Latest Event Updates
Je transmets des valeurs positives
Bienveillance, parentalité positive, zéro déchet, anti-gaspi, inclusion… J’ai l’impression que le domaine de l’éducation a vu fleurir plein de concepts ces dernières années. Tous défendent globalement des valeurs positives, mais il est parfois difficile de s’y retrouver. Alors voici l’ouvrage idéal si vous voulez faire un point sur le sujet : Je transmets des valeurs positives de Carla Schiappa-Burdet.
Je transmets des valeurs positives
Je transmets des valeurs positives part d’un fait : nous voulons tous rendre nos enfants meilleurs. Et pour cela, le livre nous propose de faire le point sur les dernières connaissances en développement de l’enfant, de nous donner des outils de parentalité positive et des idées d’activités ludiques.
Le livre se découpe en 6 grands chapitres : On positive ; on se respecte ; on s’ouvre aux autres ; on prend soin de la planète ; on s’entraide ; on devient citoyen.
Chaque grand thème est abordé à travers un tableau des dernières avancées en matière d’éducation, d’encarts d’informations pour aller plus loin, de témoignages ou questions de parents, et d’exercices à faire en famille.
Une mine d’activités ludique
Je transmets des valeurs positives est ponctué d’idées d’activités à faire seuls ou en famille.
La première et pas des moindre consiste à déterminer les valeurs qui nous sont chères en tant que parents, afin d’établir la direction de notre éducation.
Ensuite, tout au long du livre, et dans le cahier d’activité situé à la fin, on retrouve de belles idées : faire des séances photos en famille, fabriquer une météo de l’humeur, aller ramasser des déchets dans la nature… mais chut ! Je m’arrête là et ne vous dévoile pas tout.
D’ailleurs, Carla Schiappa-Burdet, l’auteur du livre, n’est pas en reste en ce qui concerne les idées d’activités. Maman, conseillère pédagogique et blogueuse, elle regorge d’idées qu’elle compile dans son blog : Le blog de Carla.
Mon avis sur Je transmets des valeurs positives
Je transmets des valeurs positives est le livre idéal pour les jeunes parents perdus dans toute la littérature actuelle. Il dresse un tableau complet de tous les mouvements de parentalité, mais aussi d’écologie, de gestion des émotions ou de découverte de la citoyenneté.
Il est aussi un bon rappel pour des parents qui connaissent déjà bien le domaine et qui souhaite faire un point. L’écologie a une part importante dans ma vie et c’est une valeur qu’il me tient à cœur de transmettre. Même si nous faisons déjà pas mal à la maison, j’ai apprécié les idées trouvées dans ce livre.
Sa lecture est vraiment facile, aérée et dynamique. Il amène à se poser des questions ou à faire le point et donne plein de petites idées à mettre en place à la maison !
Carla Schiappa-Burdet, Je transmets des valeurs positives, parité, écologie, respect de la différence : cela s’apprend !, Ed. Eyrolles, 2020
Merci aux éditions Eyrolles pour l’envoie de ce livre.
Prix : 16,90€
Ta vie ne sera plus jamais la même… et ton salon non plus !
Il y a quelques années, en flânant sur le net, je suis tombée sur un dessin humoristique qui prenait le paysage de ma ville natale (Rouen) comme toile de fond. Intriguée, j’ai parcouru le site de l’illustratrice qui dépeignait avec justesse et humour la vie avec des enfants. Lors d’une visite chez mes parents, je donnais rendez-vous à Queen Mama et rencontrait une personne aussi pétillante que ses dessins ! Cette année, Queen Mama a sorti son premier livre, au titre cinglant : “Ta vie ne sera plus jamais la même… et ton salon non plus !”
Ta vie ne sera plus jamais la même
Dans ce premier livre, la Queen mama nous explique en dessin et avec humour, comment passer inaperçu en début de grossesse, comment survivre aux questions indiscrètes et aux conseils jamais demandé ou encore comment cacher ces cernes gentiment déposées par les nuits hachées. Mais elle va plus loin !
Eh oui, la Queen mama a de l’expérience avec ses deux fils et elle nous parle de la parentalité jusqu’à l’adolescence. Des mots maladroits des enfants qui nous donnent envie de nous cacher dans un trou de souris, à l’indifférence de l’ado qui nous voit comme un dinosaure ringard… Elle nous dévoile tout avec un grand humour et toujours une pêche d’enfer.
La Queen Mama !
La Queen Mama a donc un blog sur lequel vous pourrez lire plein d’autres illustration autour de la vie de parents.
Mais son activité ne s’arrête pas là. Elle décline ses services d’illustratrice de nombreuses façons :
- Des illustrations à télécharger
- Des T_shirts, sweat-shirt et tote-bags illustrés
- Des illustrations personnalisées pour les particuliers et les professionnels.
- Des illustrations d’albums pour enfants.
- Des coloriages
- Des animations d’ateliers
Bref, la Queen Mama a plus d’une corde à son arc !
Mon avis sur “Ta vie ne sera plus jamais la même”
Vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé Ta vie ne sera plus jamais la même, c’est drôle, dynamique, coloré et sans prise de tête ! C’est le livre écrit par une copine qu’on lit avec plaisir et qu’on offre ensuite à une autre copine ! Le livre dans lequel toutes les mamans se reconnaîtront, sauf peut-être la mère parfaite !
Parce que c’est ça la maternité : le partage des expériences qu’elles soient bonnes ou mauvaises. On en rit, on dédramatise et ça fait un bien fou ! Alors si vous voulez rire, vous détendre ou faire plaisir à une copine : foncez !
La Queen Mama, Ta vie ne sera plus jamais la même… et ton salon non plus
12€
Et retrouvez la Queen Mama sur son site, sa page Facebook et son compte Instagram
DIY : cadre des animaux de la forêt
Chaque mois, ma copine Rebecca nous propose une nouvelle activité pour les enfants. Après la forêt d’automne et l’attrape-rêve de Halloween, voici le cadre des animaux de la forêt.
“J’ai longtemps réfléchi à ce que pouvait bien m’inspirer le mois de novembre. J’ai d’abord pensé à la chanson “november rain” du groupe Gun’s and the roses et puis forcément à la météo pas toujours très clémente de cette période. Mon cerveau est souvent en ébullition alors ma réflexion ne s’est pas arrêtée en si bon chemin. J’en suis venue à la conclusion que novembre c’était toujours l’automne et donc encore la saison des balades en forêt. Bon, bon, c’est vrai que nous sommes confinés et que nous ne pouvons pas aller nous promener en forêt mais rien ne nous interdit de faire venir la forêt à nous, n’est ce pas ?
C’est donc avec cette envie d’espace et de liberté que j’en suis venue à proposer “les animaux de la forêt” comme fil conducteur à nos activités DIY du mois.
Aujourd’hui je vous propose de réaliser un cadre avec des éléments de la nature et un peu de carton. Comme vous le savez peut-être maintenant je me sert toujours que de très peu de matériel et encore plus en ce moment.
Le matériel nécessaire
- 4 bout de branches
- 1 morceau de carton
- de la peinture
- de la ficelle
- quelques éléments ramassés dans la nature
- 3 formes de feuille découpées dans du papier cartonné
- 1 nœud en raphia
- 1 pistolet à colle ou de la colle forte
Fabriquer un cadre des animaux de la forêt
Pour débuter le projet j’ai dessiné en amont un écureuil ainsi qu’un champignon sur un bout de carton. J’ai ensuite demandé aux enfants de les peindre.
Pendant qu’ils s’affairaient à la peinture j’ai collé mes 4 morceaux de bois au pistolet à colle pour former un cadre, ainsi que, le nœud en raphia et la guirlande de feuilles en papier cartonné.
Une fois les formes sèches, les enfants ont pu repasser le bord en noir à l’aide d’un feutre Posca pour un effet “fini”.
Ensuite ils ont disposé l’écureuil et le champignon sur le cadre à l’endroit où ils voulaient que je les colles.
Après une multitude d’essai ils ont également placé les éléments ramassés
Et voilà, le tour est joué. Il n’y a plus qu’à trouver une place de choix pour ce nouveau cadre !
Avant de vous quitter jusqu’au mois prochain, je souhaite remercier Flore-Hélène de m’ouvrir les portes de son blog pour notre RDV mensuel. En attendant notre prochain DIY prenez soin de vous et de vos proches.
Xoxo Reb
D’autres idées sur le thème ” des animaux de la forêt” sont à retrouver sur notre page Instagram @reb_nana_loulou
Tous les articles de Reb’ sur le blog :
Escape Kit : une chasse au trésor à l’école des sorciers
2020 n’aura pas été une année comme les autres, et il a fallu réinventer notre façon de vivre ! Si l’année dernière, les enfants avaient vécu un Halloween magique en allant sonner aux portes avec leurs copains, cette année le Covid-19 et le confinement ont rendu tout cela impossible. Mais qu’à cela ne tienne, on ne s’est pas laissé abattre et on a fêté Halloween quand même* grâce à une chasse au trésor à l’école des sorciers que la marque Escape Kit nous a offert en test !
L’école ensorcelée
“La nouvelle année scolaire a commencé à Perpivin, l’Académie de Magie et de Sorcellerie. Tous les élèves sont, comme vous, excités et impatients ! Le jour de la rentrée vous n’entendez pas votre réveil et vous arrivez en retard… et là… stupéfaction ! Une malédiction s’est abattue sur Perpivin et tous les enfants, d’habitude si joyeux, sont plongés dans un sommeil qui semble éternel…”
Les enfants se mettent dans la peau d’élèves sorciers qui doivent sauver leur école. Chapeau sur la tête et cape à l’épaule, ils vont chercher les indices pour trouver la formule magique qui réveillera tous leurs camarades et commencer l’année scolaire.
Notre aventure à Perpivin
Après avoir imprimé et découpé l’escape Kit, j’ai transformé l’entrée de l’immeuble en école des sorciers. Chaque salle était représentée par une pancarte auprès de laquelle j’ai disposé les indices.
J’ai ensuite convoqué les enfants dans le hall d’entrée et leur ai lu l’histoire de Perpivin endormie, ainsi que les consignes. Et mes petits sorciers se sont mis au travail !
Munis du plan de l’école, ils ont cherché les différentes salles et établi leur feuille de route.
Dans chaque salle, ils ont récupéré un morceau de clé et résolu des énigmes. Jusqu’à ce qu’ils arrivent à la dernière salle. La salle secrète qui leur a donné la possibilité de trouver la formule magique qui allait réveiller toute l’école endormie !
Mon avis sur Escape Kit
Le Kit est plutôt facile d’utilisation. Il faut imprimer tous les documents et les découper. J’avais peur d’y passer vraiment longtemps, mais finalement ça a été moins long que je ne pensais. En un peu plus d’une demi heure, j’avais tout préparé.
Les règles d’installation et de jeu sont vraiment très bien expliquées et c’est vraiment un gros plus ! Les enfants ont tout de suite compris le but du jeu, même Petit O’ qui n’a pourtant que 5 ans 1/2. Et comme il s’agit d’un jeu coopératif, chacun a résolu les énigmes en fonction de ses capacités, les grands aidant les petits.
Le kit est prévu pour un groupe de 2 à 5 enfants (mais on peut former des groupes s’il y a plus de participants), il est donc idéal pour les fêtes d’anniversaire. Et les petits plus pour la fête : vous pouvez imprimer des invitations ainsi que des diplômes, et Escape Kit a même préparé une playlist de musiques pour vous mettre dans l’ambiance !
Mes enfants ont vraiment passé un très bon moment, et après cet escape game, ils ne parlaient plus du tout de leur déception de ne pas pouvoir aller sonner aux portes !
Escape kit, des escape games pour toute la famille
J’ai choisi “L’école ensorcelée“ car mes enfants commencent à beaucoup s’intéresser au monde fantastique des sorciers et des magiciens, et parce qu’il collait parfaitement à leur âge (de 6 à 10 ans). Mais Escape Kit fait des escape games pour toute la famille. Il en existe pour les petits à partir de 3 ans, et d’autres pour les ados et même les adultes !
Les thèmes sont très variés eux aussi, allant du Petit Prince au braquage du siècle en passant par l’école des sorciers, les super-héros et l’égyptologie. Bref, de quoi satisfaire tout le monde !
Merci encore à Escape Kit de nous avoir permis ce test et d’avoir sauvé Halloween cette année ! Nous recommanderons volontiers de nouveaux escape games. D’ailleurs j’ai déjà repéré celui du Petit Prince que je mettrais bien à l’honneur dans nos études de français !
L’école ensorcelée,
escape game de 6 à 10 ans
durée de jeu : 1h
de 2 à 5 joueurs
Prix : 19,99€
*Dans le respect des règles édictées par l’Etat.
DIY : Dream catcher Halloween
Article écrit par Rebecca du compte instagram Reb, Nana et Loulou
Les vacances sont enfin là. C’est l’occasion de prendre le temps de faire des activités avec les enfants et pourquoi pas préparer Halloween.Cette année j’ai eu envie de proposer un Diy différent pour cette période où les enfants aiment se faire peur. En me creusant un peu la tête sur cette fête, mais pas comme une citrouille ( notez le jeu de mot en rapport à notre thème) , j’ai pensé réaliser un attrape-rêves aux couleurs d’Halloween. Les enfants ont tout de suite été emballés. Il a fallu que je dégaine vite le matériel pour débuter notre activité.
Matériel nécessaire pour fabriquer un dream catcher Halloween
Comme à mon habitude ce projet ne nécessite que très peu de matériel.
- 1 paire de ciseaux
- 1 anneau en carton
- 1 pelote de laine ( facultative, elle peut être remplacée par de la peinture)
- quelques morceaux de ruban noir, blanc et orange
- des sujets en résine ( on les trouve pour 1€ ou moins dans tous les magasins)
Fabriquer un dream catcher de Halloween
Pour commencer, il faut enrouler la laine ou pourquoi pas du ruban tout autour de l’anneau. Pour les plus jeunes la tâche est peut-être trop compliquée. Ce n’est pas grave, j’ai pensé à une alternative pour adapter l’activité à un public plus large… Il suffit de peindre l’anneau et hop le tour est joué ! La prochaine étape consiste à tisser la toile d’araignée pour attraper les mauvais rêves…
Pas de panique ! Quand je dis tisser la toile d’araignée je pense plus à passer un bout de laine dans l’anneau. Honnêtement ni Nana (10 ans) ni Loulou (presque 8 ans) n’auraient réussi. On ne cherche pas que ça soit parfait. L’important c’est que l’enfant qui réalisera cette activité à son tour laisse parler son imagination et sa créativité !
Prenez du recul maintenant et admirez le travail des enfants avec eux . Le dream catcher Halloween prend forme. Il ne reste plus que les finitions ! C’est le moment de passer les rubans à faire pendre et coller les sujet en résine (avec de la colle forte ou un pistolet à colle).
Au final avec le même matériel on arrive à des résultat très différents et je trouve ça très sympa. Chaque enfant a ses propres goûts donc c’est bien qu’il choisisse les matières qu’il souhaite utiliser lui-même.
A vos créations !
Si vous voulez partager le résultat avec moi sur votre compte Instagram n’hésitez pas à me taguer @reb_nana_loulou.
Merci à Maman À Dada ! de me laisser les portes de son blog ouvertes pour partager avec vous quelques idées Diy.
On se retrouve très vite. Xoxo Rebecca
Test : Les couches Lotus Baby
À peine 3 mois, et Bébé Gaufrette est déjà testeuse pour le blog ! Dernièrement, la marque Lotus m’a proposé de tester ses lingettes et couches Lotus Baby, j’ai donc mis mon bébé à contribution !
Les couches Lotus Baby
Avant tout, les couches Lotus Baby sont le fruit d’une volonté de proposer un produit sûr pour les bébés :
- ni lotion, ni parfum, ni colorant en contact avec la peau
- pas de blanchiment au chlore élémentaire
- une composition détaillée inscrite directement sur les paquets (ça n’est pas toujours le cas !)
- une ouate de cellulose certifiée FSC, issue de forêts gérées de façon responsable
À l’utilisation, je les ai trouvées plutôt agréables. Elles sont douces au touché et plutôt mignonne.
Côté absorption, rien à redire. Bébé reste au sec suffisamment longtemps pour permettre des sorties ou même pour passer la nuit.
Leur forme limite les débordements grâce aux ailettes sur le côté et à la ceinture élastique à l’arrière. Ceinture particulièrement appréciée quand on a un bébé allaité qui fait régulièrement des “caca-tostrophes” !
Enfin, la petite bande jaune sur la couche, qui devient bleue lorsque l’enfant a fait pipi est un indicateur sympa qui évite de complètement déshabiller le bébé.
Les lingettes Lotus Baby
Les lingettes Lotus Baby sont hypoallergéniques, sans paraben, sans phénoxyéthanol et sans parfum. Elles sont également composées de 100% de fibres de coton naturelles.
Je n’ai pas pour habitude d’utiliser des lingettes, et l’odeur que certaines dégagent me gène bien souvent. C’est pourquoi je suis bien contente que celle-ci n’aient pas de parfum.
Enfin, même si c’est un produit que j’utilise peu normalement, je dois avoir qu’elle sont très pratique. Notamment en sorties où l’on n’a pas toujours beaucoup de place pour changer bébé ou quand on veut le débarbouiller rapidement.
Mon avis
Même si les couches Lotus Baby n’ont pas résisté à toutes les “caca-tastrophes” de bébé Gaufrette, elles ont plutôt été efficaces comparées aux autres couches que j’ai utilisées. Et je n’ai jamais eu de fuite même après de gros pipis.
Suite à ce test, j’ai racheté plusieurs fois cette marque fiable et confortable pour mon bébé !
Des forêts aux couleurs d’automne
L’automne est arrivé, et on commence à observer ses jolis couleurs chatoyantes ! C’est la saison qui m’inspire le plus et je ne suis pas la seule ! Mon amie Rebecca n’est pas en reste niveau inspiration, et c’est sur elle que j’ai copié mon activité du jour : des forêts aux couleurs d’automne.
Le matériel nécessaire pour nos forêts d’automne
- Quelques feuilles rouges, jaunes et oranges
- Des feuilles aux couleurs neutres ou vertes pour faire le fond
- Des stylos, feutres ou crayons noirs
- Une paire de ciseaux
- De la colle
Un travail de graphisme mais pas que
J’ai d’abord demandé à Colombe (7 ans) et Petit O’ (5 ans) de dessiner des arbres sur leurs feuilles rouges, oranges et jaunes. Je les ai laissés libres de choisir leurs motifs, mais je les ai aussi conseillés lorsqu’ils manquaient d’inspiration.
Colombe a utilisé des feutres à pointe fine.
Petit O’ a utilisé des feutres classiques.
Si je suis enthousiaste à l’idée d’entrer en automne, c’est plutôt Halloween qui séduit mes enfants. Ils ont donc dessiné citrouilles et fantômes au milieu des arbres.
Puis j’ai demandé aux enfants de découper chacun des arbres qu’ils avaient dessinés et de les classer par ordre de grandeur.
L’exercice n’a pas été si simple étant donné le nombre d’arbre qu’il y avait ! Je leur ai expliqué le principe de perspective dans un dessin, et ils ont compris que les arbres les plus grands devaient être collés en premier plan. Les plus petits, au loin, donc en arrière plan (et hop ! un peu de vocabulaire avec ça !).
Voici donc le résultat !
Nos forêts d’automne sont venues embellir notre table des saisons, fournissant un joli décor pour nos trésors ramassés dans la nature et nos petits sujets en feutrine.
Sur cette photo, l’arbre d’automne situé à gauche est à retrouver sur le blog ici. Et la citrouille en papier arrive bientôt !
Les forêts d’automne de Rebecca et ses enfants !
Comme Rebecca m’a inspirée ce projet, mais qu’elle n’a plus de blog, je lui ai proposé de participer à cet article. Voici donc les forêts de “Nana” et “Loulou” !
“Le spectacle des feuilles qui se parent de leurs couleurs d’automne est toujours un grand moment par chez nous. L’atmosphère qui se dégage a quelque chose de magique et d’apaisant en même temps. C’est sûrement parce que l’automne signifie ballade en forêt suivi d’un moment cocooning bien au chaud, du moins pour nous…
J’ai voulu proposer aux enfants une activité qui nous permettrait de recréer cette ambiance à l’intérieur de la maison. Pour le déroulement rien de plus simple. J’ai leur ai montré différentes façons de représenter un arbre (graphisme trouvé sur Pinterest et google) puis, je leur ai demandé d’imaginer leur propre forêt automnale. Suite à cela, ils ont tracé eux-mêmes les différentes formes à donné aux arbres sur des feuilles jaunes, oranges et rouges et les ont remplis avec des graphismes divers à l’aide d’un feutre posca noir à pointe fine. Puis, chacun à collé son travail sur une feuille colorée choisie au préalable. Bien sûr, nous aurions également pu peindre nos feuilles pour obtenir un résultat différent ou si tout simplement nous n’avions pas eu le matériel nécessaire.
On peut très bien proposer cette activité à des enfants de différents âges. Il suffit de l’adapter à chacun. Pour un enfant plus jeune il faudra lui découper les feuilles et l’aider pour le graphisme alors qu’un enfant plus grand pourra réaliser son œuvre en autonomie du moment que les consignes sont simples et claires. Ici Nana est presque une pré-ado. Elle est donc plus patiente que son petit frère. Elle a pris son temps, et à réfléchi à ce qu’elle voulait représenter. Elle à imaginé le résultat et a commencé seulement ensuite sa création. Loulou quant à lui, du haut de ses 8 ans a construit sa production complètement différemment. Il a d’abord dessiné et découpé tout un tas d’arbres et à ensuite réfléchi à la manière de les positionner sur la feuille. De toute façon, peu importe la technique employée, le rendu sera forcément différent d’un enfant à un autre. L’important, c’est que l’enfant s’exprime de lui même et laisse parler son imagination.
Je voulais également remercier Maman À Dada ! de m’avoir laissé l’opportunité de partager avec vous cette activité. N’hésitez pas à la proposer à vos enfants et pourquoi pas la réaliser vous même ? “
Surprise !
Merci à Rebecca pour ses bonnes idées et pour sa participation à cet article ! Et j’ai une surprise pour vous : Rebecca reviendra régulièrement ici pour partager ses idées de bricolages ! Mais si vous ne voulez rien rater d’elle, c’est sur son compte Instagram Reb, Nana et Loulou !
La mère parfaite est une connasse !
La mère parfaite est une connasse ! et ça n’est pas moi qui le dit ! Non ! C’est le titre du nouveau livre de Marie-Aldine et Anne-Sophie Girard. Je viens de dévorer ce livre alors j’ai décidé de vous en parler !
La mère parfaite est une connasse ! C’est pas un peu vulgaire comme titre ?
Bon, j’avoue, le titre n’est pas des plus raffiné… Mais il va à l’essentiel ! Et pour tout vous dire, je ne sais pas si ce livre m’aurait interpelée sur les étagères de la librairie s’il s’était appelé autrement.
Nous nous sommes toutes retrouvées un jour où l’autre face à une maman tellement parfaite (dans son discours) qu’on en est venue à se dire qu’elle en faisait trop et que sa perfection ne pouvait être que de façade. Et on a toute eu de jolies noms d’oiseaux à l’esprit en l’écoutant raconter sa parfaite petite vie avec ses enfants parfaits !
La mère parfaite est une connasse ! le livre qui lève les tabous !
C’est un livre drôle qui pointe tous les tabous de la maternité de la conception à… bas non, la maternité ne s’arrête jamais et pour preuve, même la maman des autrices y va de son petit mot alors que ses filles sont adultes !
On y parle avec humour de toutes ce que nous faisons en tant que maman et qu’on brandit parfois un peu comme des trophées, comme pour se convaincre qu’on est une maman formidable ! Car nous avons toutes croisée la mère parfaite, mais nous avons aussi toutes fait semblant de l’être par moment !
On évoque les couches lavables (oups… je me suis présentée en mère parfaite sur ce point… 2 fois !), petits pots faits maison, poids de grossesse, prénoms, enfants parfaits (oups… mais faut dire que les miens sont vraiment parfaits ! :-), et mère parfaite pendant le confinement (oups… là encore…)
Le livre parle aussi de notre culpabilité et de nos doutes car nous en avons toutes ! La mère parfaite est à la mode en ce moment : les prétendus représentants de la bienveillance et de la psychologie positive* mettent une pression énorme sur les parents d’aujourd’hui et font passer le moindre écart comme un manquement. La mère parfaite est une connasse ! lève le tabou sur certaines pensées qu’on peut avoir parfois, sur l’impression de ne pas en faire suffisamment ou de mal faire ! Et ça fait du bien, car nous faisons toutes de notre mieux !
*Attention, je ne parle pas de ces courants de psychologie, mais bien de personnes qui se prétendent spécialistes en la matière et qui dispensent des conseils (ou des injonctions) loin du courant d’origine.
Des réflexions pleines d’humour !
La mère parfaite est une connasse ! est ponctué de petites réflexions pleines d’humour. Mais la lecture de ce livre est déjà très facile à lire. L’écriture est dynamique et drôle.
Le livre se lit en quelques heures (ou en quelques années si vous avez des enfants qui vous empêchent de lire et vous contraignent à boire votre café froid) mais on y revient facilement pour se rappeler une blague ou la raconter à son conjoint.
Oui, j’ai aimé ce livre !
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire La mère parfaite est une connasse !. Il est présenté comme un “guide de survie pour mères normales”, et le thème est plutôt bien trouvé. Parce qu’on n’a pas besoin d’être parfaite ni exceptionnelle pour être une bonne maman ! C’est un petit livre divertissant à offrir aux copines ! Et pour 5€ prix éditeur, ça fait un petit cadeau sympa pour pas grand chose !
Et comme je n’ai pas envie que les autrices écrivent “La blogueuse parfaite est une connasse !”, je vous livre les coulisses de la rédaction de mon article. Car comme toute bonne blogueuse, j’aime présenter de jolies photos…
Mais en réalité, comme toute bonne blogueuse, je prends mes photos d’articles un peu à l’arrache sur la table du petit déjeuner… entre deux tétées !
Anne-Sophie et Marie-Aldine Girard, La mère parfaite est une connasse ! ed. J’ai Lu
Prix : 5€
Cet article n’est PAS un partenariat.
Mon troisième accouchement : “Comme une lettre à la poste”
Souvenez-vous, mon troisième accouchement a commencé par un effet théâtral : la perte des eaux sur une grande rue de ma ville en pleine heure de pointe ! Si vous n’avez pas lu ce récit, la séance de rattrapage est ici !
L’arrivée à la maternité
Mon mari et moi arrivons donc à la maternité peu avant 17 h en ce 17 juillet. Il me dépose devant la porte des urgences et va garer la voiture. Je me présente à l’accueil, la robe complètement trempée et dit :
“Bonjour, je viens de perdre les eaux… Enfin… je pense que ça se voit à ma robe !”
Les trois personnes présentent dans le bureau rient avec moi. Elles me posent les questions habituelles : date du terme (avant-hier !), heure de la perte des eaux, fréquence des contractions (toutes les 5 minutes, et de plus en plus intense à chaque fois). Brusquement, je m’interromps :
“Ça va se remettre à couler, là. Je vais vous inonder le bureau !”
L’aide soignante présente va prendre des draps. Elle en recouvre le sol que j’ai aspergé, et m’en donne à mettre entre les jambes puis me dit :
“On va monter en salle et on continuera le questionnaire là-haut ça sera plus confortable.”
Pas de salle d’accouchement disponible !
Lorsque nous arrivons à l’étage, il n’y a pas de salle d’accouchement disponible. On m’installe donc dans une salle de “pré-travail”, branchée au monitoring. Mon mari me rejoint vite. Puis la sage-femme qui s’occupera de moi entre en riant :
“Bonjour ! Alors dans votre cas, pas besoin d’examen, c’est une perte des eaux franche ! Vous avez inondé l’accueil !”
Les contractions deviennent douloureuses, mais au moins la sage-femme me fait rire. Elle m’examine tout de même. Vue l’intensité des contractions, j’espère un début de dilatation…
2,5… ça n’a pas bougé depuis le rendez-vous de dépassement de terme du début d’après midi… Mais la sage-femme a bon espoir : “C’est un troisième accouchement, on se méfie des troisièmes, ils vont souvent beaucoup plus vite que les autres !”
La douleur monte
Nous restons là, en salle de prétravail à attendre qu’une salle d’accouchement se libère. Les contractions sont toujours aussi régulières et rapprochées, mais elles sont aussi et surtout de plus en plus douloureuse. Chaque contraction est plus douloureuse que la précédente, et entre 2 contractions, j’ai toujours mal, comme si la contraction ne faisait que diminuer mais ne s’interrompait pas réellement. Je regarde le tracé sur le monitoring et effectivement. Les pics de douleurs ne sont plus marqués car ils dépassent du graph’, et les intervalles entre deux contractions ne baissent pas beaucoup.
Je commence à râler… à jurer… à crier même. J’ai vraiment très mal. La sage-femme arrive et voit que je pousse à chaque contraction. Elle me dit qu’il faut que je m’en empêche, sous peine de “tout arracher”. Je dois alors mobiliser tous mes efforts pour ne pas pousser, ce qui rend le ressenti de la douleur plus fort encore…
Je n’aurais pas la péridurale tant que je ne serai pas en salle d’accouchement, alors je demande quand on me déplacera. Une salle vient de se libérer, mais il faut la nettoyer. On me dit qu’on va faire vite. On m’apporte un masque pour m’aider à gérer la douleur. On revient toutes les 2 minutes… ou toutes les 5 ou 10… en fait je n’en sais plus rien, je n’ai plus de notion de temps… j’ai mal. J’ai très mal… Je hurle à chaque contraction.
Puis on vient me chercher.
“Faites le pour votre bébé !”
Pour me déplacer on me demande de me lever du lit pour me mettre sur un fauteuil roulant. On me dit : “Aller, à 3 vous vous levez ! 1… 2… 3 !”
Je ne me lève pas.
“Je ne peux pas. J’ai trop mal.” Les contractions me paralysent. C’est alors qu’une aide soignante prononce la phrase odieuse que je ne voulais pas entendre.
“Faites le, c’est pour votre bébé!”
Dans ma tête je lui dis qu’elle n’est même pas capable de savoir tout ce que je ferais pour mon bébé, et qu’elle n’a pas le droit de douter de mes possibilité. J’ai envie de lui hurler dessus que je ne suis pas conne, je ne m’imagine pas partir en disant : “Oh bah non finalement accoucher ça fait trop mal, j’ai changé d’avis, j’arrête là !”
A la place je dis : “Je vais le faire quand je serai prête.”
Je laisse passer la prochaine contraction, puis je préviens : “ça redescend.”… “Allons-y.”. Dans un effort surhumain, je me lève et retombe sur le fauteuil. Arrivée en salle d’accouchement, il me faut encore faire cet effort pour m’installer. Pourtant plusieurs personnes me soutiennent…
La péridurale
Quand j’arrive en salle d’accouchement, l’anesthésiste est déjà là. Ma sage-femme a compris que la douleur était bien trop intense et que je ne tiendrais pas beaucoup plus longtemps. Ou alors elle en avait ras le bol de m’entendre hurler… Je la comprends.
On me demande de rester assise, de faire le dos rond… toute la manœuvre habituelle pour poser une péridurale. Mais la douleur me paralyse. Je ne ressens plus du tout mon corps de la même manière et je ne contrôle pas mes mouvements. Je suis incapable de dire si je bouge ou pas. Pendant une contraction on me demande de refaire le dos rond. Je n’ai pas senti que j’avais bougé, je ne contrôle plus mon corps et je ne saurais plus comment me remettre dans la bonne position. Je dis alors : “bougez-moi dans la position que vous voulez”. Je les laisse faire.
Finalement l’aiguille est placé, on me rallonge et rapidement je sens le produit froid me couler dans le dos. Il faut pourtant plusieurs contractions pour que je commence à sentir l’effet de la péridurale.
Quand le produit fait effet, je m’apaise et me repose un peu. Mon mari fait les listes des prénoms sur internet “au cas où on trouverait mieux”…
La sage-femme vient me voir avec Marion, la sage-femme de nuit. Il est 19h et c’est le changement d’équipe.
On se méfie des troisièmes accouchements
Marion, la sage-femme de nuit revient et m’examine. Il est 19h45 et à 17h30 j’étais à 2,5. Vu mon historique, je n’ai pas grand espoir. Marion me regarde l’air étonnée et me dit :”Devinez à combien vous êtes !”
“Je n’en ai aucune idée…” épuisée, je n’ai pas envie de jouer aux devinettes. Je n’ai pas non plus envie d’être déçue après toute cette douleur…
“Vous êtes presqu’à 8 !!!”
Je ne suis pas déçue. Mais j’ai du mal à comprendre. J’ai du mal à y croire même ! En deux heures, je suis passée de 2 à 8 !!!
Je commence à m’apaiser car je réalise que ce bébé viendra beaucoup plus vite que ce que j’imaginais.
Au travail !
A 21h, Marion revient me réexamine : je suis à 10. Mais comme bébé va bien et que rien ne presse, on décide de la laisser descendre seule.
A 22h, Marion revient. Le rythme du bébé commence à changer. Elle montre quelques signes de fatigue alors on va se mettre en place. La bonne nouvelle c’est qu’elle a déjà fait une bonne partie du travail.
22h10, je commence à pousser. Forte de mon précédent accouchement, je sais que la poussée peut durer longtemps alors je donne tout. Mais surtout je me fais aider de mon mari qui a pour but de me maintenir les jambes et la tête.
Marion me demande de pousser exactement là où elle pose ses doigts… Mais je ne sens pas ses doigts. C’est la première fois qu’une péridurale m’empêche de sentir quoi que ce soit. J’ai même du mal à vraiment sentir les contractions venir.
Qu’importe, je me referme sur moi-même, je me concentre et je pousse. J’entends : “C’est parfait ce que vous faites !” alors je continue.
Comme une lettre à la poste
22h16 : “Poussez, poussez… arrêtez tout”. Je sens Marion sortir Bébé Gaufrette. Je la sens faire quelques manipulation que je ne vois pas. Bébé Gaufrette avait le cordon autour du coup et c’est ce que Marion manipulait. Et enfin, elle la pose sur moi.
6 minutes. J’ai poussé pendant 6 minutes ! Et j’ai compris l’expression “comme une lettre à la poste !”
Mon bébé est le plus beau des bébés, avec son frère et sa sœur à qui elle ressemble beaucoup. J’ai encore du mal à croire qu’un accouchement puisse se passer si bien et si rapidement. Mais je suis heureuse.
Bébé Gaufrette, 17 juillet 2020, 22h16, 3,5kg, 10 doigts, 10 orteils et un regard qui nous fait fondre d’amour !
Des empreintes de feuilles à la craie grasse
Voilà l’automne qui arrive ! C’est ma saison préférée et celle qui m’a le plus manquée quand nous vivions à Dubaï. Alors cette année, puisque nous sommes en France, j’ai décidé de profiter de l’automne. Les feuilles ont à peine commencé à tomber que nous en avons déjà ramassé par poignées ! Comme cette année Colombe (7 ans) et Petit O’ (5 ans) ont commencé un herbier, je leur ai proposé de décorer la couverture de leur cahier avec des empreintes de feuilles à la craie grasse.
Le matériel nécessaire
- Des craies grasses
- Un mouchoir en papier
- Des feuilles ramassées au gré des promenages
Nos empreintes de feuilles à la craie grasse
Cette activité paraît très simple puisqu’il suffit de prendre une feuille et d’en tracer le contour en avec les craies. Mais en réalité, cela demande de la dextérité : il faut bien placer la craie, tenir la feuille fermement pour ne pas qu’elle bouge, réussir à tourner la craie pour suivre le mouvement de la feuille, et bien lever la craie avant de la poser sur la feuille qui sinon risque de se craqueler.
Les enfants ont dû faire preuve de beaucoup de concentration et de persévérance ! Nos feuilles étaient déjà un peu sèches et avaient tendance à casser facilement. Mais ils ont réussi à faire leur empreintes !
Ils ont ensuite frotter les empreintes de feuilles pour atténuer la craie grasse afin qu’elle ne déteigne pas sur les autres affaires lorsque les cahiers sont rangés !
La couverture de nos herbiers sont prêtes ! Mais il se peut qu’elles évoluent et que l’on rajoute des empreintes de nouvelles feuilles en fonction des espèces que l’on trouvera dans nos promenades.