Tests
Mes années pourquoi – Paris – Chut les enfants lisent
Depuis quelques semaines, en prévision d’une visite à Paris, Colombe et moi feuilletons régulièrement un très joli petit livre sur la capitale. Il s’agit de l’album “Paris”, édité dans la collection “Mes années pourquoi” aux éditions Milan. Avec lui, je voulais que ma petite se familiarise avec quelques monuments qu’elle s’apprêtait à voir, et c’est ce qu’elle a fait. Mais aujourd’hui j’ai un autre regard sur ce livre qui fait plus que de nous parler de lieux, et qui nous transporte dans cet art de vivre à la française, dont Paris est souvent le symbole.
Très coloré et avec des illustrations simples, il plaît beaucoup, même aux petits. Mais c’est aussi un livre très complet qui aborde Paris par quartiers, mais aussi par thèmes. Il nous montre l’incroyable héritage historique, les richesses de Paris la cosmopolite, et toutes les possibilités que nous offre la capitale.
Ce livre s’ouvre sur un plan de la ville présentant les différents lieux et monuments qui y seront présentés. Et comme sur chaque page de présentation une bande à droite appelée est consacrée à un approfondissement du sujet. Ici, l’enfant peut se familiariser avec le découpage en arrondissements.
Les monuments et hauts lieux de chaque quartiers sont représentés, et c’est ainsi que Colombe connaît maintenant, outre la Tour Eiffel, l’Assemblée en Sandales (sic) et le Papillon (sic – Panthéon).
Les thèmes abordés sont nombreux et plutôt originaux : on peut visiter les lieux secrets de la capitale ou alors découvrir la ville au fil de l’eau. Chaque chapitre est très complet mais aussi très dynamique. On apprend beaucoup mais de manière ludique et il y a souvent une petite anecdote qui aide à retenir l’histoire. Par exemple, si vous vous demandez pourquoi on parle de bateaux mouches… Eh bien il faudra aller lire ce livre !
En résumé, il s’agit d’un livre très complet et qui peut être adapté à tous les âges. Lorsque je le lis avec Colombe, je lui épargne certains détails qu’elle ne peut pas comprendre du haut de ses 2 ans et demi, mais elle reste très intéressée par ce qu’elle découvre. Pour les enfants plus grands (et pour les adultes aussi !) il est une source d’informations passionnante. Dynamique, coloré, ludique, ce petit livre nous permet de faire de belles découvertes !
Mais avant tout, ce petit livre sait transcrire l’ambiance que l’on aime dans Paris. Cet art de vivre ensemble autour des choses les plus simples. Il s’ouvre sur une question :
Et il y répond tout au fil des pages.
Paris ce sont tous ces gens si différents qui cohabitent. Des gens heureux, des gens aimables, des gens snobs, et même des râleurs (si si ! En haut à droite regardez !).
Paris, c’est ce bar de quartier où l’on peut prendre un café au comptoir avant de partir au travail et boire un verre entre amis le vendredi soir.
Paris c’est la fête, le spectacle. Paris c’est le spectaculaire défilé du 14 juillet, les feux d’artifices à vous couper le souffle, les innombrables musées. Paris c’est la Comédie Française, et le French Cancan !
Et Paris ce sont ces amoureux qui s’bécotent sur les bancs publics…
Et des pigeons…
Je n’avais pas prévu de vous présenter ce livre aujourd’hui. Je voulais attendre notre visite à Paris, attendre de voir si ma Colombe reconnaissait ce qu’elle avait vu dans son petit livre. Mais finalement par de multiples détails, on retrouve en ce livre l’image de Paris qu’on a tous plus que jamais envie de transmettre à nos enfants !
C. Tranchant, Paris, coll. Mes Années Pourquoi, Ed. Milan
Cet article est ma participation à Chut les enfants lisent, le rendez-vous organisé par Yolina de Devine qui vient bloguer ?
Cat and Mouse – Chut les enfants lisent…
Lors de nos visites à la médiathèque, je veille toujours à emprunter un petit livre en anglais (ou un livre bilingue) afin de familiariser les enfants aux sonorités de cette langue.
Dernièrement, j’ai découvert ce petit livre haut en couleur intitulé Cat and Mouse.
Ce chat et cette souris (cat and mouse) loin de se faire la guerre, sont de bons amis qui découvrent ensemble les animaux et leurs cris. Le scénario est le même pour chaque double page : d’un côté le chat et la souris se demandent quel est l’animal qu’ils ont en face d’eux, de l’autre, l’animal répond et pousse son cri. Le chat et la souris répètent la même phrase à chaque fois, ce qui permet à l’enfant de l’apprendre au fil de l’histoire. Et en parallèle, l’enfant découvre le nom des animaux et leur cri en anglais.
L’album est très coloré ! À la fin du livre on trouve un lexique qui reprend toutes les phrases du livre. Et pour les parents qui ne se sentiraient pas à l’aise pour prononcer l’anglais, le livre est accompagné d’un CD. L’enfant peut choisir d’écouter l’histoire ou de répéter après le lecteur. Ainsi il peut entrainer son oreille et sa prononciation.
S. Husar, L Méhét, Cat and Mouse, ABC Melody
Ceci est ma participation à Chut les enfants lisent, le rendez-vous organisé par Yolina de Devine qui vient bloguer ?
Mon grand imagier à toucher – Chut les enfants lisent #6
C’est mercredi, le jour de “Chut les enfants lisent” le rendez-vous littéraire organisé par Yolina de “Devine qui vient bloguer ?”, et aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’un livre pour les tout-petits. Ce livre nous accompagne d’ailleurs depuis plus de 2 ans, puisque Colombe qui l’avait reçu comme cadeau de naissance, l’a beaucoup lu, et aujourd’hui c’est le tour de Petit O’ de s’y intéresser.
Mon grand imagier à toucher associe de belles images et des éléments à toucher. Comme beaucoup d’imagier, il présente beaucoup d’animaux classés selon les catégories suivantes : à plumes, à fourrure, à peau lisse, à peau rugueuse ou à carapace, écaille ou coquille. Chaque catégorie comporte une dizaine d’animaux et l’enfant peut en toucher un ou deux.
Mais le livre présente bien plus que des animaux : des habits, des fruits et légumes, des objets de la maison, des aliments… L’enfant peut y découvrir de nombreux mots, parfois mis en scène sur une double page.
Le toucher est vraiment mis à l’honneur avec des sensations très différentes. Ainsi, le petit (et les grands aussi car moi, je ne résiste jamais à l’envie de toucher ce livre !) découvre des surfaces lisses, poreuses, rugueuses… Il peut toucher un sac en toile de jute, la face grattoir d’une éponge, une coquille d’œuf et même une tartine de pâte à tartinée collante !
C’est un livre plein de surprises, qui sait éveiller les sens des petits et la curiosité des grands !
Une blogueuse se cache sur cette photo !
Si vous avez un tout-petit, je vous recommande vivement cet imagier. Et sinon, eh bien pourquoi ne pas l’offrir pour votre prochain cadeau de naissance. C’est comme cela que nous l’avons découvert, et je trouve qu’un livre est un cadeau de naissance original et très sympa ! Alors pensez-y !
Xavier Deneux, Mon grand imagier à toucher, Ed. Milan, 2010
Les Cerfs-Volants
Cette semaine, je reste dans le thème de l’automne pour ma participation au rendez-vous “Chut, les enfants lisent” organisé par Yolina de Devine qui vient bloguer, avec ce joli album intitulé Les Cerfs-Volants.
Avec de jolis dessins tout simples, et de belles photo de feuilles, cet album nous présente l’histoire d’une compétition de cerfs-volants.
Le livre commence avec une présentation de feuilles de différentes feuilles, puis vient l’histoire, et enfin en bonus il présente un petit tutoriel pour apprendre à dessiner un bel arbre soi-même.
Ce que j’ai apprécié dans ce livre c’est que les tout-petits peuvent comprendre l’histoire sans problème, et avec un peu d’aide ils peuvent également suivre le tutoriel pour dessiner leur arbre !
Lucie Albon, Les Cerfs-Volants
Botte de Carotte- Chut, les enfants lisent
En fouinant dans les bacs de notre médiathèque, ce petit livre nous a sauté au yeux. Tout d’abord parce que sa couverture nous promet une belle histoire avec tous ces légumes à la mine enjouée. Ensuite, parce que son titre tout en rime et en jeu de mot nous a bien plu. Et ce livre a bel et bien tenu ses promesses !
Botte de carotte c’est comme son nom l’indique, l’histoire d’une carotte qui perd sa botte. Mais c’est aussi l’histoire des légumes du potagers pris en photo et mis en scène pour notre plus grand plaisir.
Botte de carotte c’est aussi un texte tout en rythme et en rime, et en le lisant on a qu’un seul regret, ne pas savoir sur quel air chanter ce texte entrainant !
C’est un livre court à l’histoire simple qui peut être suivie par des tout-petits. Ses jolies photographies permettent aux enfants d’apprendre le nom des légumes et pourquoi pas, de leur donner envie de les manger !
M. Chamak, A Sol, Botte de Carotte, Le Baron Perché, 2006
Cet article est ma participation à “Chut, les enfants lisent” le rendez-vous organisé par Yolina du blog Devine qui vient bloguer ?
Fleurs et Feuilles -Chut les enfants lisent #4
Peut-être avez-vous lu mon article qui présentait notre plateau d’automne la semaine dernière. Pour les absents, la séance de rattrapage se trouve ici.
Avant de proposer à Colombe de faire ses petits escargots et ses hérissons, je voulais lui montrer tout ce que l’on pouvait faire avec des végétaux. Et c’est ainsi que je suis tombée sur ce très beau livre à la médiathèque :
Fleurs et Feuilles
Le livre se présente comme un manuel avec une présentation des différentes variétés de végétaux utilisées et une explication des techniques pour choisir, faire sécher et coller les fleurs. Puis vient la partie la plus importante du livre qui présente plus de 200 figures représentant des animaux. Et enfin, chaque figure est décomposée pour que le lecteur puisse aisément la reproduire.
Ce livre s’adresse à un public un peu plus âgé que ma Colombe qui ne peut pas encore vraiment reproduire les figures, ni même appliquer les méthodes qui demandent un soin certain et de la dextérité. Et pourtant Elle aime beaucoup admirer les différentes figures et jouer à reconnaître de quel animal il s’agit.
Ce livre est donc à mettre entre les mains de tous pour créer ou simplement s’émerveiller devant la beauté des compositions !
Daniel Picon, Fleurs et Feuilles, Ed. Mango Jeunesse, 2003
Cet article est ma participation au rendez-vous “Chut, les enfants lisent” organisé par Yolina de Devine qui vient bloguer.
Ce que mangent les maîtresses -Chut les enfants lisent #3
Après un mois passé dans leur classe, il est possible que vos petits se soient déjà bien acclimatés, qu’ils se soient fait plein de copains et qu’ils commencent à s’attacher à leur maîtresse. Et d’ailleurs, que savent-ils de leur maîtresse et comment imaginent-ils sa vie en dehors de l’école ? Eh bien justement c’est parfois difficile d’imaginer que la maîtresse a une vie en dehors de l’école. Est-elle vraiment adulte, elle qui vit au milieu des enfants ? Pourquoi aurait-elle une autre maison que sa classe puisqu’elle y est comme chez elle ? Elle ne peut pas être une maman puisqu’elle est maîtresse !
Ce que mangent les maîtresses est un classique de la littérature jeunesse qui aborde avec humour et tendresse, cette vision que nos petits peuvent avoir de leur institutrice (et instituteur aussi si l’on veut !). Des dessins doux, des textes empreints de poésie enfantine, ce livre est un véritable chef-d’œuvre !
Colombe ne va pas encore à l’école (on en parlait ici) et se sent assez peu concernée par ce livre, je vous l’avoue. Alors pourquoi vous en parler maintenant ?
C’est en le voyant à la médiathèque qu’une foule de souvenirs d’enfances me sont revenus en mémoire. Fille d’institutrice et scolarisée dans la même école que ma maman, je n’ai jamais vraiment souffert de cette situation, sauf en entendant une réflexion que faisaient parfois des petits : “T’es une menteuse, la maîtresse ça peut pas être ta maman, parce que les maîtresses peuvent pas avoir d’enfant !”… À l’époque, accompagnée par ma maman, la lecture de ce livre m’avait aidé à comprendre que les autres enfants pouvaient parfois imaginer des choses incroyables concernant leurs instituteurs. Et sa lecture en classe avait aidé les autres enfants à comprendre que la maîtresse pouvait aussi avoir une vie en dehors de l’école !
En le relisant, j’ai réalisé que ce livre était un peu ma madeleine de Proust… Sa douceur, son humour m’ont fait revenir en enfance le temps de quelques pages tournées.
Je sais que parmi les blogueuses et les lectrices de blogs se trouvent beaucoup d’enseignantes (et d’enseignants), alors foncez acheter ce livre pour votre classe si ça n’est pas déjà fait ! Il ouvrira une discussion sans doute très intéressante et qui s’annonce riche en mots d’enfants tous plus adorables les uns que les autres. Et pour les parents, n’hésitez pas non plus. Ce livre sera un beau moment à partager avec votre enfant !
Christian Bruel, Anné Bozellec, Ce que mangent les maîtresses, ed. Thierry Magnier, 2012
Cet article est ma participation à “Chut, les enfants lisent” organisé par Yolina du blog Devine Qui Vient Bloguer ?
L’imagerie des tout-petits, La politesse- Chut les enfants lisent#2
“Dis bonjour”, “Dis merci”, “Quand je dis qu’on y va, on y va !”, “Ne crie pas, il y a des voisins !”
Je ne sais pas vous, mais moi j’ai l’impression de répéter ces phrases à longueur de journée… Et dans le feu de l’action, je n’ai pas toujours le temps d’expliquer à Colombe pourquoi il faut faire ci ou ça. Alors une fois rentrées à la maison, j’aime revenir sur les situations que nous avons rencontrées et voici un petit livre que j’utilise souvent :
Ce livre aborde de nombreuses situations : au parc, dans le hall d’entrée de l’immeuble, à la maison, difficile de ne pas y trouver son compte. Sur une page, les petits personnages ont un comportement exemplaire, et sur la page d’en face ils chahutent, désobéissent, pleurnichent et font des bêtises.
Colombe adore feuilleter ce livre avec moi et m’expliquer pourquoi “ça n’est pas bien de courir dans le bus !”. Elle aime aussi voir que les autres enfants font aussi des bêtises parfois. De mon côté, j’apprécie les pages “indéchirables” (si si ! Je vous assure, j’ai essayé pour être sûre !) et l’expression des émotions sur les visages. Il n’y a qu’à regarder l’air choqué de cette passante pour comprendre ce que je veux dire ! J’aime aussi la variété des situations abordées. Et si vous ne trouvez pas la situation que vous recherchez, il existe d’autres titres dans cette collection (à l’école, au supermarché…) !
L’imagerie des tout-petits, La politesse, E. Beaumont, N. Bélineau, S. Michelet
Ed. Fleurus, 4,95€
Cet article est ma participation à “Chut, les enfants lisent” organisé par Yolina du blog Devine Qui Vient Bloguer ?
Test Produit : Super Sand
Pour tous ceux qui ne peuvent pas se rendre à la plage, laissez la plage venir à vous !Aujourd’hui je vous propose de découvrir un jeu qui a été sans conteste LA découverte de l’année dans la famille À Dada : Le Super Sand de Goliath !
Nous avons découvert le Super Sand cet hiver car Colombe en a reçu une boîte pour son anniversaire, et nous avions tellement adoré que je voulais absolument passer par le stand consacré au produit sur le salon international du jeu de Cannes. Pour Colombe, ça a été l’occasion de s’éclater à faire des “châteaux” avec les litres de sable mis à disposition, et de tester plein de moules que nous n’avons pas à la maison. Et moi j’en ai profité pour bombarder de questions le super animateur du stand qui avait l’air content de me renseigner et qui était tellement sympa qu’il m’a trouvé une chaise pour que je ne me fatigue pas avec Petit O’ dans les bras ! (Quand les gens sont sympas c’est bien de le dire !)
La matière ressemble au sable, elle en a la couleur, mais elle peut se modeler comme de la pâte à modeler sans pour autant qu’on y ajoute de l’eau. Et contrairement à la pâte à modeler, elle ne colle pas et ne risque pas de salir vêtements et tapis (on secoue les vêtements et on aspire les tapis et tout est comme neuf !).
Il est assez difficile de connaître la composition du Super Sand. Sur la boîte, il est écrit qu’il ne s’agit que d’ingrédients naturels. Au salon du jeu, l’animateur du stand m’a expliqué qu’il s’agit d’huile de betterave et de coquillages réduits en cendres. Ces coquillages étant issus de l’industrie alimentaire, il s’agit en quelque sorte de “revalorisation” des déchets, et ça, c’est cool ! Si Goliath indique que le jeu est destiné aux enfants à partir de 4 ans, on peut sans aucun risque le proposer à des enfants plus jeunes. Il est préférable de rester près de son enfant quand il joue afin qu’il ne retourne pas l’appartement, mais il pourrait mettre du Super Sand à la bouche sans risque.
Édit du 9 mars 2016 : la plupart des recherches menant à cet article concerne la composition du Super Sand, et j’ai également répondu à de nombreux commentaires à ce sujet. J’ai donc profité de ma présence au Festival International des Jeux à Cannes cette année encore pour retourner poser des questions à ce sujet. La composition qu’on m’a annoncée est exactement la même que celle qu’on m’a annoncée l’an dernier. Lorsque j’ai demandé pourquoi la composition n’était pas indiquée plus explicitement sur les boîtes, on m’a expliqué que c’était simplement une question de secret de la formule (vous aurez remarqué qu’on trouve ce genre de sable un peu partout, Goliath protège donc sa formule ce qui semble légitime). Il ne s’agit donc pas de cacher de quelconques ingrédients nocifs. Et pour cause, le Super Sand a reçu l’agrément lui permettant d’être utilisé en crèche. Concrètement cela signifie que les enfants peuvent en ingérer sans aucun danger !
Notre boîte de Super Sand comprend :
- un bac de jeu
- 6 moules (de formes variables en fonction de la boîte)
- du Super Sand !
Le tout se range facilement dans la boîte entre deux utilisations. En flânant sur le net, je me suis rendue compte que beaucoup de parents (et moi la première !) rangeaient le Super Sand dans un sac congélation avant de la mettre dans la boîte. Même si ça n’est absolument pas nécessaire (le Super Sand ne sèche pas), un jour où j’avais oublié de le faire, j’ai découvert que c’était finalement très utile : en effet, Colombe a voulu attraper la boîte toute seule et a renversé tout le sable par terre. Alors ok, cela ne tâche pas et ça se nettoie facilement, mais c’est quand même plus sympa d’éviter les séances d’aspirateur quand on peut !
édit du
Cela fait plusieurs mois que Colombe joue régulièrement au Super Sand et elle ne s’en lasse pas. Je pose une toile cirée sur le sol de la terrasse et je la laisse libre de faire ses petits “châteaux de sable”. Bien souvent lorsque Colombe joue à la plage, elle a du mal à faire de beaux châteaux et se lasse vite. Avec le Super Sand, elle ne rencontre pas du tout ce problème et cela la rend particulièrement heureuse (et elle est toute fière à chaque fois de me montrer ses petites constructions !).
Comme elle aime beaucoup les activités de transvasement, je rajoute souvent des cuillères dans le bac.
À chaque fois que je sors le Super Sand, Colombe y joue pendant 30 minutes au minimum, mais le jeu peut durer jusqu’à une heure ! Et un enfant qui s’occupe pendant une heure, pour une maman, ça n’a pas de prix !
Une fois la séance finie, on secoue les vêtements, on ramasse le sable et on passe un petit coup de balai et il ne reste plus aucune trace de notre passage !
La gamme Super Sand est maintenant très étendue puisqu’on y trouve différents moules pour faire des châteaux mais aussi des animaux, des rouleaux pour imprimer des textures, et du sable de couleur ! Bref, de quoi bien s’amuser pendant des heures !
Article non sponsorisé.
Tangle Teezer
Jusqu’au mois dernier, coiffer les cheveux de ma Colombe tenait de la torture !
- Elle démêle vraiment les cheveux en douceur !
- Toute en plastique, elle est d’autant plus facile à laver que ses picots n’ont pas ce petit bout rond qui empêchent de bien retirer les cheveux.
- Elle a une forme assez spéciale qui permet de la prendre bien en main. Même les petites mains arrivent à l’attraper, un plus pour apprendre à se coiffer seul !
- Ses petits picots massent le cuir chevelu. Un vrai moment de détente !
Les points faibles de Tangle Teezer :
- Même si sa forme est facile à prendre en main lorsqu’on se coiffe, j’aurais préféré avoir un manche pour coiffer Colombe.
- Lorsqu’on s’en sert dans le bain ou sous la douche, elle a tendance à se remplir d’eau. Il faut alors la secouer longtemps pour la vider…
- ← Précédent
- 1
- …
- 11
- 12
- 13
- Suivant →