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We love Préma 2 : des bodys pour les bébés nés prématurément

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Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous aurez sans doute remarqué que je participe à l’opération We love Préma 2, lancée par Mont Roucous en partenariat avec Vertbaudet, Creavea et Giotto France au profit de l’association SOS Prema. Pour l’occasion, 83 équipes de 10 personnes ont été formées, et c’est tout naturellement que j’ai rejoint l’équipe de la Côte D’Azur, la Team Socca, menée par Maman & Pipelette.

Qui sommes nous ?

Anna, Aurélie, Caroline, Christelle, Clémentine, Flore-Hélène, Laurianne, Julie, Sarah, Sophie, nous sommes 10 mamans vivant sur la Côte D’Azur. Blogueuses ou pas, ayant vécu la prématurité d’un enfant ou non, nous sommes toutes motivées pour soutenir cette belle opération !

Quel est le principe de l’opération We love Prema 2 ?

Le principe est simple, récolter le plus de bodies possible en taille prématuré, naissance et 1 mois, les customiser pour ensuite les offrir aux petits nés trop tôt, en signe de soutien.

Pourquoi offrir un body ?

Les bébés prématurés sont souvent placés en couveuse avec une couche pour seul vêtement, et l’autorisation de leur faire porter un body est généralement synonyme d’amélioration de leur état, et annonce un retour à la maison. Mais bien souvent, quand ces bébés sont nés, leurs parents n’avaient pas fini de préparer toutes les affaires, et en tous cas, ils n’avaient pas prévu de layette en si petite taille. Alors aujourd’hui nous nous mobilisons pour leur offrir ce premier body symbole d’espoir !

Quel body offrir ?

Nous recherchons des bodies ouverts en cache-cœur, les seuls autorisés en service de néonatalogie car ils sont plus facile à enfiler malgré les fils qui peuvent relier un petit aux différentes machines. Il faut que ces bodies soient en coton, idéalement en coton bio, car cette matière n’irritera pas la peau, et pour cette même raison, il ne doit pas y avoir d’étiquette. Les bodies que nous récoltons peuvent être neuf, mais ils peuvent aussi être d’occasion s’ils sont en bon état. C’est donc l’occasion d’offrir les bodies que son petit a portés et pourquoi pas, d’y mettre une petite phrase de soutien aux familles, car qui peut mieux trouver les mots que des parents qui ont déjà traversé cette épreuve ?

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Que puis-je faire d’autre ?

Nous réunissons le maximum de bodies, mais nous allons également les customiser. Alors avis aux bricoleuses et aux couturières, s’il vous reste des chutes de tissus, de thermocollant, de flex ou tout autre accessoire de customisation, nous sommes preneuses ! Et bien évidemment, si vous avez envie d’offrir des bodies que vous aurez vous-mêmes customisés, c’est encore plus chouette !
Attention, pour la customisation les règles sont strictes :
– pas de bouton ou de ruban qui pourrait se détacher et être ingéré
– pas de décor dans le dos, du moins rien qui ne soit en relief car les bébés passent leur temps sur le dos
– le matériel utilisé doit être adapté aux bébés et lavable à 60°
– les motifs choisis doivent avoir une connotation positive (aucun symbole morbide…)

Nous avons également ouvert une cagnotte tenue par un de nos partenaires et membre de l’équipe, la boutique Nicebébé Chaque don de 3€ nous permet d’acheter 2 bodys qui seront ensuite customisés. Chaque don de 3€ sera abondé par Nice Bb de 1€.

Où déposer les dons ?

Où que vous soyez en France, vous pourrez trouver le point de collecte le plus proche de chez vous sur la carte sur le site de Mont Roucous ici). Et si vous êtes dans la région, vous pouvez aussi me contacter via le formulaire (en haut à droite )  pour que je puisse venir les récupérer ou un membre de l’équipe ou pour toutes questions.

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On compte sur vous !

La collecte se fera sur plusieurs mois et nous espérons atteindre les 10 000 bodies récoltés par l’ensemble des équipes. Mais sans vous, nous ne pouvons pas grand chose. Alors on compte sur vous pour diffuser le message au maximum, pour en parler autour de vous et pour mettre de côté tous les petits bodies que vous trouverez ! Et d’avance, toutes les équipes vous disent un grand merci !

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Saccage ce carnet : semaine 26

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Me voilà arrivée à mi-parcours de ce projet 52 qu’est Saccageons ce carnet, le rendez-vous qui fait du bien, et j’ai trouve que le temps passe très vite. Lorsque je regarde mon carnet, j’ai l’impression d’être loin de l’avoir rempli de moitié ! J’ai pourtant beaucoup d’idée, mais comme beaucoup de mamans avec des enfants en bas-âge, je manque cruellement de temps…

Cette semaine, sous le signe de l’anniversaire du Rendez-vous, est aussi l’occasion d’un petit cadeau à son instigatrice Je ne suis pas une super maman… mais j’y travaille. L’une des consignes était de donner sa page préférée à quelqu’un, je lui ai donc envoyé cette page qu’elle m’avait inspirée, ainsi que quelques petites surprises.

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Outre cette page arrachée, j’ai aussi déchirés quelques languettes :

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Ce qui donne un peu de volume à mon carnet une fois fermé !

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Bonne semaine à tous !

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Les 10 trucs les plus n’importenawac qu’on fait pour faire manger Bébé !

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Il y a quelques semaines, je vous ai présenté un gentil article sur les 9 choses que j’aurais aimé connaître avant de commencer la diversification.

Faire manger bébé c’est bien, mais parfois c’est pas du gâteau ! Et si comme moi vous vous dites qu’un bébé qui termine sa purée c’est un bébé qui ne vous réveillera pas à 4h du mat’ pour manger, alors vous développez parfois des techniques hors du commun pour arriver à vos fins ! Alors voici un top 10 des techniques les plus absurdes (mais qui fonctionnent souvent, alors on les utilise quand même) dont on use dans la famille À Dada !

  1. Faire l’avion : c’est LA technique vieille comme le Monde. Ou plutôt vieille comme l’avion (bah oui, logique !), ce qui signifie qu’elle date de 1863 (date choisie un peu arbitrairement d’après ce que j’ai pu lire de l’article “avion” de Wikipédia, ce choix est discutable, mais ça n’est pas notre propos ici). Du coup elle a eu le temps de faire ses preuves ! Face à l’enfant, l’adulte agite la cuillère en imitant le vrombissement d’un avion, jusqu’à ce que l’enfant ébahi ouvre grand la bouche. Alors, lâchement, l’adulte enfourne la cuillère dans la bouche du petit, lui collant ainsi la purée dans le gosier. Vous pouvez utiliser une cuillère standard comme une cuillère joliment déguisée en avion (accessoire indispensable ici), mettre en scène un avion en péril ou faire revivre le Concorde (ou les deux). La variante la plus courante reste la voiture qui entre au garage. Je terminerai donc par cette question : comment faisaient nos ancêtres avant l’invention de la voiture et de l’avion ?
  2. Lui donner un jouet : il n’est pas rare que lorsqu’on donne à manger à Bébé, il tente d’attraper la cuillère, la nourriture, de mettre la main à la bouche et j’en passe. Dans mon article sur la diversification, j’avais bien expliqué que laisser Petit O’ toucher la nourriture avait été très efficace dans nos essais à le faire manger. On le laisse donc manipuler une cuillère, un morceau de pain, des petits morceaux de nourriture… Mais les bébés se lassent vite ! C’est ainsi que nous nous retrouvons avec un panier de jouets pour le repas comprenant cubes, couvercles de petit pot, hochets et notre très célèbre Sophie la Girafe ! Eh oui, notre pauvre Sophie a été mangée à toutes les sauces ! Pour une diversification complète, après avoir testé la girafe, introduisez une portion d’Al Thir le dromadaire !
  3. Chacun son tour : et si on mangeait avec Bébé ? Et si Bébé nous donnait à manger d’ailleurs ? Maman donne une cuillère à Bébé, puis Bébé donne une cuillère à Maman. Le côté absurde de la méthode ? Si Bébé n’est pas capable de manger seul, il ne sera pas davantage capable de vous donner à manger. Cette méthode vous garantit des murs repeints et des chemisiers reteints ! À moins que vous ne trouviez un bavoir à manches longues à votre taille, dites adieu aux vêtements que vous portez pendant le repas. Mais réjouissez-vous, les tâches de carottes sur votre petit haut seront du dernier chic, puisqu’il parait que le orange c’est tendance (ceux qui sont accros aux séries télé comprendront). Variante de la méthode : les plus grands font manger les plus petits, et c’est comme ça qu’il y a deux jours, Petit O’ s’est retrouvé avec du yaourt dans les yeux… Va falloir que j’apprenne à Colombe à viser.
  4. Varier les outils : parce que la cuillère c’est complètement has been ! C’est une amie qui m’en a soufflé l’idée. L’autre jour, alors qu’elle installait sa fille pour le goûter, je l’ai vue sortir le petit pot, le bavoir, la cuillère et la pipette de Doliprane. Hein ?! La pipette de Doliprane ?! Mais pourquoi ? Mon amie m’a alors expliqué que si sa fille mangeait volontiers le début de sa compote, elle boudait vite la cuillère. C’est alors que la pipette entrait en jeu. Il ne s’agit bien sûr pas de gavage et de toute manière si Bébé ne veut plus manger, il saura bien vous recracher la purée à la figure ! J’ai alors testé sur Petit O’ et c’est vrai qu”il est parfois content de changer de manière de manger. Lors de certains repas, nous alternons d’ailleurs plusieurs fois les outils : cuillère, pipette, fourchette, mains… tout est bon si ça lui plaît. Variante de la méthode : mettre la soupe dans le biberon, alterner cuillère en plastique/métal, donner à même les doigts (ses propres doigts, pas ceux du bébé).
  5. Féliciter Bébé : j’ai lu récemment qu’il ne fallait surtout pas féliciter Bébé lorsqu’il mangeait. Cela induirait qu’il mange pour faire plaisir à ses parents alors qu’il doit manger parce que c’est vital. Sur le papier, je suis d’accord (enfin… je comprends la logique de ce raisonnement). Mais en pratique, si je n’avais pas félicité ma Colombe pour chaque cuillère avalée quand elle avait une dizaine de mois, je pense qu’elle n’en aurait jamais mangé une seule ! Et aujourd’hui ? Elle mange avec plaisir ! Ni trop, ni trop peu. Alors oui, je fais partie de ces mamans qui crient de grands “Bravos” à son bébé après chaque bouchée. Inconvénient de la méthode : Bébé risque de se mettre à faire Bravo avec les mains et le parcours pour mener la cuillère jusqu’à sa bouche risque de devenir aussi périlleux qu’un parcours de Total Wipeout ! Et Paf ! Un coup de main dans la cuillère ! Et Splash ! Sur le beau mur blanc !
  6. Faire le spectacle de marionnette : à première vue, rien de bien absurde dans cette méthode pour faire manger bébé. Sauf que faire les marionnettes demande d’utiliser ses deux mains… Dur dur alors de manipuler la cuillère de bébé. Deux options s’offrent à vous. Dans la première, vous agitez une main alors que de l’autre vous essayez de viser la bouche de votre bambin. Attention à ne pas vous laisser emporter par la musique ou vous risqueriez de repeindre vos murs (quoiqu’une éclaboussure de purée de carotte irait super bien avec la tâche de soupe 7 légumes que Bébé a crachée hier !). Dans la deuxième option, vous faites les marionnettes à deux mains et attrapez et enfournez la cuillère le plus vite possible quand Bébé ouvre la bouche. La chorégraphie doit être bien maîtrisée et le tempo doit être parfait, au risque de renverser la purée, mettre la cuillère dans l’œil de Bébé ou prendre la cuillère comme une marionnette et finir, là encore, par repeindre les murs… Variante de la méthode : Tourne petit moulin, frappent petites mains…
  7. Faire une petite danse : la première condition pour faire manger Bébé c’est de réussir à lui faire ouvrir la bouche ! Que ce soit par étonnement, incrédulité ou amusement importe peu du moment qu’il ouvre la bouche. Là encore, il faut bien maîtriser le rythme de sa danse afin d’attraper la cuillère au bon moment et de parvenir à la mettre dans la bouche de Bébé sans le blesser. Les avantages de la méthode ? Avec cette séance de sport 3 à 4 fois pas jour, vous allez vite perdre les derniers kilos de grossesse, et à vous les bikinis pour la séance de bébé nageur ! Et en plus vous allez distraire les plus grands qui seront ravis de vous voir faire votre petit spectacle à chaque fois. Variante de la méthode : faire danser les grands pour distraire Bébé ; ça les occupera pendant ce temps et vous risquez moins d’en mettre plein les murs, par contre vous ne serez plus dispensées de salle de sport…
  8. Pousser la chansonnette : Devant un bébé que l’on veut faire manger, on se retrouve souvent à ouvrir soi-même la bouche et à faire “Aaaaaaah “.  Et bien que cette méthode ne soit pas très convaincante, elle nous conduit souvent Papa à Dada ! et moi à entamer une petite chanson commençant par “Aaaaaaah”. Par exemple ici nous traversons une période Disco, Petit O’ ne résiste pas à m’entendre entonner un “AAAAAAAh Freak Out ! Le freak c’est Chic !” (imaginez, allez-y régalez-vous ! Et je devance les éventuelles demandes, non, vous n’aurez pas de vidéo !). Petit O’ est tellement amusé de ma performance vocale qu’il oublie complètement qu’il avait refusé sa purée une minute avant et il accepte gentiment la cuillère. On peut aussi varier les chansons, et c’est ainsi qu’avec mon interprêtation de “Staying Alive” je réinvente le concept de dîner-spectacle ! (Non, vraiment vous n’aurez pas de vidéo !) Mise en garde : choisissez bien la chanson que vous allez entonner, si vos envolées lyriques vous portent vers un Hallelujah de Leonard Cohen, Bébé risque d’être bien moins motivé par cet air beaucoup plus solennel !
  9. Allumer la télé : oui, je sais, c’est mal. On ne mange pas devant la télé, on ne fait pas manger un enfant devant la télé… Mais vous savez quoi ? Parfois on ferait juste n’importe quoi pour que Bébé mange. Quand j’ai tout essayé, lorsque les marionnettes ou mes petites danses n’amusent plus du tout Petit O’, il m’arrive de baisser les bras et d’allumer la télévision. Petit O’ est alors comme hypnotisé et il ouvre la bouche sans réfléchir lorsque je présente la cuillère devant lui. J’avais parfois fait pareil pour Colombe mais elle n’a pas du tout pris de mauvaises habitudes pour autant. Bien entendu c’est resté une pratique exceptionnelle, réservée aux jours où elle ne mangeait vraiment rien et où je ne me sentais plus la force de lui donner le sein une vingtième fois. J’ai pu lui mettre quelques cuillères de purée bien consistantes dans le ventre, et parfois même lui donner l’envie de manger. Il nous arrivait même d’éteindre la télévision entre deux cuillères car Colombe manifestait un soudain intérêt pour son assiette (mais alors là c’est que le repas était vraiment super bon). Puis j’ai de moins en moins utilisé cette méthode, et vers 15 mois je ne l’ai plus utilisée du tout. Le risque de cette méthode : que les enfants plus grands qui mangent en même temps que Bébé soient hypnotisés par la télé et n’avalent plus rien…
  10. Dire des phrases rigolotes : mais attention, il faut y mettre le ton car c’est ce qui fera rire Bébé (Bébé qui rit… Bébé qui ouvre la bouche !). C’est ainsi que mes enfants sont devenus incollables en répliques de films. Ils ne résistent pas à m’entendre clamer “Fort en Pommes !” ou “Arthur ! Cuillère !” . J’essaye de les motiver avec des “Humm, c’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim” ou “ça serait pas des fois d’la betterave ?”. Les enfants ne saisissent pas la référence, mais les mimiques que je fais pour accompagner ces répliques les font bien rire. Et pour être honnête, si toutes les astuces dont je vous ai parlé visaient à rendre le repas plus attractif pour Bébé, celles-ci auraient plutôt tendance à rendre le moment du repas moins pénible et long pour les parents ! Eh oui, ça peut être un long moment pour nous aussi !

Voilà, comme vous le constatez, les repas sont plutôt joyeux et animés chez les À Dada ! Je ne vous recommande aucune de ces astuces en particulier : elles ne sont pas des solutions idéales, elles ont beaucoup d’inconvénients et risquent d’exciter les enfants. Elles ne font que détourner l’attention de l’enfant au lieu de lui apprendre que “c’est bien de manger, ça aide à bien grandir !”. Mais parfois on est fatigué, on n’en peut plus, on baisse les bras le temps d’un repas… Et ça n’est pas si grave ! On se rattrapera la prochaine fois ! (ou pas ^^)

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Quelle Histoire – Chut les enfants lisent

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J’ai récemment eu la chance de gagner 2 titres aux éditions Quelle Histoire, et sous le charme de cette petite collection, c’est elle que j’ai décidé de vous présenter pour Chut les enfants lisent.

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Les 2 livres que j’ai reçus sont Rosa Parks et Beethoven. Cette collection s’adresse aux enfants de 6 à 10 ans, donc une cible un peu plus âgée que mes enfants. Mais en grande amoureuse d’Histoire, je n’ai pas pu m’empêcher de les lire à ma fille. Celui sur Rosa Parks est trop difficile à aborder avec Colombe (3 ans), mais en grande passionnée de musique, elle m’a déjà fait lire et relire Beethoven !

Tous les livres de la collection se présentent de la même manière. Ils s’ouvrent sur l’enfance du personnage, ce qui permet au petit lecteur de s’identifier et d’accrocher à l’histoire qui débute. Puis toute la vie du personnage est racontée en chapitres correspondant à des événements marquants. Le vocabulaire et les tournures de phrases sont simples, un enfant assez jeune peut donc tout à fait comprendre. Colombe est encore un peu jeune pour saisir toute l’histoire, mais en adaptant un peu, j’ai pu lui transmettre les grandes lignes.

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Directement après l’histoire, on peut trouver une frise chronologique résumant la vie du personnage. Ayant une formation en Histoire, je ne peux que souligner la présence de cet outil visuel qui aide à retenir les dates, car il est bien trop souvent absent des livres d’Histoire. On trouve également une carte des lieux importants, et là encore je salue l’effort ! (Si je voulais être pointilleuse je dirai que cette carte n’a pas d’échelle, mais ça serait vraiment pour trouver quelque chose à dire !) Enfin figurent les portraits des personnages importants qui ont fréquenté notre héros.

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Enfin, la dernière partie est consacrée aux jeux : quiz, labyrinthe, jeu des 7 erreurs ou cherche et trouve. Autant d’occasion de parler de l’histoire qu’on vient de lire et d’enrichir son vocabulaire.

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En conclusion, je dois vraiment saluer le sérieux avec lequel cette collection a été pensée. L’Histoire est présentée de manière ludique, mais les grands outils que les enfants devront maîtriser à l’école sont présents (frise chronologique, carte géographique). J’apprécie aussi la richesse de cette collection qui ne cesse de s’agrandir : des personnages de toutes les périodes historiques sont représentés, mais on trouve également des personnages mythologiques. Le choix des personnages historiques répond à des critères larges et pas seulement à des critères politiques. Si quand on parle d’Histoire, on pense avant tout aux rois et aux reines (dont de nombreux font l’objet d’une parution dans la collection), l’Histoire concerne aussi des personnages scientifiques ou des acteurs de la vie culturelle. C’est ainsi qu’on trouve des titres sur Coco Chanel, Picasso ou même Al Capone !

Chaque livre coûte environ 5 euros, ce qui est vraiment peu pour un ouvrage aussi intéressant et riche en activités.

Enfin, la collection est disponible en ebook. Je sais que beaucoup me répondront qu’ils ne sauraient se passer de l’objet papier et qu’ils ont besoin de toucher le livre pour prendre plaisir à la lecture. Je tenais le même discours avant de découvrir les joies de la liseuse qui permet d’emporter une bibliothèque entière dans un sac à main ! Il existe également plusieurs applications Quelle Histoire : centrées sur un personnage ou quiz plus général, chacun trouvera de quoi prolonger le plaisir !

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Cette collection est vraiment un énorme coup cœur ! Il se peut que j’achète de nouveaux titres pour Colombe (Mozart lui plairait beaucoup !), et je pense qu’ils feront de très beaux cadeaux pour les prochains anniversaires de mes neveux et nièces !

Alors si vous cherchez une idée de livres intéressants pour vos enfants, courez vite découvrir Quelle Histoire, car il n’est jamais trop tôt pour se cultiver !

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Délirolinguo et Étymolingo : deux jeux de société autour des langues

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Aujourd’hui je participe pour la première fois au rendez-vous 1-2-3 jouez ! de Maman & Pipelette où l’on parle jeux de société. Pour inaugurer ce rendez-vous, j’ai choisi de vous parler de 2 petits jeux pour plutôt pour adultes (bah quoi, nous aussi on a le droit de jouer !) autour des langues : Délirolinguo et Étymolinguo tous deux édités chez Assimil (vous savez, les méthodes pour apprendre à parler les langues rapidement rapidement !).

Amoureuse des langues, c’est tout naturellement que j’ai été attirée par le stand de présentation de ces deux jeux lors de ma visite au salon du jeu à Rouen en décembre dernier. Et c’est l’auteur lui-même qui m’a reçue sur son stand : Henrri-S. Erhard est professeur de français, latin et grec, mais il a aussi enseigné l’espéranto et est sans cesse désireux d’apprendre de nouvelles langues étrangères.

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Délirolinguo :
2 à 6 joueurs dès 11 ans.durée du jeu : 20 minutes.

Règles du jeu :
Chaque joueur tire une carte sur laquelle une des 12 langues les plus répandues au Monde lui est attribuée et qu’il doit annoncer avant de cacher sa carte. Sur cette carte figure une liste d’expressions dans cette langue (la liste est la même pour toutes les langues). Le premier à jouer tire une carte orange sur laquelle figure une des expressions de la liste traduite dans les 12 langues. Il doit alors lire l’expression dans la langue correspondante à chaque joueur.

Mon avis :
C’est un petit jeu de mémoire bien sympathique et grâce auquel on peut apprendre un peu d’anglais, espagnol, allemand, portugais, italien, russe, chinois, arabe, turc, hindi, japonais et… français ! Le but premier n’est pas l’apprentissage des langues, même si vous apprendrez quelques rudiments à votre insu, mais plutôt de s’amuser et d’entraîner sa mémoire à retenir une association (langue-personne) changeante au cours du jeu. Cependant, si vous êtes curieux et aimez apprendre, vous pourrez vous amuser à retenir les principales expressions d’une langue, et pourquoi pas, pour ajouter un degré de difficulté supplémentaire, vous amuser à les réciter par chœur ! De même, si vous maîtrisez déjà une langue, pourquoi ne pas traduire l’expression demandée et comparer avec ce qui est écrit sur la carte ? (oui, je suis très joueuse !) Bref, Délirolinguo est un jeu divertissant et dans lequel on peut aussi apprendre. Il se joue très rapidement, et peut donc être l’occasion d’une petite partie autour d’un apéro entre amis ! De quoi passer un bon moment !

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Étymolingo :
En équipes de 2 joueurs dès 12 ans.
30 à 40 minutes

Règles du jeu :
Sur chaque carte figure une racine ancienne, d’un côté une racine latine, de l’autre la même racine mais grecque. On détermine d’abord quelle racine on choisit, puis un “maître du jeu” tire une carte, énonce la racine et chaque équipe essaye de trouver le maximum de mots français dérivés de cette racine. En fonction de la difficulté et de la rareté du mot, il lui sera attribué entre 1 et 3 points.

Mon avis :
Un petit jeu de vocabulaire et de culture générale. Si vous êtes un amoureux de la langue française, ce jeu est pour vous ! Et n’allez pas croire qu’il est trop facile : vous trouverez certainement des mots qui ne figurent pas sur les cartes, mais en vérifiant leur étymologie, vous serez peut-être surpris ! Étymologie inconnue alors que vous pensiez que le lien était évident, ou encore étymologie lointaine et insoupçonnée, la langue française nous réserve de nombreuses surprises !
Ce jeu est aussi un très bon outil pédagogique : sous forme de jeu, les élèves découvrent le sens d’origine des mots et établissent un lien entre les mots de même famille. Étymolinguo est l’occasion d’un apprentissage ludique, et d’ailleurs son auteur s’en sert en classe (je vous rappelle qu’il est prof de français !).

Si vous êtes intéressé par ces jeux, vous les trouverez facilement au rayon “langues” de vos librairies et grands magasins, et non pas au rayon jeu… (cette stratégie peut être discutée, mais Assimil devait choisir un positionnement et a préféré rester dans la catégorie “apprentissage des langues”, même si le but réel de ces 2 produits est plutôt le jeu). Et pour en savoir plus sur la genèse de ces 2 jeux, je vous invite à aller lire le récit détaillé écrit par Henrri-S. Erhard sur le blog Assimil : ici.

Alors ces jeux vous intéressent ? Et pour conclure j’ai décidé de vous mettre dans le bain de Délirolinguo : nin jue de he shi ma? (c’est du chinois ^^)

Les autres participations au rendez-vous 1… 2… 3… Jouez
Maman & Pipelette : 10 Min to killL’Esprit vient en jouant : Playa Playa
Step by Step : Marrakech
Lucky Sophie : Lapins Crétins en furie

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Bac sensoriel aux couleurs de la Reine des Neiges

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Le printemps sera bientôt officiellement là, il est donc temps pour moi de vous montrer notre dernière activité sur le thème de l’hiver. Oui, oui, de l’hiver pas de la Reine des Neiges ! Bon, d’accord, un peu quand même, il s’agit d’un bac sensoriel aux couleurs de la Reine des Neiges. Et le but de ce bac ? Libérer, délivrer des surprises bien-sûr !

Je voulais un bac sensoriel avec des glaçons pour évoquer avec Colombe les notions de “froid”, “chaud” ou “glacé”. Mais Colombe n’aime généralement pas du tout toucher les glaçons, il me fallait alors trouver un détail suffisamment attirant pour faire oublier à Colombe le froid qu’elle trouve désagréable. J’ai donc décidé d’enfermer de petites surprises et de jolies couleurs dans les glaçons. Pour cela, j’ai mis quelques petits flocons brillants dans mon bac à glaçons, puis je l’ai rempli d’eau et l’ai mis au congélateur. J’ai aussi mis quelques gouttes de peinture dans d’autres glaçons : j’ai rempli le bac à moitié et l’ai mis à congeler, puis j’ai ajouter une noisette de peinture sur chaque demi glaçon et l’ai encore mis à congeler. Enfin j’ai rempli entièrement le bac et l’ai mis une 3 ème fois au congélateur.

Voici donc le bac au début de l’activité :

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glacons_bleu_dore

glacon_flocons

On retrouve mes glaçons avec leurs flocons, et ceux avec la goutte de peinture (peinture bleue et dorée). J’ai placé un pinceau, quelques pipettes (des pipettes de sérum physiologique que j’ai mises de côté une fois vides), un flacon de paillette et un bol avec de l’eau chaude.

J’ai expliqué à Colombe que les glaçons étaient tout simplement de l’eau très froide, mais qu’avec de l’eau chaude elle pourrait les faire fondre. Je lui ai montré les “surprises” qui se trouvaient dans les glaçons et lui ai dit qu’elle pouvait essayer de découvrir ces surprises.

pinceau_bac_sensoriel_glaçon_bleu

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Colombe a spontanément pris le pinceau et l’a trempé dans l’eau chaude avant de le passer sur les glaçons pour les faire fondre. C’est d’ailleurs ce geste qui lui a permis de libérer la peinture. Ce point m’a un peu déçue : si quelques gouttes de peinture se sont diluées dans l’eau en se libérant, la plupart sont restées dans leur état de cristallisation et se sont éparpillées dans l’eau en petits morceaux.

fonte_glacon_pipette

glacon_pot_font

Colombe a également beaucoup joué avec les pipettes. Elle aspergeait les glaçons avec de l’eau tiède (j’ai changé l’eau du bol plusieurs fois) et c’est ce qui a libéré les flocons. Mais finalement, l’opération lui paraissant un peu trop longue, elle a préféré mettre les glaçons directement dans le bol d’eau tiède. Le geste était efficace au moins !

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Finalement Colombe a renversé l’eau du bol dans le bac et a versé des paillettes pour un mélange magique !

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Bien qu’à la fin de l’activité tous les flocons et toute la peinture n’ont pas été libérés, délivrés, le bac s’est transformé en univers brillant et plein de couleur, digne du dernier Disney !

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Saccage ce carnet : semaine 25

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Cette semaine, pour Saccage ce carnet, le rendez-vous qui fait du bien de Je ne suis pas une super maman… Mais j’y travaille, j’ai testé mes nouveaux stylos. Ma conclusion est : j’adore leurs couleurs mais j’ai eu beau frotter mes doigts mouillés sur la page, ils ne bavent pas beaucoup !

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J’ai également rempli une page avec des traces de mains ou plutôt de doigts. Et je dois vous avouer que j’aime beaucoup le résultat !

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Et enfin comme à chaque fois, je vous présente l’état du carnet au moment où je vous parle :

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Bonne semaine à tous !

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Le pingouin marche… moi aussi – Chut les enfants lisent

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Le pingouin marche… moi aussi ! est un titre bien intrigant pour un livre destiné aux tout-petits, vous ne trouvez pas ? En tous cas moi, il m’a interpellée, si bien que je n’ai pu m’empêcher de le lire entièrement lorsque je l’ai trouvé à la médiathèque. Et bien-sûr depuis, nous l’avons emprunté et nous l’avons lu et relu !

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Alors à part de pingouin qui marche, de quoi parle-t-il ce livre ?

Eh bien c’est un livre sur l’écologie ! Une jolie petite histoire en rime pour inciter les petits à prendre très tôt cette bonne habitude de prendre les transports en commun, ou mieux : à marcher quand on ne va pas loin… comme le pingouin !

roulait_chacun_pour_soi

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Si au début de l’histoire les couleurs sont plutôt grisâtre à cause de la pollution des voitures, au fur et à mesure, les pages prennent des couleurs plus éclatantes. Je ne vous révèle pas les détails de l’histoire, mais sa conclusion est simple : “Sans voiture, l’air est plus pur”.

sans_voiture_air_pur

J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre, notamment parce que je trouve que le sujet de l’écologie est rarement abordé dans les livres pour tout-petits, et parce qu’ici c’est fait de manière poétique. L’histoire a bien intéressé Colombe (3 ans), et Petit Olivier (14 mois) a aussi aimé lire ce livre, certainement grâce à la présence des rabats qu’il aime ouvrir et fermer. En bref, un joli livre qui a plu à toute la famille !

Coralie Saudo, Nicolas Gouny, Le pingouin marche… moi aussi !, Scarabea

Cet article est ma participation au rendez-vous Chut les enfants lisent organisé par le blog Devine qui vient bloguer ?

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Les indispensables A-Derma sont devenus NOS indispensables !

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Dans la famille À Dada ! s’il y a bien une bataille que l’on mène de front au quotidien, c’est celle contre la peau très sèche de Colombe. Dès son premier hiver la pauvre a eu les jambes et les bras recouverts de plaques et le calvaire a commencé. Le calvaire pour elle avant tout puisqu’elle avait mal et souffrait de démangeaisons, mais aussi le calvaire (tout relatif) de nous, parents qui nous trouvions assez impuissants face à cette situation. Bien évidemment, nous avons essayé beaucoup de choses, mais la solution a tardé à venir !

Nous avons tout d’abord adopté les précautions d’usage :

  • Ne pas prendre de bain trop souvent, veiller à ce qu’il ne soit pas trop chaud et limiter à 5 minutes le temps passé dans l’eau.
  • Préférer les douches aux bains et ne pas en prendre chaque jour.
  • Utiliser un gel douche sans savon.
  • Ne pas utiliser de gant de toilette ou d’éponge pour laver la peau.
  • Bien sécher la peau en tamponnant avec une serviette et ne surtout pas frotter.
  • Bien hydrater la peau matin et soir.

Et dans le même temps nous nous sommes posés beaucoup de questions sur notre environnement. L’adoucissant utilisé avec les lessives est souvent cause d’aggravation des problèmes de peau, de ce côté nous n’étions pas concernés puisque nous n’en utilisons plus depuis des années. Mais les premières plaques sont apparues sur la peau de Colombe alors que je venais de changer de lessive (succombant bêtement à une promotion…). Je suis donc vite revenue à ma lessive initiale (une lessive écologique et sans parfum). Côté habillement, je privilégie le coton, plus doux pour la peau et j’ai banni les vêtements en tissus synthétiques dans lesquels la peau ne respire pas, ainsi que tous les tissus qui grattent.

En parallèle, le médecin nous a aidé à trouver un traitement : nous avons cessé de donner du lait de vache à Colombe ce qui a beaucoup limité les plaques. Pour son petit déjeuner, nous lui donnons du lait de chèvre, et les produits laitiers qu’elle consomme sont à base de lait de chèvre ou de brebis. Cette étape a eu de bons résultats puisque les plaques sont devenues bien moins fréquentes et moins douloureuses, même si sa peau reste très sèche. Et le médecin nous a aussi orientés vers la crème qui a toujours soigné les plaques de Colombe : la crème réparatrice Dermalibour +. Nous l’utilisons depuis qu’elle a 11 mois et il n’a jamais été question de changer car elle fait disparaître les plaques rouges en quelques jours seulement.

Mais voilà, nous sommes restés longtemps dans une situation où nous parvenions à soulager les douleurs et soigner les rash, mais où nous ne parvenions pas à hydrater suffisamment la peau de Colombe afin de les éviter. J’ai testé beaucoup de gels douches et de crèmes de marques différentes, et ai fini par utiliser les produits Stélatopia de Mustella qui bien que n’hydratant pas suffisamment la peau, au moins étaient les seuls qui ne donnaient pas de plaques à Colombe…

Et en novembre dernier, lors de l’événement des E-Fluent M ums 4 organisé par le magazine Parole de Mamans j’ai eu la chance de rencontrer des représentants de la marque A-Derma et je les ai bombardés de questions ! J’ai décrit les problèmes de peau de ma Colombe et l’on m’a dirigée vers l’huile nettoyante émolliente EXOMEGA. Aussitôt rentrée à la maison, aussitôt testée ! Et dès les premières douches je constatais des résultats : non seulement ce gel n’aggravait pas les plaques rouges, mais il semblait les limiter ! J’ai donc utilisé cette huile pour laver ma fille pendant tout cet hiver, et pour la première année elle n’a eu que quelques petites plaques rouges de temps à autres.

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Enfin, notre dernière découverte a eu lieu il y a environ 3 semaines lorsque A-Derma m’a gentiment envoyé sa “Box douceur”, composée de leurs 3 produits indispensables pour l’hiver. Les deux premiers produits étaient ceux dont je viens de vous parler. Ça n’était pas une découverte pour nous, mais cela m’a fait très plaisir de recevoir ces produits dont nous ne nous passons plus ! Le troisième produit était la crème émolliente EXOMEGA que je me suis empressée de tester sur Colombe ! Là encore j’ai constaté une nette amélioration. Pour la première fois, j’ai vraiment l’impression que sa peau est bien hydratée une fois que je lui ai passé cette crème. Et elle n’a presque plus de plaque, si bien qu’on utilise de moins en moins le Dermalibour + !

Avec ces 3 produits, j’ai l’impression que nous avons atteint un équilibre satisfaisant pour affronter l’hiver sa douleur ni démangeaisons et avons maintenant fixé une routine :

  1. Une douche un jour sur deux avec l’huile nettoyante émolliente EXOMEGA.
  2. Tous les matins on hydrate et protège la peau avec la crème émolliente EXOMEGA.
  3. On répare les lésions avec Dermalibour + (mais ça on a de moins en moins besoin de le faire !)
  4. Tous les soirs, on hydrate de nouveau la peau, pour cela j’utilise une huile d’amande douce pure (car j’ai entendu dire qu’il était bon d’utiliser des produits différents le matin et le soir, chacun apportant ses bienfaits)

Toute la gamme A-Derma est développée autour de l’avoine rhealba, une plantule cultivée à proximité des laboratoires afin de préserver au mieux ses principes actifs, mais je vous laisse découvrir ça directement sur leur site où ils expliquent le processus de fabrication bien mieux que je ne le ferai : ici !

Vous l’aurez compris, je suis tombée sous le charme de ces produits qui ont fait des miracles sur la peaux de ma fille (oui, des miracles car pour une maman, après avoir vu la peau de sa fille très irritée et douloureuse chaque hiver, s’être débarrassé de ce fléau tient un peu du miracle !). Je les recommande vivement : ils n’auront peut-être pas la même efficacité sur la peau de votre enfant, car chaque peau est différente, mais cela vaut vraiment le coût d’essayer !

Et finalement ces produits sont tellement efficaces, qu’il m’arrive souvent de m’en servir moi aussi pour lutter contre les agressions de l’hiver !

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Saccageons ce Carnet – Semaine 24

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Saccageons ce carnet, le rendez-vous qui fait du bien, c’est la petite pause artistique que Je ne suis pas une super maman… mais j’y travaille ! nous propose de faire chaque semaine.

Cette semaine j’ai suivi la consigne : laisse cette page vierge. Mais voilà pour moi une page vierge est une page blanche. J’ai donc repeints la page en blanc. Et oui, même sur la Côte d’Azur parfois il fait moche et la lumière ne permet pas de faire de jolies photos !

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Enfin, voici comme à chaque fois l’état du carnet au moment où je vous parle :

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Je vous souhaite une très bonne semaine !

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