée car elle revoyait des choses qu’elle connaissait. De mon côté, je l’ai trouvé vraiment très intéressant : oui, j’ai un Master 2 en Histoire et je lis des magazines pour les 7-10 ans, mais c’est la preuve de la qualité de ce magazine, non ? Je le recommande donc car il me semble être une base ludique pour aborder l’histoire. Il est idéal pour les enfants d’école primaire, mais je suis persuadée que certains enfants de maternelle un peu curieux pourraient l’aborder sans difficulté (au moins en partie).
Pierre n’a plus peur du noir
Vous êtes vous déjà demandé pourquoi le noir faisait si peur ? Pourquoi le noir a-t-il parfois des reflets bleus ? Et est-ce que le noir est une vraie couleur comme le rouge ou le jaune ? Ce sont les questions que pose ce magnifique livre de Michel Pastoureau intitulé Pierre n’a plus peur du noir.
Pierre n’a plus peur du noir
Le livre commence dans la chambre de Pierre au moment du coucher. Même si maman a laissé la porte ouverte, le petit garçon a très peur du noir ! Pierre se pose alors de nombreuses questions : pourquoi le noir fait-il si peur ? Fait-il peur à tout le monde d’ailleurs ? Entre la maison, l’école et le musée, au contact de son papa, sa maman ou son grand-père, Pierre soulève de nombreuses questions autour de la couleur noir qui l’impressionne tant !
Colombe (3 ans 1/2) n’est jamais très rassurée lorsqu’on commence à lire ce livre qui parle de loup et de Barbe Bleue. Mais le noir laisse progressivement place à la couleur, et alors Colombe ne veut plus perdre une miette de l’histoire ! Pour ma part j’ai trouvé la manière d’aborder le sujet vraiment très intéressantes : les questions posées pourraient être celles d’un petit garçon, mais les réponses apportent une réelle ouverture culturelle et incitent à la réflexion. Le petit lecteur apprend qu’il peut voir bien plus que du noir dans cette couleur qui a inspiré beaucoup de grands artistes !
On sent largement le regard de l’expert à travers ce livre. Il faut dire que Michel Pastoureau, l’auteur de Pierre n’a plus peur du noir, est historien et spécialiste d’héraldique et de symboliques des couleurs.
Nos activités pour ne plus avoir peur du noir
Ce livre m’a donné envie de peindre et surtout de peindre en noir ! Cela peut paraître étrange, mais à travers Pierre n’a plus peur du noir on découvre que le noir peut révéler d’autres couleurs ! J’ai donc sorti une petite boîte de peinture à l’eau, des feuilles blanches, quelques pinceaux et j’ai proposé à Colombe de peindre !
J’ai demandé à Colombe de peindre toute sa feuille en noir, mais comme la tâche était un peu longue (et qu’elle ne voulait utiliser que le petit pinceau !), elle a fini par prendre d’autres couleurs et les comparer au noir. Pendant qu’elle faisait cela, je préparais 3 feuilles entièrement peintes en noir. Sur la première, nous avons placé de manière aléatoire différentes teintes de bleus et de violets, puis (à la demande de Colombe) nous avons ajouté du blanc. Sur la seconde nous avons tracé des lignes de couleurs (même de noir) afin de voir lesquels ressortaient le mieux. Enfin sur la dernière, Colombe a collé des étoiles fluorescentes afin que la nuit soit un peu moins noire !
Maintenant, nos tableaux sont accrochés près du lit de Colombe qui n’a plus peur du noir !
Merci aux éditions Privat pour l’envoi de ce livre magnifique !
Michel Pastoureau, Laurence Le Chau, Pierre n’a plus peur du noir, Éditions Privat, 2016
prix conseillé : 14,90€
Des mini Bilibo ? Qu’est-ce que c’est et à quoi ça sert ?
Si vous connaissez un peu la famille À Dada ! vous savez qu’entre le Bilibo et nous est née une véritable histoire d’amour. Je vous parlais de notre jouet fétiche dans mon article “Un Bilibo ? Qu’est-ce que c’est et à quoi ça sert ?“, et sur Instagram, je poste régulièrement des photos de nous jouant avec ! Alors non, je ne vais pas vous reparler de cette grosse carapace de tortue qui nous fait tourner la tête mais plutôt de ses petits frères et sœurs, les mini Bilibo ! Eh oui, les Bilibo existent en petit !
Des mini Bilibo, mais qu’est-ce que c’est ?
Bon, en général, les gens qui me posent cette question ne connaissent pas le Bilibo. Alors ma réponse est la même pour les deux jouets : ce sont des coques de plastique de couleur, formant une demi-sphère aux bords en forme de vagues et percée de 2 trous. Et pour compléter la définition on peut ajouter qu’il s’agit de jouets (mais si vous avez envie de dire que c’est une corbeille à fruit, personne ne vous en empêche, sauf que dans les mini Bilibo il faudra mettre des mini fruits !).
Une fois le concept expliqué, on m’interroge toujours sur l’intérêt de posséder les Bilibo dans des tailles différentes. Et surtout, puisqu’on ne peut pas s’asseoir dans les mini Bilibo et s’en servir de toupie, on me demande souvent à quoi ils peuvent bien servir !
Mais à quoi ça sert d’avoir des mini Bilibo ?
Comme pour le grand Bilibo, la réponse est : la seule limite à leur utilisation est l’imagination. Et comme l’imagination des enfants est débordante, les mini Bilibo servent à tout finalement ! Alors à la question : “À quoi ça sert d’avoir des mini Bilibo ?” je répondrai : ça sert à élargir le champs des possibles.
Mes petits testeurs habituels, Gros Nounours et Petit Ourson se sont prêtés au jeu, aidés de mes enfants, pour vous montrer quelques unes des possibilités de jeu des mini Bilibo !
Les mini Bilibo sont avant tout de superbes accessoires pour se déguiser. Leur panel de couleur en fera des chapeaux toujours en accord avec votre tenue, et vous permettra d’égayer vos pieds avec ces chaussures du plus bel effet !
Les petits s’inventent d’incroyables aventures avec leur mini Bilibo comme ici : Gros Nounours est venu me voir pour me montrer comme il faisait bien du ski !
On glisse ses doigts dans les trous et c’est parti pour la course d’escargots !
Petit Ourson et Gros Nounours adorent prendre leur goûter dans les mini Bilibo. Ils les retournent, les remplissent de bonbons colorés et grâce à ces jolies coupelles on obtient une table de fête ! Et quand on se promène ? Il suffit de glisser ses petits doigts dans le trous et on obtient une assiette nomade !
Les mini Bilibo développent la motricité fine et la capacité à reconnaître les couleurs. Placez-les les uns à côté des autres et organisez une grande chasse au trésor à la maison avec vos petits ! Le but est de remplir chaque mini Bilibo avec des objets qui correspondent à sa couleur !
Les mini Bilibo sont faits dans un plastique résistant (et recyclable !). On peut donc y jouer partout : à la plage, à la piscine, dans le jardin, dans la neige ou tout simplement tranquillement dans sa chambre !
À la plage, ils servent à creuser, transvaser, transporter le sable et l’eau et même a faire des Châteaux en forme de Bilibo !
Moluk Design
Les mini Bilibo font maintenant partie de nos jouets indispensables tout comme leur grand frère le Bilibo. Nous les avons adoptés il y a plusieurs mois déjà. En grandissant, les enfants ne s’en lassent pas car ils découvrent de nouveaux usages adaptés à leurs besoins et aux acquisitions du moment. En somme comme je vous le disais, la seule limite de ce jeu est l’imagination !
Les mini Bilibo sont vendus par 6, chacun de couleur différente : bleu, vert, jaune, orange, rouge et rose. Il existe deux coffrets différents : un coffret avec 6 mini Bilibo (dès la naissance), et un coffret avec 6 mini Bilibo et le jeu Pixel (dès 4 ans).
Les mini Bilibo sont créés par Moluk Design, une société suisse qui a imaginé une gamme de jeux originaux, au magnifique design épuré, qui sont compatibles entre eux, et qui font tous énormément appel à l’imagination des enfants ! Je vous invite vivement à aller découvrir cette société pour laquelle j’ai eu un véritable coup de cœur !
Croquijoux, le bijoux de maman pour occuper les petites mains de bébé
Il y a quelques semaines (bon ok, c’était il y a quelques mois !) j’ai eu la chance de découvrir les colliers Croquijoux, grâce à un concours organisé par le blog pétillant Les astuces de Bubus.
Les Croquijoux sont ce qu’on appelle des colliers de portage/allaitement, c’est à dire des colliers très solides et dans des matériaux ne présentant aucun danger si l’enfant met à la bouche (ni risque d’étouffement, ni composition bizarre). Quand le bébé est dans les bras ou en train de téter il peut jouer avec le collier.
Un soucis d’hygiène et de sécurité
Les colliers de portage sont souvent en bois ou en tissus, mais il est alors difficile de les laver. Le Croquijoux est en composé de perles en silicone, et il peut être lavé au lave-vaisselle ! Ç’en est donc fini du collier qui est tout joli quand on le sort de son emballage et qui devient tout cracra après quelques rencontres avec les mains de Bébé ! Une fois lavé, le Croquijoux est comme neuf (et c’est sans compter qu’après un coup de lave vaisselle, il n’est plus vecteur des méchants microbes qui aiment se loger dans les colliers en bois et tissus). Voilà pour le côté pratique et hygiénique !
Croquijoux est une marque très attentive à la sécurité puisque c’est cette motivation qui est à l’origine de ces bijoux. Chaque perle est isolé de ses voisines par un petit nœud. Ainsi, s’il arrivait quand même que le collier se casse, une seule perle tomberait et on n’aurait pas la crainte d’oublier de ramasser une perle que Bébé pourrait avaler. Le fermoir a été choisi spécialement pour s’ouvrir s’il subit une trop grand pression. Ainsi, si Bébé joue de manière trop brusque, il ne risque pas d’étrangler l’adulte qui le porte.
Tous les Croquijoux sont fabriqués en France. Leurs matériaux ont été soigneusement choisi pour respecter la santé du bébé qui le mâchouillera. Ainsi, non seulement les perles sont faites dans un silicone ne contenant aucun produit nocif, mais les couleurs ont également été testées une à une afin de s’assurer de leur innocuité. Mais ça, c’est Croquijoux qui en parle le mieux !
De jolis colliers pour Maman… et pour Papa !
Il ne faut cependant pas oublier que les Croquijoux sont avant tout des bijoux et qu’ils se doivent d’être jolis ! La marque propose plusieurs modèles : des sautoirs, des colliers plus courts. Tous sont déclinés dans une gamme de couleurs qui s’agrandit au fur et à mesure que la marque grandit ! Je suis ravie de mon sautoir qui se marie avec la plupart de mes tenues et que j’aime porter même lorsque je ne suis pas avec les enfants ! C’est un bijou original sur lequel on me complimente souvent ! Et lorsque j’explique le principe de ce collier, les gens sont souvent très étonnés !
Et le petit plus de Croquijoux que je n’ai vu chez aucune autre marque de collier de portage ? Il existe des modèles unisexe que les papas peuvent porter ! En effet, dans les familles où les enfants sont porté, il est bien rare que seule la maman revête l’écharpe de portage. Alors si Papa peut porter Bébé, pourquoi n’aurait-il pas droit lui aussi à un collier ? Croquijoux a décidé de respecter la parité en lançant un modèle noir à l’allure tribale qui va aussi bien à une femme qu’à un homme ! Cela vous intrigues ? Venez découvrir ce modèle ici !
Des colliers que les enfants adorent !
Les enfants adorent jouer avec les colliers, on le sait bien et c’est pour cela que les colliers de portage existent. Mais je dois avouer que mes enfants aiment jouer avec ce collier plus qu’avec les autres ! C’est bien simple, dès que je le porte, Colombe et Petit O’ se précipitent sur moi pour le toucher et le mordiller. Je me suis alors demandé pourquoi ils aimaient tant le mettre à la bouche, et j’ai essayé. J’ai découvert que mâchouiller ces petites perles procurait un effet assez relaxant ! Mais j’évite de le faire quand il y a du monde autour car ça ne me donne pas l’air bien malin !
À voir comme les enfants se précipitent sur mon collier et comme Petit O’ le mâchouille, vous comprenez son succès à la maison ! Alors filez vite découvrir les Croquijoux ! C’est un cadeau idéal à se faire ou à faire à une jeune maman, pourquoi pas en cadeau de naissance car après même avec de jeunes enfants on a toutes le droit d’être coquettes !